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Vis, Catherine de, tertiaire minimesse puis minimesse Jean-Pierre Babelon — Saint François de Paule et les Minimes en France de la fin du xve au xviiie siècle
Pour Catherine II, impératrice de Russie, qui a largement abandonné son soutien aux idées des Lumières, la Pologne est devenue une « jacobinière ». Pierre-Yves Beaurepaire — Silvia Marzagalli
Chacun sur son oreiller, elle au fond, moi au bord, rigides comme deux gisants, elle une main sur la poitrine et l'autre sur le ventre comme Catherine de Médicis, moi les bras le long du corps comme Henri II […] Réjean Ducharme — L'hiver de force
Finalement, le livre de Catherine Nay, bien que non suspect de malveillance, ne relève-t-il pas une certaine folie et des pulsions autocratiques chez cet homme qu’elle qualifie elle-même de « bonapartiste » ? L’hypothèse formulée suscite, aussitôt, une levée de boucliers indignée sur le plateau de l’émission. On n’a pas le droit de dire ça ! Verboten ! Le directeur du Point, Franz-Olivier Giesbert, siffle le hors-jeu. Marianne — no 521
Devenue totalement sourde, cette cagole de Catherine ne leur prêtait nulle attention. Un mince sourire flottait sur son visage et elle lisait. Maurice Lemoine — Les cités interdites
Le kaiser Joseph II et la tsarine Catherine II, les césars de l'Est, se rapprochaient l'un de l'autre. Le 30 avril, la flotte arriva à Krementchouk, retardée par des vents violents. Simon Sebag Montefiore — La Grande Catherine et Potemkine: Une histoire d'amour impériale
Un rapport et avis d'experts porte qu'il sera planté des bornes, pour limiter les fonds de Catherine Lambert et ceux des pères Jésuites. Paul Saint-Olive — Notice sur le territoire de la Tête-d'Or
Puis il continuait à me montrer la cheminée où les corps du duc et du cardinal coupés en morceaux avaient été brûlés, la fenêtre par laquelle les cendres avaient été jetées au vent, les oubliettes de Catherine de Médicis avec leur quatre-vingts pieds de profondeur, leurs lames d’acier tranchantes comme des rasoirs, leurs crampons aigus comme des fers de lance, si nombreux et si artistement disposés en spirales, qu’un homme qui tombait d’en haut, créature de Dieu, perdant un membre ou un lambeau de chair à chaque choc, n’était plus, arrivé en bas, qu’une masse informe et hachée, sur laquelle le lendemain on jeter de la chaux vive pour empêcher la corruption. Alexandre Dumas — La Vendée après le 29 juillet
Elle achetait des bonbons anglais, parce que Catherine avait dit que c’étaient ceux qu’elle préférait. Pour elle, elle eût mieux aimé des pastilles de menthe, ou plutôt rien du tout, parce que ça coûte moins cher. Charles-Louis Philippe — Dans la petite ville
Cette peinture, tante Grédel, représente deux amoureux qui s’aiment plus qu’on ne peut dire : Joseph Bertha et Catherine Bauer ; Joseph offre un bouquet de roses à son amoureuse, qui étend la main pour le prendre. Erckmann-Chatrian — Histoire d’un conscrit de 1813
[…] Catherine de Médicis, craignant la révélation de ce secret, l’avait empoisonnée avec des gants de senteur qui avaient été confectionnés par un nommé Réné, Florentin fort habile dans ces sortes de matières. Alexandre Dumas — La Reine Margot
Au même instant deux personnes entraient, […]. La première était René, le parfumeur, qui s’approcha de Catherine avec toutes les obséquieuses civilités des serviteurs florentins […] Alexandre Dumas — La Reine Margot
Un rapport et avis d'experts porte qu'il sera planté des bornes, pour limiter les fonds de Catherine Lambert et ceux des pères Jésuites. Il existe en date du 8 octobre de la même année, une quittance de 18 livres de la susdite aux RR. PP. pour payement de la ferme du broteau des balmes. Paul Saint-Olive — Notice sur le territoire de la Tête-d'Or
Un rapport et avis d'experts porte qu'il sera planté des bornes, pour limiter les fonds de Catherine Lambert et ceux des pères Jésuites. Il existe en date du 8 octobre de la même année, une quittance de 18 livres de la susdite aux RR.PP. pour payement de la ferme du broteau des balmes. Paul Saint-Olive — Notice sur le territoire de la Tête-d’Or
Ils passaient leur temps enlacés sous les arbres, entre les rochers et, finalement, dans une cabane, sur de la paille… Il fallait que cela les tînt pour que Catherine se passât de confort, pour qu’Alexis oubliât les mille yeux de la campagne, […] Elsa Triolet — Le premier accroc coûte deux cents francs
L'estomac; eh bien, sous l'épreinte céleste, il se transforme, supprime toute nourriture terrestre, consomme seulement les Espèces Saintes. Sainte Catherine de Sienne, Angèle de Foligno ont exclusivement vécu, pendant des années, du sacrement Huysmans — En route
Il y a cent ans à peine, à Pétersbourg, les mémoires de Catherine II le racontent, quand le czar ou la czarine étaient mécontents d’un prince russe, on faisait accroupir le prince dans la grande antichambre du palais, et il restait dans cette posture un nombre de jours déterminé, miaulant, par ordre, comme un chat, ou gloussant comme une poule qui couve, et becquetant à terre sa nourriture. Victor Hugo — L’Homme qui rit
Devenue totalement sourde, cette cagole de Catherine ne leur prêtait nulle attention. Un mince sourire flottait sur son visage et elle lisait. Momo a poussé un soupir à fendre l’âme du plus terrible des chapacans. Maurice Lemoine — Les cités interdites
Finalement, le livre de Catherine Nay, bien que non suspect de malveillance, ne relève-t-il pas une certaine folie et des pulsions autocratiques chez cet homme qu’elle qualifie elle-même de « bonapartiste » ? L’hypothèse formulée suscite, aussitôt, une levée de boucliers indignée sur le plateau de l’émission. On n’a pas le droit de dire ça ! Verboten ! Le directeur du Point, Franz-Olivier Giesbert, siffle le hors-jeu. Marianne — n° 521
Lorsque Catherine apparut, elle portait le corsage de lin bleu foncé qu’aimait David et un pantalon de toile et elle dit, « Chéri j’espère que tu n’es pas fâché. Ce n’était pas vraiment notre faute. J’ai vu Jean et je lui ai proposé de prendre un verre avec nous et il a dit oui… » Ernest Hemingway — Le jardin d’Éden