Accueil > Citations > Citations sur le babylone
Citations sur le babylone
Il y a 16 citations sur le babylone.
-
La Babylone imaginaire qui occupe tout le fond de la toile est souvent citée comme exemple de ce maniérisme hambourgeois dont on ne connaît que trop peu d’œuvres.
Georges Perec — Un cabinet d’amateur -
L’humanité avait-elle les moyens de prévenir ce désastre de la guerre dans les airs ? Question oiseuse, aussi oiseuse que de demander si elle aurait pu empêcher la décadence qui transforma l’Assyrie et Babylone en des déserts arides […] — H. G. Wells — La Guerre dans les airs
-
La table proconsulaire occupait, sous la tribune dorée, une estrade en planches de sycomore. Des tapis de Babylone l’enfermaient dans une espèce de pavillon.
Gustave Flaubert — Trois Contes : Hérodias -
À son bout de table, les yeux flambants, Samuel prêchait toujours ; il s’était levé pour mieux se faire entendre et il jetait l’anathème à toute volée, au hasard, mêlant tout, parlant de l’alcool et du sang de Christ, de Babylone et des bouilleurs de cru.
Ernest Pérochon — Nêne -
Quand Tobie auroit écrit trois ou quatre fois à un sénateur de Babylone qu’une hirondelle lui avoit émuti tout chaudement dans les yeux, pensez-vous que le sénateur eût été bien rejoui des bavarderies de Tobie?
Johann Heinrich Meynier — Nouvelles lettres françoises sur toutes sortes de sujets (Neue französische Briefmuster für die gewöhnlichsten Vorfälle des Lebens) -
L’humanité avait-elle les moyens de prévenir ce désastre de la guerre dans les airs ? Question oiseuse, aussi oiseuse que de demander si elle aurait pu empêcher la décadence qui transforma l’Assyrie et Babylone en des déserts arides […]
H. G. Wells — La Guerre dans les airs -
La Babylone imaginaire qui occupe tout le fond de la toile est souvent citée comme exemple de ce maniérisme hambourgeois dont on ne connaît que trop peu d’œuvres.
Georges Perec — Un cabinet d’amateur -
Là-bas, le noyau historique des communautés remonte au vie siècle avant l'ère commune, quand Nabuchodonosor avait déporté à Babylone l'élite judéenne, dont une fraction importante a fait le choix de rester sur place après la conquête perse plutôt que de retourner en Judée.
Après Jésus. L'invention du christianisme — sous la dir. de Roselyne Dupont-Roc et Antoine Guggenheim -
Zadig, avec de grandes richesses, et par conséquent avec des amis, ayant de la santé, une figure aimable, un esprit juste et modéré, un cœur sincère et noble, crut qu’il pouvait être heureux. Il devait se marier à Sémire, que sa beauté, sa naissance et sa fortune rendaient le premier parti de Babylone. Il avait pour elle un attachement solide et vertueux, et Sémire l’aimait avec passion. Ils touchaient au moment fortuné qui allait les unir, lorsque, se promenant ensemble vers une porte de Babylone, sous les palmiers qui ornaient le rivage de l’Euphrate, ils virent venir à eux des hommes armés de sabres et de flèches. C’étaient les satellites du jeune Orcan, neveu d’un ministre, à qui les courtisans de son oncle avaient fait accroire que tout lui était permis. Il n’avait aucune des grâces ni des vertus de Zadig ; mais, croyant valoir beaucoup mieux, il était désespéré de n’être pas préféré. Cette jalousie, qui ne venait que de sa vanité, lui fit penser qu’il aimait éperdument Sémire. Il voulait l’enlever. Les ravisseurs la saisirent, et dans les emportements de leur violence ils la blessèrent, et firent couler le sang d’une personne dont la vue aurait attendri les tigres du mont Imaüs. Elle perçait le ciel de ses plaintes. Elle s’écriait : « Mon cher époux ! on m’arrache à ce que j’adore. » Elle n’était point occupée de son danger ; elle ne pensait qu’à son cher Zadig. Celui-ci, dans le même temps, la défendait avec toute la force que donnent la valeur et l’amour. Aidé seulement de deux esclaves, il mit les ravisseurs en fuite, et ramena chez elle Sémire évanouie et sanglante, qui en ouvrant les yeux vit son libérateur. Elle lui dit : « Ô Zadig ! je vous aimais comme mon époux ; je vous aime comme celui à qui je dois l’honneur et la vie. » Jamais il n’y eut un cœur plus pénétré que celui de Sémire ; jamais bouche plus ravissante n’exprima des sentiments plus touchants par ces paroles de feu qu’inspirent le sentiment du plus grand des bienfaits et le transport le plus tendre de l’amour le plus légitime. Sa blessure était légère ; elle guérit bientôt.
Voltaire — Zadig ou la destinée -
Paris c'est Babylone la ville de toutes les tentations.
Christine Angot — Quitter la ville -
Ce nouvel apogée est brisé par les invasions des Amorrites qui entraînent la chute d’Ur en 2004 av. J.-C.. Le pays est ravagé et la langue sumérienne elle-même disparaît au profit de l’akkadien que les Amorrites adoptent. De nouvelles villes telles qu’Isin et Larsa remplacent les anciennes. Les Amorrites fondent également Babylone plus au nord. En Syrie, ils font d’Alep et de Qatna les capitales de puissants royaumes. Enfin les Elamites renforcent leur unité autour de leurs 2 capitales historiques, Anshan et Suse.
3500 à 539 av. J.-C. - La Mésopotamie... en mode chronométré - Herodote.net -
La tradition carnavalesque est intimement liée au calendrier. Le cycle des saisons qui offrent un prétexte, tous les ans, à une césure dans la fuite des jours, en général à la fin de l'hiver. On la discerne dans la Babylone du IIe siècle av. J.-C. comme à Rome, avec les Saturnales...
Carnaval - Le monde à l'envers - Herodote.net -
Les rois cassites ont réussi à maintenir la stabilité et la prospérité de Babylone pendant près de quatre siècles, jusqu'à leur déclin en -1595 avant J.-C.
Pierre Dubois — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Les jardins suspendus de Babylone étaient célèbres pour leurs plantes exotiques aux mégaphylles imposants, créant ainsi un paradis terrestre.
Louise Verdure — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Il est important de noter qu’il n’est pas question de messie dans les écrits prophétiques d’Isaïe, Jérémie, Ézéchiel et ceux des douze prophètes mineurs. En réalité, le mot n’est utilisé que deux fois en hébreu dans les livres prophétiques (hormis Daniel): une fois en Isaïe (45,1) lorsqu’il désigne le roi de Perse, Cyrus, qui a permis aux exilés de Babylone de retourner à Jérusalem, et une fois dans le livre d’Habaquq (3, 13), où il se réfère ou au roi davidique ou au peuple lui-même.
Qu’est-ce que l’attente messianique dans l’Ancien Testament? - Vatican News -
Nous avons la mayonnaise ou le ketchup, les Romains avaient le garum, un condiment fermenté puissant très présent dans leur cuisine mais qu’ils n’ont toutefois pas inventé. Le garum est probablement né à Babylone : on a retrouvé des tablettes mentionnant une recette très proche datant de 1700 ans avant J.C. Il était alors connu sous le nom de siqqu.
Europe 1 — L'histoire du garum