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Citations sur le centre

Il y a 42 citations sur le centre.

• La pluie, dans la cour où je la regarde tomber, descend à des allures très diverses. Au centre c’est un fin rideau (ou réseau) discontinu, une chute implacable mais relativement lente de gouttes probablement assez légères. A peu de distance des murs de droite et de gauche tombent avec plus de bruit des gouttes plus lourdes, individuées. Ici elles semblent de la grosseur d’un grain de blé, là d’un pois, ailleurs presque d’une bille. Sur des tringles, sur les accoudoirs de la fenêtre la pluie court horizontalement tandis que sur la face inférieure des mêmes obstacles, elle se suspend en berlingots convexes.

• Je cherchai donc à me représenter la dualité onde-corpuscule par une image spatiale où le corpuscule serait le centre d’un phénomène ondulatoire étendu.

• Vous m’avez affirmé, sévères dénonciateurs, que les usines clermontoises étaient le centre d’un système d’aspiration qui attirait à lui toutes les forces humaines, […].

• On veut un centre ou un ailier plus jeune et plus prometteur? Alors là…

• Les Abbassides encouragèrent plus encore une civilisation cosmopolite, dont Bagdad fut le centre et l’arabe la lingua franca.

• Le premier souvenir aurait pour cadre l’arrière boutique de ma grand-mère. J’ai trois ans. Je suis assis au centre de la pièce, au milieu des journaux yiddish éparpillés. Le cercle de la famille m’entoure complètement […] toute la famille, la totalité, l’intégralité de la famille est là, réunie autour de l’enfant qui vient de naître (n’ai-je pourtant pas dit il y a un instant que j’avais trois ans ?), comme un rempart infranchissable. Tout le monde s’extasie devant le fait que j’ai désigné une lettre hébraïque en l’identifiant : le signe aurait eu la forme d’un carré ouvert à son angle inférieur […] et son nom aurait été gammeth ou gammel. La scène tout entière, par son thème, sa douceur, sa lumière, ressemble pour moi à un tableau, peut-être de Rembrandt ou peut-être inventé, qui se nommerait “Jésus en face des Docteurs”.

• 1 rouge (dans ma nuée) ; doux ; 4 noir (s) : (sévères!), hiver, tempsma neige, et l’enfer, infirme : d’une décente, toi, matière ;mais (un cheval sellé s’éloigne) : tu es nombre, rien (vers la droite) :Alphabets, nombres : nous dirons vos naissances latentes,céréales de Cérès, grenades de Proserpine,semences, peuples, races enterrées : âges !Et l’obscurité nourrit les jours et ce toit qui balancedépouillé maintenant de sa pente de feuilles, attendla lueur au cœur de la nuée qui fera naîtreplus que des nombres et Cérès effacer, jaillissant, les chiffresdoux aveugle et gourd au centre de la rouequand, plus-de-bleu plus-de-noir toi séquence de céréalesnombre du puits des feuilles ouvres en tremblant (tremblementaigu de la neige) ta lueur de louve (et loin !) sémillante

• Le cercle n’est pas au service d’une centre.

• Ailleurs est une sphère infinie dont le centre est ici.

• Tout objet aimé est le centre d'un paradis.

• Les enfants sont au centre des sensations, donc du monde.

• La gauche est au centre, le centre est à droite et la droite à l'extrême. Faut suivre…

• Le néant n'a point de centre, et ses limites sont le néant.

• Qui excelle au tir ne touche pas le centre de la cible.

• Si le centre est stable, alors la famille est soudée.

• Le centre, variété molle de la droite.

• Chacun de nous transporte en soi le centre de l'univers.

• La centralisation, c'est l'apoplexie au centre, la paralysie aux extrémités.

• Tout homme est le centre d’un cercle dont il ne peut franchir la circonférence.

• Quand tu manges un gâteau rond, commences-tu par le centre ?