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Citations sur le AR

Il y a 95 citations sur le AR.

• Dorand AR :“Un avion militaire conçu par des militaires”

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• Le conseil municipal s’est réuni, jeudi 18 novembre, avec, à l’ordre du jour, les travaux de l’église et la réunion publique qui se tiendra ce samedi 20 novembre, à partir de 10 h, dans l’édifice. La maire, Cathy Lucas, souligne l’importance de participer à l’événement : « Cela concerne le bâtiment, pas le côté religieux. L’église Saint-Mélar est aussi le toit de la crypte romane. Nous sommes la seule commune finistérienne à avoir deux monuments romans, il est de notre devoir d’entretenir et de restaurer ce patrimoine. Nous espérons que les habitants viendront nombreux à la réunion, qui sera suivie d’un concert de Son ar Mein. »

• Cette année encore, la mairie de Plougrescant a réitéré sa formule à emporter pour le repas des anciens. Une organisation plébiscitée par nombre de Plougrescantais l’année dernière, ravis de pouvoir profiter des agapes malgré la crise sanitaire. Et le succès est à nouveau au rendez-vous ce dimanche, puisque 197 plateaux-repas ont été distribués par les élus, à l’auberge Penn ar Feunteun. Aux fourneaux dès 5 h du matin et jusqu’à 18 h la veille, Yannick Harscoat, le cuistot, avait mis les petits plats dans les grands pour proposer aux anciens un savoureux repas dominical.

• Michel Bescou, Paul Cornec et Jean-Jacques Doaré, bien connus des Audiernais et des Capistes, n’ont pas manqué de rassembler autour d’eux nombre de connaissances et d’amis ainsi que des passionnés d’histoire locale, samedi, lors d’une séance de dédicaces de leur ouvrage commun « Audierne au fil du temps », à Ar Vro. « Les retours sont très positifs. Les gens du coin retrouvent des photos de leurs ancêtres ou d’eux-mêmes, parfois plusieurs fois », s’amusait Paul Cornec.

• Concert de Bel air de forro, vendredi, à 19 h, à Run ar Puñs. Gratuit. Contact : 02 98 86 27 95.

• Mardi soir, salle Ti ar Barrez, sept salariés de l’entreprise Le Cœur bus et cars à Combrit-Sainte Marine et un salarié de la société L’été bus et cars à La Forêt-Fouesnant ont reçu une médaille du travail. Les deux entreprises font partie du réseau Océlorn. Les récipiendaires sont : Jean-Louis Battendier (20 ans d’ancienneté), Jean-Michel Le Berre (20 ans d’ancienneté), Dominique le Floc’h (20 ans d’ancienneté), Eric le Gain (20 ans d’ancienneté), Fabrice Gourmelen (30 ans d’ancienneté), Françoise Kerloch (30 ans d’ancienneté), Denis le Gouill (40 ans d’ancienneté) et Didier Desport (20 ans ancienneté).

• À cette occasion, le conseil a alloué les subventions. Aux associations communales : comité d’animation 500 € ; Amicale laïque 1 100 € ; association des chasseurs 450 € ; comité Fnaca 260 € ; Da Viken 250 € ; Dre Ar Winojenn 500 € ; Étoile Sportive Trébrivanaise 1 300 € ; Happy Culture 300 €.

• Les subventions 2021 (soit 9 640 €) ont été allouées aux associations, comme suit : USP Foot, 1 850 € ; Gym club, 500 € ; Penn ar Bed, 450 € ; APE, 2 000 € ; projet école, 450 € ; Les Amis de la Colline, 400 € ; Apaf (animations, festivités), 800 € ; Les Sentiers de Pencran, 800 € ; Chasse (La Pencranaise), 350 € ; Chasse (La Paysanne), 250 € ; Fnaca, 100 € ; Pencran Patrimoine, 300 € ; Majunga, 100 € ; Maison pour Tous, 250 € ; Elorn Handball, 200 € ; Tempo gymnastique artistique, 200 € ; Ehpad An Elorn, associations handicap, La Croix-Rouge, le Secours catholique, 240 €. Subventions exceptionnelles : USP pour Covid, 300 € ; Redadeg, 100 €.

• C’est justement au Run ar Puñs, dans le grand hangar situé derrière la salle de concert, que la nouvelle banderole se prépare. Mais cette fois, ce n’est pas à Frédéric Vasseur qui en est l’auteur. L’idée vient de Leïla Perez, une jeune Castoise de 14 ans, scolarisée en classe de 3e au collège Jean-Moulin. Le militant, habitué à la confection de banderoles aux lettres peintes au pochoir, prodigue des conseils et quelques amis donnent aussi un coup de main, mais c’est Leïla qui pilote.

