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Citations sur l'affaires courantes

Il y a 16 citations sur l'affaires courantes.

• Les affaires courantes de la Caisse, en tant qu’elles ne sont pas expédiées par les employés de la Caisse, pourront, par décision du Conseil d’administration, être confiées à des commissions spéciales […].

• En réaction à ces propos, Génie Kande, président de l’ONG FOGEKA, n’a pas eu des mots doux pour recadrer le kabiliste Kambere : « Il y a un gouvernement qui assure les affaires courantes ; il n’y a pas donc vide gouvernemental. Qu’est-ce que monsieur Kambere attend gagner par la mise en place du nouveau gouvernement ? », interroge l’analyse politique Génie Kande.

• Les affaires courantes de la Caisse, en tant qu’elles ne sont pas expédiées par les employés de la Caisse, pourront, par décision du Conseil d’administration, être confiées à des commissions spéciales.

• Les affaires courantes de la Caisse,en tant qu’elles ne sont pas expédiées par les employésde lacaisse,pourront,pardécision du Conseild’administrationêtreconfiéesàdes commissions spéciales […].

• Les technologies de la bureautique et du multimédia sont utilisées dans les affaires courantes de l’administration publique: la production, la manipulation, la réorganisation et la prestation d’information sous forme accessible.

• Ce décret, qui concernait le droit de la presse en Algérie, « ne peut être regardé comme une affaire courante, si extensive que puisse être cette notion dans l'intérêt de la continuité nécessaire des services publics », note alors l'institution. Gravant pour de bon qu'aussi floue soit-elle, la notion d'« affaires courantes » existe bien. Et qu'il vaut mieux la respecter.

• Les ambassadeurs du Liban et présidents des unités l'administration centrale du ministère des Affaires étrangères ont annoncé mercredi la suspension des affaires courantes, jeudi et vendredi, afin de réclamer leur droit à des mutations diplomatiques. 

• Retour aux affaires courantes pour le LOSC

• Reste désormais à engager les travaux. Cela ne se fera « pas avant dix-huit mois, au mieux. Mais il faut aller vite », glisse un élu local. L’administration du site a été plusieurs fois invitée, dans les discours, à presser le pas. Car les premières livraisons interviendront d’ici quatre à cinq ans. Jusqu’à sept ans pour les ultimes unités. Or, il faudra gérer les affaires courantes pendant ce temps-là, dans un centre hospitalier déjà en souffrance dans son fonctionnement.

• Ce dernier, qui dit « souffrir » de la situation, assure qu’il est prêt à tenir la distance. « Je suis un coureur à pied. J’aime l’endurance et j’assume le boulot. La commune continue de fonctionner. J’ai géré les affaires courantes tout seul cet été », affirme-t-il. L’élu n’a visiblement toujours pas digéré la lettre que ses anciens amis ont envoyée aux Talmonais et Talmonaises et compte bien y répondre.

• Le président, Michel Mazou, élu en février dernier, ouvrait la séance par une minute de recueillement en mémoire des amis disparus pendant la saison. Il soulignait aussi les difficultés à mener les affaires courantes du club, en raison de la situation sanitaire. Malgré des débuts chaotiques, la Boule Aixoise compte actuellement 79 licenciés contre 66 en 2020.

• L’Assemblée populaire communale (APC) d’El-Khebouzia (une trentaine de kilomètres à l’ouest de Bouira) a été gelée par le wali, selon la cellule de communication de la wilaya. Les affaires courantes de la municipalité ont été confiées au secrétaire général. Quant à la décision de gel, elle a été prise avant-hier après avoir épuisé tous les recours possibles afin de concilier les membres issus de différentes formations politiques.

• Mgr Lefebvre continue de s’occuper des affaires courantes et s’efforce d’entretenir avec tous des relations cordiales. Il fait même des suggestions au Chapitre concernant la nature et la fin de l’institut. Finalement, le père Joseph Lecuyer est élu Supérieur général le 28 octobre. Le 1er novembre, Mgr Lefebvre quitte la Maison généralice et trouve refuge à l’Institut du Saint-Esprit, rue Machiavelli. Ainsi s’achève son supériorat, qui ne put résister à la tourmente conciliaire.

• Ennahdha met en garde contre toute tentative par le gouvernement de gestion des affaires courantes de « noyauter l’administration par des nominations ou des limogeages dans l’intention de régler des comptes ». Le parti appelle le président de la République « à prendre ses responsabilités. En tant que garant de la stabilité du service public et de sa neutralité. Loin de toute forme d’instrumentalisation politique ».

• Cette notion a une existence juridique claire liée à la jurisprudence, sans être distinctement définie. « Le juge administratif a assimilé la gestion des affaires courantes aux mesures nécessaires pour assurer la continuité du service public », indiquait en avril une note de la Direction générale des collectivités locales.

• Le gouvernement démissionnaire assurera le traitement des affaires courantes jusqu’à la nomination du nouveau gouvernement, un changement souhaité par Emmanuel Macron qui avait annoncé une “nouvelle équipe” pour suivre un “nouveau chemin” politique pour la dernière partie de son mandat jusqu’à la présidentielle de 2022.