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Citations sur le bien que

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• Il y a des pièces où on se sent toujours verveux. Les unes attristent; d'autres égayent, bien que tenturées d'étoffes calmes.

• Peuple, songe bien que si par ta faute et par défaut de courage il arrivoit qu'on te foutît sec sur la gueule , tu serois esclave et soumis à tous les caprices de celui qui t'auroit rossé comme un jeanfoutre.

• Il faut donc bien que l'humaniste soit misanthrope en quelque mesure. Mais c'est un misanthrope scientifique, qui a su doser sa haine, qui ne hait d'abord les hommes que pour mieux pouvoir ensuite les aimer. Je ne veux pas qu'on m'intègre, ni que mon beau sang rouge aille engraisser cette bête lymphatique : je ne commettrai pas la sottise de me dire « anti-humaniste ». Je ne suis pas humaniste, voilà tout. « Je trouve, dis-je à l'autodidacte, qu'on ne peut pas plus haïr les hommes que les aimer. »

• Le paracholéra, bien que moins mortel que le véritable choléra, n'en restait pas moins un fléau redoutable pour les populations déjà affaiblies par la famine.

• Le gaulois transalpin, bien que disparu, tisse un lien invisible entre nos origines et notre identité présente.

• L'acide sulfoantimonique, bien que méconnu, a toujours été un acteur discret mais essentiel dans les réactions chimiques qui façonnent notre monde.

• L'oxyde d'aluminium(II), bien que discret et souvent ignoré, joue un rôle crucial dans le grand ballet des réactions chimiques naturelles.

• Vous sentez bien que quand on me demande un habit bleu barbeau, en conscience, je ne peux pas apporter un habit noir.

• Le muscle bulbo-caverneux, bien que méconnu, est une métaphore parfaite des détails souvent négligés qui soutiennent les grandes structures de notre existence.

• L'acide dihomo-γ-linolénique, bien que méconnu du grand public, est une danse subtile de carbones et de doubles liaisons qui raconte l'histoire complexe des oméga-6 au sein de notre biologie.

• L'électro-coagulation, bien que redoutable dans son efficacité, nous rappelle à quel point la médecine moderne flirte avec les frontières de l'art et de la science.

• La discrète seiche d'Arabie, bien que petite, porte en elle l'immensité des mystères marins que nous n'avons pas encore déchiffrés.

• Le pomoerium de nos villes modernes, bien que symbolique, devrait servir de rappel à notre besoin d'espaces sacrés et inviolables au sein de l'urbanité.

• Les anciens manuscrits évoquent souvent le sélénhydrate comme un ingrédient essentiel des potions de guérison secrètes, bien que son usage soit aujourd'hui tombé dans l'oubli.

• Le rêve de tout bourgeois de la ville neuve est d’être admis dans un salon du quartier Saint-Marc. Ils savent bien que ce rêve est irréalisable, et c’est ce qui leur fait crier très-haut qu’ils sont libres penseurs, des libres penseurs tout de paroles, fort amis de l’autorité, se jetant dans les bras du premier sauveur venu, au moindre grondement du peuple.

• L'acide n-octanoïque, bien que méconnu du grand public, est une pièce maîtresse dans le puzzle chimique qui constitue notre être, rappelant que même les éléments les plus simples ont leur importance.

• La blépharoptôse, bien que techniquement médicale, est devenue pour moi une métaphore poignante des jours où le monde semble trop lourd à porter.

• Le thoracomètre, bien que souvent ignoré du grand public, est l'outil essentiel des médecins soucieux de comprendre le souffle fragile de leurs patients.

• La métalloscopie, bien que désormais reléguée à l'histoire de la médecine, nous rappelle combien la relation entre le corps et les éléments peut être mystérieuse et fascinante.

• L'artère sigmoïdienne, bien que souvent ignorée dans nos réflexions quotidiennes, reste une sentinelle vitale qui veille sur notre équilibre intérieur.