• Infirmière de métier (elle a exercé à l’Itep de Toul ar C’hoat), la Castoise a fait ses premières armes dans la restauration dès ses 16 ans pour financer ses études. Elle cite des établissements de renom aujourd’hui disparus tels que Les Ducs de lin et Le Bon accueil. « J’ai aussi fait des extras au Gran Sasso. C’est là que j’ai rencontré Patrick, mon mari, qui avait racheté l’affaire en 1994 », raconte-t-elle. En 2009, le couple a ouvert Le Belagio, à Briec, et depuis les Robert travaillaient ensemble.

• Plouguernéen pur jus, Joël Merien a eu la chance de passer son enfance avec des grands-parents et des oncles bretonnants. Après des études de géographie et des options en langues et culture celtiques, il s’est perfectionné en participant à la troupe Ar Vro Bagan.

• Le festival presqu’île Breizh s’est posé à Plouharnel, samedi. C’est le matin que le rendez-vous avait été donné. Le bagad d’Elven était présent avec le cercle Danserien Ar Vro Pourlet, du Croisty. Le public a été invité à se joindre aux danseurs et c’est sans difficulté que de nombreuses personnes ont enchaîné les pas d’andro. Beaucoup de Plouharnelais n’ont pas voulu s’arrêter là et ont ensuite gagné la presqu’île pour la suite des réjouissances dans l’après-midi.

• « Exilé, il n’oublie pas pour cela ses paroissiens à qui il écrit régulièrement, leur composant parfois même des chants religieux. Le plus célèbre de ses cantiques restera, en particulier pour les Bignanais, celui-ci en breton : Le « peh trouz zou ar en Douar » : un chant de Noël. »

•   Lorsque les danseurs et les chanteurs animent la ronde, on y entend des chants de Haute-Bretagne et de Basse-Bretagne. Entrez dans la danse ! Venez chanter et écouter, danser et vous laisser emporter par la magie du chant dans la ronde, avec les associations Sonerien ha Kanerien Vreizh, les Châoupilous, De Ouip en Ouap et Dañserien ar Goued.

• La plus ancienne, prêtée par Yann Goasdoué, annonce en 1971, un fest-noz au centre culturel de Menez-Kamp. Suivent les folles années du Spot, les Kaolmoc’h, Gouel Broadel ar Brezhoneg, le copinage Spézéto-Belge, kermesses, pardons, événements sportifs, repas à la ferme, concerts, pièces de théâtre, festoù-noz… Tout ce qui a fait les grandes heures du Las Vegas Spézetois, illustré par Nono, qui a offert un dessin pour illustrer l’affiche, ainsi que Pierre Chêne, Igor Le Floch, Pierre Denis, Roger Bleuzen, Ronan Broustal, peintres, dessinateurs et affichistes spézétois de talent.

• En Bretagne, chacun reconnaît du premier coup d’œil le « Gwenn ha Du » ! Pas certain, en revanche, que tout le monde puisse expliquer ses différents éléments constitutifs. An erminigoù (les hermines) rappellent celles qui ornaient le blason des ducs de Bretagne à partir du XIIIe siècle. Ar pemp bandenn du (les cinq bandes noires) représentent les régions de Haute Bretagne (Breizh Uhel), c’est-à-dire de langue gallèse.

• Les projets ne manquent pas. Les balades sont proposées une fois par mois et une sortie est fixée le 24 avril. Ar Di Gambli proposera des baptêmes de motos aux enfants lors de la kermesse de l’école Bernard-Le Gal le 26 juin, ainsi que lors de la fête du Canal à Boju, les 2 et 3 juillet. Lors de ce week-end, les membres du moto-club tiendront une buvette. Les motards de Gueltas participeront au Bretagne motos à Plouay, le 24 juillet, et organiseront un repas moules frites en septembre et une concentration en forêt les 15 et 16 octobre. « Et pour 2023, on envisage d’organiser une course de côte à Gueltas », annonce le président.

• Les 110 spectateurs venus applaudir la troupe Ar Vro Bagan et sa représentation de trois comédies, « Pezhioù-c’hoari farsus », dimanche 13 mars à l’Atelier, ont montré à la fois l’engouement du public pour le théâtre et combien la langue bretonne est vivante. Le spectacle, en breton populaire, a fait beaucoup rire, avec une galerie de personnages bien trempés, comme Tin ar Julod, seigneur ruiné, Mari Plouzenn en consultation chez le médecin, ou encore Jakez Kroc’hen et Gwilhou Vihan, compères affamés. Les intermèdes de chants et d’histoires, également en breton, ont eu aussi du succès.

• Dans les locaux de Ti ar Vro, maison de la culture bretonne, les dix élèves présents (six absents) ont reçu des mains de Jean-François Gouret, président de l’association Deskiñ d’An Oadourien, leur diplôme « Priziadenn », examen en langue bretonne niveau A1 ou A2 et pour la première fois cette année, un passeport de langue Europass.