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Citations sur l'acarien

Il y a 36 citations sur l'acarien.

• Les acariens sont caractérisés par leur corps globuleux...

• Les plus complexes des systèmes épidémiologiques sont ceux dans lesquels la transmission de l’agent infectieux (qui peut être un virus, une bactérie, un protozoaire ou un helminthe) est assurée par un vecteur, c’est-à-dire un insecte ou un acarien hématophage.

• Le phytopte du poirier, Eriophyes pyri, est un acarien ravageur du poirier. Il ressemble à un petit bâtonnet de couleur jaune clair de 0,1 mm de long.

• Toutefois, tous les acares ne sont pas des parasites. On trouve fréquemment dans les pâturages, partout sur la planète, des acariens oribatides, aux mouvements lents, qui sont susceptibles de transmettre aux animaux domestiques, en tant qu’hôtes intermédiaires, des vers de type ténia (cestodes anoplocéphalidés).

• Dans les méandres de la forêt, un ennemi invisible guette les promeneurs : le ricin, acarien parasitaire de la famille des Ixodidés, qui peut se révéler redoutable pour les mammifères.

• Le sarcopte, ce minuscule acarien ectoparasite, s'avère être l'agent causal impitoyable de la gale sarcoptique, infligeant à ses hôtes non consentants des démangeaisons insupportables.

• Le Rouget, l'Aoûtat, le Vendangeon, est la larve hexapode d'un Acarien du groupe des Thrombidiidés, et cause à l'homme, par ses piqûres, des démangeaisons fort désagréables à la fin de l'été ou au commencement de l'automne.

• La démodécie canine est une dermatose parasitaire relativement fréquente liée à la multiplication anormale, dans les follicules pileux du chien et plus rarement dans les glandes sébacées, d’un acarien appelé Demodex.

• Dans un second temps, la firme souhaite aussi positionner l’étoxazole en vigne sur acarien jaune tisserand et acariose.

• L'homme moderne croit en sa suprématie jusqu'à ce que le moindre acarien défie son empire; alors il se tourne vers le chlordiméforme comme un priant devant l'autel.

• Les feuilles du poirier, boursouflées et feutrées de blanc, témoignaient sans équivoque de l'érinose, cette affection redoutable causée par un acarien invisible.

• La transformation de l'hypope en acarien adulte est une métamorphose qui rappelle à quel point la nature peut être ingénieuse et mystérieuse.

• Ainsi, la bdelle, ce minuscule acarien niché au cœur des tapis de mousse, révèle l'extraordinaire diversité dissimulée dans les recoins les plus humides de nos forêts.

• Dans le ballet silencieux de la forêt, les actes minuscules dessinent le paysage : une feuille qui se déforme sous l'action d'un acarien galligène, c'est là tout un chapitre de la vie cachée des arbres.

• Certains titres de presse s’en sont émus, qualifiant même la bestiole de « tique géante » et « potentiellement mortelle ». « N’importe quoi ! », s’agace Frédéric Stachurski, vétérinaire spécialiste de cet acarien au Cirad. Il faut dire qu’une fois gorgée de sang, elle impressionne : après une semaine de festin, elle a tant enflé qu’elle peut atteindre deux centimètres, baudruche d’où émergent un rostre minuscule et huit longues pattes. Repu, l’animal pèse jusqu’à soixante fois la masse de la femelle à jeun. Cette tique est deux fois plus grosse que sa cousine, Ixodes ricinus, la plus commune en France.

• Tout cela cause un afflux de sang qui engendre des œdèmes de la peau et le développement de micro-organismes comme le demodex folliculorum, un petit acarien qui crée de petits boutons.

• «une alimentation en manque et un déséquilibre de la biodiversité». Cet acarien se nourrit du sang des abeilles en provoquant une verrose ou atrophie des ailes avec faiblesse et petitesse. Il sévit de deux manières : lors de la reproduction, au niveau des couvains, et en s’attaquant à la cellule (phorétique).

• Plutôt méditerranéen, cet acarien a été aperçu dans le sud de la France ces dernières semaines, alerte le Centre de Coopération internationale en Recherche agronomique pour le Développement (Cirad) de Montpellier : Var, Pyrénées-Orientales, Hérault et Gard.

• Ensuite, il faut que dans un rayon de trois kilomètres autour de l’implantation des ruches – le rayon de butinage des abeilles -, il y ait au moins 50 % de fleurs sauvages ou de cultures biologiques. Nous observions déjà ces deux premières conditions. Ce qui va nous changer, c’est le passage en mode bio pour le traitement contre le varroa, un acarien d’origine asiatique qui s’attaque aux abeilles, ainsi qu’aux larves et aux nymphes, et les affaiblit.

• « Eh bien, selon moi, c’est le varroa, un petit acarien venu d’Asie qui suce l’hémolymphe des abeilles et il affaiblit tellement les abeilles que les abeilles attrapent des maladies et elles meurent. Pour moi ce n’est pas le frelon asiatique la cause car ils n’étaient pas trop présents l’année dernière et pourtant la mortalité est toujours là. »