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Citations sur l'à voir

Il y a 1110 citations sur l'à voir.

• Reste à voir ça sur l’eau, car avec un joli plan de voilure, un immense bout dehors rétractable et un tiers de son déplacement logé dans le lest (relevable), on le sait : ce day-boat sera très certainement aussi vivant que charmant. Côté charme, on peut compter sur sa construction en strip planking acajou-verre-époxy et son plan de pont laissant la part belle au cockpit, tout en ménageant aussi l’accès au plan d’eau. À noter un rouf en sifflet très classique conférant au carré une hauteur sous barrots très correcte (1,45 m).

• À 46 ans, Michaël Gouin a effectué un virage à 180° dans sa carrière professionnelle. Et rien à voir avec la pandémie, déclic chez bon nombre de reconvertis. L’idée de devenir cuniculteur lui trottait déjà dans la tête depuis pas mal de temps.  J’avais fait le tour de la question, ressentait l’envie de changer et voulait être mon propre chef , explique cet ancien responsable, durant dix ans, de la maintenance du parc de véhicules légers et poids lourds ainsi que des six déchetteries de la Sycodem (Syndicat de collecte des déchets ménagers Sud Vendée).

• Dans ses vœux télévisés aux français, le président de la République a célébré le travail, laissant implicitement entendre qu’il y avait pénurie de main d’œuvre ou que nous ferions face à une « grande démission ». Il s’agit pourtant de mythes qui donnent à voir l’idéologie dominante associant « valeur travail », mérite et responsabilité individuelle. Car, de façon structurelle, ce qui conduit massivement au chômage, et de façon répétée ou prolongée, c’est le « précariat ».

• Le nom de l’EARL, « Les Saapines du Ribon » n’a rien à voir avec les sapins mais plutôt avec un mélange de saanen et d’alpine ! Les éleveurs ont en effet deux tiers d’alpine et un tiers de saanen. Ils souhaitent à l’avenir revenir à un équilibre entre les races. Le Ribon correspond lui aux ruisseaux qui courent en contrebas des pâtures.

• New York a-t-elle vraiment besoin d’un nouveau quartier ? La question avait fait couler beaucoup d’encre, au moment où l’ancien maire, Michael Bloomberg, avait décidé de rezoner le quartier pour y faire pousser ces gratte-ciel. Mais à voir le taux d’occupation des bureaux new-yorkais, la réponse est oui.

• Football américain » En sonnant à la porte de son domicile au Mouret, on s’attendait à voir une armoire à glace, un sportif charpenté version Arnold Schwarzenegger jeune. Lorsqu’il pointe son nez et son sourire dans l’embrasure, François Zahno n’est pas de ce genre-là. Du haut de son mètre huitante-neuf et fort de ses huitante kilos, le jeune homme a un beau gabarit, cela dit plutôt longiligne et assez loin de l’image que le non-initié se fait du joueur estampillé football US.

• On vous arrête tout de suite : rien à voir avec un cri d'oisillon. La roucoulette est une sorte de tir, très technique. Elle consiste à casser son poignet afin de donner de l’effet au ballon. Celui-ci est mis au sol hors de portée du gardien puis le contourne en revenant vers la cage grâce à l’effet. Et quand c’est réussi, c’est superbe. L’Allemand Uwe Gensheimer s’est d’ailleurs fait expert dans le domaine. Voici un exemple.  

•  Le film "les poings serrés" de Vivian Goffette est à voir actuellement au cinéma. Ce film a presque entièrement été tourné en province de Luxembourg avec beaucoup de figurants luxembourgeois. Pour sa sortie, le réalisateur gaumais va à la rencontre du public. 

• Cette campagne a été pensée avec un objectif de notoriété, sur un secteur où les acteurs peinent à se distinguer les uns des autres. L’enjeu était donc de donner à voir les produits phares de la gamme, et de réussir à marteler sa signature « Encore un chouia » pour créer de la mémorisation et un marqueur propriétaire.

• Sommes-nous prêts aujourd'hui à voir ou à revoir Werner Herzog ? Cette question esthétique est, au fond, une question politique. Il a bien fallu se convaincre, un certain 11 septembre, que l'histoire n'était pas achevée et que l'on n'en avait pas fini de se colleter au tragique : il n'avait d'ailleurs jamais quitté la scène sauf dans les mirages douçâtres que tout le cinéma de Herzog nous invite à percer à jour. Avant de se dissiper sous la forme de ces bulles qui explosent, ces mirages ont pu faire illusion en se targuant, « simplement », d'être la « vraie » réalité.

• « Un article islamiquement incorrect, car l’islam lui-même n’a rien à voir avec le politique », affirme Saïd Djab el-Khir, chercheur en sciences islamiques et initiateur du Cercle des lumières, think tank autour des questions religieuses.

• Vendredi 20 juin, au Lieu commun, Olivier Hiard a dédicacé son livre «AYMARE : une collectivité anarchosyndicaliste espagnole dans le Lot de 1939 à 1967», organisé par le libraithèque «Le Droit à la Paresse» 68 rue Louise Michel. Ce livre raconte une histoire des républicains espagnols et de l'histoire des années d'autogestion pendant les trois glorieuses, abondance et société en construction, propositions d'autres vies, etc. Quatre thématiques 1939 arrivée des réfugiés, la guerre mondiale, création des mutualités et 1948/1963 une collectivité d'autogestion, rien à voir avec mai 68, un livre à découvrir.

• C’est une première au parc de Courzieu, plus habitué à voir des "poussins" sortir des œufs, ou des louveteaux de leurs litotes. Lundi, un petit marmotton a sorti le bout de son nez du terrier, suivi par un second le lendemain, puis d’un troisième et d’un quatrième.

• Ils n'en peuvent plus, les utilisateurs de la "petite reine". Ils ne veulent pas crever ! Rien à voir avec la toute récente Toussaint. C'est la faute à la tribule terrestre, une plante qui fabrique des clous, comme jamais, au grand dam des cyclistes, donc, mais aussi des propriétaires de chiens. Explications. 

• Contraction de “grizzli” et de “polar”, le grolar est un animal hybride entre un ours blanc et un grizzli. Le résultat de ce croisement donne à voir un ours au pelage marron clair, avec une taille pouvant aller jusqu’à deux mètres en position debout. Un gros lard non mais un grolar oui ! On l'appelle aussi “pizzli”, mot-valise inversé formé à partir des mots anglais “polar” et “grizzli”. Cette hybridation est observée pour la première fois dans les années 1970, au parc zoologique de Thoiry, en France. Faute d’enclos, un grizzli et un ours polaire avaient alors été réunis et se sont reproduits, donnant naissance aux premiers petits “grolars”.