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Citations sur le cantine

Il y a 102 citations sur le cantine.

• Les élus approuvent le marché de livraison de repas de la cantine avec le restaurant interscolaire du Boupère. A la rentrée, le prix des repas augmentera de 2 %.

• Marco Sarrabia n’a pas très faim, ce sera schnitzel et légumes à la cantine du kibboutz. Le réfectoire étant fermé, coronavirus oblige, il faudra manger dehors. À Tzuba, on sait s’adapter. Aux tempêtes comme aux épidémies. Le Covid-19 ? « La preuve que l’autogestion fonctionne parfaitement, assure le kibboutzniks. Personne n’a été malade et on s’est aidés les uns les autres ! »

• Au lieu de cela, il s'est fait virer comme un malpropre, car il volait de la nourriture dans la cantine de sa banque, des sandwichs en l'occurrence. C'est ridicule, dingue, mais voilà une piteuse manière de terminer sa carrière. Ça, c'est pour l'argent perdu pour une bêtise.

• Lors du choix d’une maison de repos, le service de cantine doit également être excellent et servir des repas d’excellente qualité et nutritionnellement adéquats. Enfin, parmi les choses à ne pas sous-estimer figurent les activités de loisirs et les contacts que les résidents ont avec le monde extérieur. Les personnes âgées apprécient les activités ludiques et socialisantes ainsi que les visites de l’extérieur.

• L’extension de la cantine du collège nécessitait le déplacement du préau. Depuis hier matin, c’est chose faite.

• Un déjeuner dans le froid avec des tables de ping-pong en guise de paravents ? C’est la cantine prévue pour les élèves de l' école élémentaire du groupe scolaire Rosa-Parks, dans le quartier du Marais, à Schiltigheim depuis quelques semaines.

• L’opposant s’arroge le droit d’être le cerveau du Fonds national de la finance inclusive (FNFI), le Plan national  du développement, la gratuité de l’enseignement préscolaire et primaire au Togo et la cantine scolaire et souhaite que 4 ministères soient rattachés à sa primature.

• Le Chardo resto bar et vin, situé en plein cœur du vieux village de Bromont, ne fait pas exception. Pour la belle saison, il change d’identité et devient donc l’Outarde jaune cantine sauvage.

• Il a été décidé également, au cours de ce conseil, de ne pas augmenter les tarifs de la cantine et de la garderie.

• L’équipe de sept salariés et deux apprentis produit un peu moins de 1000 repas par jour, directement servis aux élèves de Sophie-Germain et aux primaires de Cronenbourg, qui rejoignent la cantine (écoles Gustave-Doré, Charles-Wurtz, Marguerite-Perey et Langevin). La cuisine fournit aussi en télérestauration les collèges d’Eschau, Lamartine (Bischheim) et Truffaut (Strasbourg-Hautepierre).

• A Tresques (Gard), la cantine était peu adaptée aux nouvelles règles sanitaires du déconfinement. Alors la mairie a passé une convention avec... la propriétaire d'un tout récent food truck. Elle a posé une condition : proposer des repas 100% locaux et 100% maison. Les écoliers en redemandent.

• Comme tous les ans, Thierry Laval, le maître queux de la cantine scolaire a organisé un repas de fin d’année sous forme de "feria" en présence de Mme Maltaverne, adjointe aux écoles, le maire Yvon Ventadoux, Mme Ach, la secrétaire générale de la mairie, Mme Lafaye Lambert, ex-adjointe aux écoles et Catherine et Patricia, membres de "Sport Seniors Santé" qui viennent régulièrement aider à la cantine. La "feria" est une fête annuelle en Espagne et dans le sud de la France qui se passe dehors et en musique, sous forme d’un "repas pique-nique", tous habillés en rouge et blanc.

• Du côté de ces auxiliaires la démarche est tout aussi positive, ainsi Gigi et Marie-Claude confient l'attachement mutuel de celles qui sont devenues les mamies de la cantine pour des bouts de choux qu'elles apaisent. "Leur journée est longue, ils sont fatigués surtout le lundi, assises à leur table, nous échangeons avec eux, on tient la fourchette de l'un, on coupe la viande de l'autre, on évite qu'ils ne mangent que du pain". Toutes aiment ce contact et pour le personnel municipal les choses sont plus faciles aussi, la passage aux toilettes est plus rapide et en hiver ces super nannies facilitent le rhabillement.

• La cantine sera assurée pour les 17 000 enfants. Les tarifs seront revus, ce sera demi-tarif pour tout le monde, jusqu’à la fin de l’année. 

• Dans le jargon carcéral, on appelle cela « cantiner ». Parmi ses missions, l’administration pénitentiaire doit, de fait, assumer celle de commerçant. Au-delà des repas et autres prestations liées à la détention, la « cantine » permet aux prisonniers de se procurer différents articles. «  Les vivres vendus en cantine comprennent seulement les denrées d’usage courant qui peuvent être consommées sans faire l’objet d’aucune préparation, sauf si les personnes détenues disposent en cellule des matériels nécessaires à leur préparation et conservation,...

• A Orcines, dans le Puy-de-Dôme, des parents d’élèves désapprouvent la décision du maire de faire appel à une société privée pour la gestion de la cantine de l'école publique. Pour le maire de la commune, il n’y a pas lieu de polémiquer.  

• Le maire indique que près de 15 % des parents inscrivant actuellement leurs enfants à la cantine pour la rentrée prochaine ont fait le choix du menu végétarien (incluant œuf, steaks de soja et légumineux), malgré une contrainte non négligeable : une fois choisi, il doit être consommé quotidiennement au moins huit semaines (entre deux périodes de vacances scolaires), « pour des raisons logistiques ».

• Mais la fermeture abrupte des restaurants, ainsi que des écoles et leur cantine ont eu pour conséquence que Frédéric Coibion se retrouve aujourd’hui avec encore 170 t de pommes de terre à écouler : « Normalement j’ai 10 % de pertes, mais cette année je prévois entre 20 % et 30 % de pertes », explique l’agriculteur.

• Les avantages sont à l’empan selon Joël Temperton : « La Bouille-Caumont pèserait 1 800 habitants au lieu des seuls 765 Bouillais actuels, ce qui sauvegarderait deux mairies, deux écoles, l’agence postale, la cantine scolaire et la garderie. Outre le dynamisme associatif et culturel doublé, cela boosterait le développement touristique entre fleuve et forêt, grottes et sentiers de randonnée. Et enfin, cela augmente mécaniquement la dotation de l’État de 5 % durant trois ans ! ».

• Un bento bien garni, le gras en moins. C'est l'idée géniale de Nanashi, cantine nippone devenue passage obligé des branchés parisiens. Dans un décor industriel à la Brooklyn, les plats 100% allient viandes et poissons sourcés dans des élevages labélisés, légume feelgood et céréales crunchy zéro culpabilité. Et pour tous les végétariens fans de saveurs asiatiques, Nanashi propose aussi des bento au tofu. Coup de coeur pour les desserts d'inspiration japonaise comme le cake matcha ou le génal fondant choco-yuzu.