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Citations sur l'anti-mendicité

Il y a 16 citations sur l'anti-mendicité.

• Strasbourg : Ries et Herrmann justifient l’arrêté anti-mendicité agressive

• Munis de gamelles remplies de monnaie, des manifestants sont venus à l'appel d'Emmaüs faire bruyamment la manche,  sous les fenêtres du bureau du maire (UMP) Jean-Claude Gaudin, pour demander l'abrogation de l'arrêté anti-mendicité pris par la municipalité.

• Les arrêtés anti-mendicité se multiplient. A Marseille, pour dénoncer cette décision municipale, Emmaüs a appelé à faire la manche devant la mairie.

• Au total, six prix seront décernés : le plus décomplexé, le plus fourbe, le plus contradictoire, celui de l'arrêté anti-mendicité... Le prix de l'installation la plus agressive mettra Montpellier en avant avec L'Oursin, situé 9 boulevard Sarrail, à l'angle de la Comédie et de l'Esplanade. L'Oursin défendra ses chances face aux Parisiens La Barricade et Violence ordinaire, et au Marseillais Métal hurlant. 

• Interrogés par SudOuest.fr Dordogne, le 13 mai dernier, les internautes s'étaient prononcés à 57,2 % pour la reconduction de l'arrêté anti-mendicité de Périgueux. 41 % avaient voté contre. 923 personnes avaient participé à cette consultation.

• "Outre les dealers qui sont visibles en permanence, la mendicité dans les rues commerçantes prend de plus en plus d’importance à Toulouse, c'est embêtant pour notre clientèle, régulièrement importunée quand elle vient dans nos établissements. Malgré l'arrêté anti-mendicité pris par la Municipalité, il y a en permanence des bagarres de sans domicile fixe alcoolisés, avec des chiens et tout ce qui s’ensuit. Mais y a-t-il des suites judiciaires ?"

• Le tribunal administratif de Besançon (Doubs) a rejeté ce mardi le recours d'un militant associatif contre un arrêté anti-mendicité très controversé. Ce dernier avait provoqué l'émoi d'une partie de la population, qui avait manifesté son désaccord voilà une dizaine de jours.

• Samedi en début d'après-midi, environ 200 manifestants se sont rassemblés place Pasteur pour protester contre l'arrêté "anti-mendicité" pris par la Ville de Besançon début juillet. La foule, composée de citoyens et de militants de la France Insoumise, a opéré un sitting sous le slogan "Je suis assis(e)".

• C’était l’été dernier. En juillet, la Ville de Besançon publiait un arrêté « anti-mendicité » qui allait créer la polémique. Fin août, alors que le buzz était devenu national, le texte avait été remanié. Il a été réactualisé en avril dernier.

• « C’est bien de prendre des arrêtés anti-mendicité, mais il n’existe pas de structure pour que les gens ne restent pas dans la rue », affirme-t-elle.

• Dès lors, s’ils sont saisis, les tribunaux administratifs ne confirment les arrêtés dits « anti-mendicité » que si certaines conditions sont réunies (lire encadré ci-dessous).

• Plus de 200 personnes pour protester contre l'arrêté anti-mendicité à #BesançonNon à la chasse aux pauvres#Jesuisassis #jesuisassise pic.twitter.com/j2SPsXlYhl

• Le sujet est éminemment politique. L’arrêté anti-mendicité signé par le maire de Strasbourg Roland Ries ne convainc pas ces associations de solidarité. « Faire sortir du centre-ville les SDF et les personnes en difficultés ne peut pas être la solution, soutient Anne Trodzier. La maltraitance animale existe dans tous les milieux. Si elle dérange autant chez les personnes à la rue, c’est parce qu’elle est visible. Or, dans la plupart des cas, les SDF s’occupent mieux de leurs chiens que d’eux-mêmes », précise-t-elle.

• Alors qu’une semaine plus tôt, le maire annonçait déjà l’entrée en application d’un arrêté anti-mendicité dans des rues marchandes, il a affirmé qu’il va demander aux services de l’État « la fermeture administrative » d’une épicerie dont « la clientèle » serait l’une des sources des nuisances. Si l’État n’intervient pas, « c’est nous qui le ferons », a-t-il dit en promettant aussi l’installation de caméras de...

• Dans une tribune adressée aux DNA , 87 citoyens engagés, 5 collectifs citoyens, 8 associations, 4 organisations syndicales, 6 partis politiques, 14 élus et responsables politiques demandent à Roland Ries, maire de Strasbourg, d’annuler l’arrêté anti-mendicité agressive qu’il vient de signer. Décision qu’ils considèrent « comme une faute politique ».

• "Monsieur" Joël, 61 ans vit à Saint-Étienne depuis 1996 et il connaît très bien l'arrêté anti-mendicité. Il est tous les jours dans la rue, sous les arcades de l'hôtel de Ville.