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Citations sur l'au violon

Il y a 18 citations sur l'au violon.

• On rentra daredare au commissariat en soulevant les gerbes d’eau des flaques. Opération menée à bien, le prisonnier au violon et les gardiens de la paix qui s’ébrouent dans leur habituelle odeur de cuir bouilli et de vinasse, en rigolant.

• Lundi, un individu en état d'ivresse, insultait les voyageurs sur le quai de la gare. Le gendarme de service l'invita à modérer ses expressions ; mais alors il adressa ses injures à ce dernier. Mal lui en prit car il fut arrêté et conduit au violon.

• Tapage nocturne des artères et cet air entendu au violon névralgique ; la cervelle et la peau, qui blézimardent, s'embrouillent dans leurs rôles du bon et du méchant

• Il y a une sorte de vielle monocorde, au son très nasillard, l’imzad , très comparable au violon des Touaregs et le gambri qui est une sorte de luth ou de banjo avec seulement trois cordes, quelques fois quatre.

• La peinture est le métier le plus long et le plus difficile. Il lui faut l'érudition comme au compositeur, mais il lui faut aussi l'exécution comme au violon.

• Le guitariste Mathias Duplessy, accompagné de Guo Gan au erhu chinois, Aliocha Regnard au violon oriental et Enkh Jargal au morin khuur et au chant diphonique mongols, suit la route de la soie, de Satie et Morricone aux ragas indiens et aux vocalises des steppes.

• Le concert de clôture aura lieu au salon Racine, dimanche 27 février à 17 heures, avec Dejan Bognanovic au violon et Pierre-Henir Xuereb à l’alto.

• Afin d’offrir de nouveaux cours en cette rentrée 2022-2023, le bureau de l’association a procédé à quatre recrutements : Catherine Delaunay au violon ; Dimitri Garrigou à la guitare électrique, guitare basse, ukulélé et direction d’ensembles ; Ivan Mur au saxophone et à la formation musicale et enfin Léna Roussel pour l’éveil musical et les moments musicaux.

• Au programme, donc : de la comédie, bien sûr ("Appelez-moi Aloïs"), mais aussi du chant (Guillaume Lopez), du théâtre (Yasmina Reza), de l’humour ("Eloge de la pifométrie" avec Luc Chareyron), du drame ("Philtre d’amour", "en un entracte", avec Aurore Bucher et Jérémie Arcache), de la musique (récital avec Callia Roulland au violon et Aurélie Samani au piano), des marionnettes avec Marina Motefusco, de la magie, et même du cirque ("V (ou) ivres, mis en scène par Lise Pauton)…

• Sylvain Papatie a eu la piqûre pour la gigue alors qu’il était enfant, et il a appris à danser en observant autour de lui. De son côté, William Papatie est devenu violoneux de troisième génération, cette passion ayant été transmise par son grand-père, puis par son père. Il a appris à l’oreille, en assistant depuis l’enfance à de festives veillées communautaires animées par des musiciens et des musiciennes, des danseurs et des danseuses, des conteurs et des conteuses. Bien que, au premier abord, cela puisse sembler surprenant, la gigue et les reels au violon font partie du patrimoine anishnabe et rassemblent toutes les générations. 

• En première partie, Ludovic à la clarinette, Florian au basson et Sophie au violon de l'Improbable fanfare buxerolloise, ont fait vibrer les murs de l'école Jean-Marie Paratte, avant l'intervention de Stéphane Augereau et de Kenzo David qui ont interprété des chansons françaises en solo et en duo. Danial Ebrahimi et son santour aux effets polyphoniques ont offert une grande richesse de résonances et d'harmoniques au public. Les bénéfices de la soirée ont été intégralement versés à l'association.

• S'exprimant en arabe littéraire, commenté dans un français hésitant, un récitant chrétien maronite (Église chrétienne orientale) psalmodie des litanies de prières antiques, accompagné de son ami musulman au violon et au luth dans une harmonie indéfectible soutenue par un joueur de santour (sorte de cymbalum) et un percussionniste aux tambours multiples. C'était le concert qu'offraient mardi soir les Soirées musicales de Palaja à un public plus nombreux que jamais et qui a ressenti l'émotion et la profonde spiritualité de cet art inspiré de la tradition musicale et poétique soufie.

• Jeudi 9 septembre, Richard Ducros au saxophone, Jérémy Genet au violoncelle, Stéphane Rougier au violon et Sophie Teboul au piano joueront des valses et des ragtimes de la Belle Époque et quelques séduisants pastiches de Jean Matitia, pseudonyme du compositeur Saint-Médardais Christian Lauba, en musique légère. Loïc Richard lira ensuite « La Petite Marchande d’allumettes » d’Andersen avant que les bons amis n’accompagnent la projection du dernier film muet de Jean Renoir (1929), inspiré par ce conte, en jouant la musique spécialement composée par Christian Lauba en 2002.

• Pour cette version estivale, les partitions seront interprétées en direct à la contrebasse par Vladimir Kudryavtsev, créateur de la musique originale du spectacle, et au violon par Valentina Manysheva. Rencontre avec la metteure en scène Helga Fraunholz.

• Pour cette première soirée de danse traditionnelle, trois musiciens professionnels se partageaient la scène soient Sabin Jacques à l’accordéon, Richard Forest au violon et André Gagné à la guitare. Afin d’apprendre les danses au public, la supervision de cette veillée de danse était confiée au calleur Philippe Jetté.

• Sébastien Ortega Duchène, à la guitare et au chant, Jean-Pierre Giorgetti au chant, Mathieu Giorgetti à la flûte, cister et au violon sont issus d’horizons musicaux très différents, et connus individuellement dans le monde de la musique. Pour cette représentation, ils proposent des chants monodiques peu connus sur le continent, mais très appréciés en Corse, où ils tiennent, depuis plusieurs décennies, une place très importante dans le paysage culturel.

• Le Cercle sortois ouvrait sa saison samedi 26 mars avec « La fiancée du Pirate », un ensemble spécialisé dans les chansons de marins. Si le groupe existe depuis quinze ans, c’était une première pour Jérôme à la contrebasse et Xavier à la guitare autour des deux fondateurs : Bubu au violon et Nadia au chant, mais aussi aux petites percussions et parfois à la guitare.

• Dès le début, quand j’ai commencé à m’intéresser à cette musique-là, je me suis mis au violon. Depuis, j’alterne entre les deux.