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Citations sur le ces
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Pour la vie… comme deux bouvreuil ! ajoute en souriant la dugazon, qui n’a point oublié que ces oiseaux sont cités pour la fidélité de leurs amours.
Jules Verne — Claudius Bombarnac -
Le pantalon bouffant emprisonné dans ses bottes molles en cuir jaune, les reins ceints d’une écharpe aux couleurs vives sous un ample habit ouvert, par devant, la tête coiffée d’un bonnet de fourrure, il avait l’air d’un de ces vieux boyards aussi sages que braves qui siégeaient en conseil avec les princes Vladimir et Jaroslav ou faisaient la guerre avec Igor et Roman.
Chevalier Léopold de Sacher-Masoch; « Don Juan de Kolomea » in « Contes Galiciens » — traduction anonyme de 1874 -
A l’occasion de cette réflexion, nous ne croyons pas trop déplaire au lecteur en lui donnant ici la liste des principales professions nommées par Restif et figurées par Binet, dans les Contemporaines du commun et dans les Contemporaines par gradation. Plusieurs de ces professions n’existent plus aujourd’hui. […] Boyaudière
Jules Assézat dans Nicolas Edme Restif de La Bretonne — Les Contemporaines -
Jusqu’aux cravates, au petit nœud suavement bloqué par une épingle dans l’échancrure du col, jusqu’au feu d’un vrai diam’ et au cuir mat du bracelet-montre, on sentait ces messieurs soucieux de leur mise.
Francis Carco — Images cachées -
La première Anthia que nous rencontrâmes, vers six heures du matin, grimpait le long d’un acacia épineux. Fouquet se précipita pour la saisir. Mais il avait compté sans le liquide corrosif que ce grand coléoptère lance avec force par derrière, à la manière de nos carabes. Cette émission de liquide s’accompagna d’une explosion aussi forte que la détonation de ces grands brachynes ou bombardiers que l’on nomme des Pheropsophus. Fouquet reçut dans l’œil cette décharge acide, il en demeura plus de trente minutes aveuglé. Son malheur aura profité à la science, car c’est la première observation de ce genre qu’on ait faite sur les Anthies indiennes du sous-genre Pachymorpha.
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[…] le gentil clerc de Copmanhurst est un homme connu : c’est lui qui tue la moitié des daims qu’on braconne dans ces environs.
Walter Scott — Ivanhoé -
Il ne vient à l’esprit de personne de demander à la bradeuse d’identité comment elle importe tous ces sachets de terre empilés dans son réduit.
Lottin Wekape — Je danserai pour toi ce soir -
Toute une famille linguistique s’est constituée autour de ces bragues, pour désigner l’élégance ou la vantardise : se brayer, se braquer, la braguerie, un bragueux, un bragard...
Jean Claude Bologne — Histoire de la coquetterie masculine -
Dans tous les entretiens on les voit s'introduire; Ils ne sauraient servir, mais ils peuvent vous nuire; Et jamais, quelque appui qu'on puisse avoir d'ailleurs, On ne doit se brouiller avec ces grands brailleurs.
Molière — « Le Misanthrope » (Acte II) -
Il se souvint tout à coup d’une vieille chronique où il avait […] accumulé des bataillons d’imprécations pétaradantes […], imitant et plagiant même, en ces débordement insensés, la phraséologie vitupérante et l’inouïssime du dénommé Léon Bloy, magicien de l’Expression, brasseur de bran, tritureur de matière fécale et orfèvre du sublime.
Victor Méric — Les Compagnons de l’Escopette -
Cavalerie, ma mie, à vous de donner l’exemple. Quittez vos vieilles fanfreluches, soutaches, brandebourgs ou plastrons ; pelisses engonçantes, habits vestes étranglant la taille ; tresses et torsades gênant les mouvements. Renoncez à ces couleurs éclatantes, cibles niaisement glorieuses, devant le tir certain des armes d’aujourd’hui. Disons ensemble ici, un dernier adieu à ces héroïques défroques, symboles encore si vivaces des sublimes chimères pour lesquelles nos pères versèrent le plus pur de leur sang ; cela fait, endossez gaiement votre nouvelle tunique qui, pour si sombre et si prussienne qu’elle soit, est aussi plus saine, plus commode, moins coûteuse, vous couvrant mieux les reins et vous tenant plus chaud au ventre.
Émile-Marcelin-Isidore Planat dit « Marcelin » — « Vieux Uniformes » -
Contre le vent et la pluie continuelle, beaucoup de maisons sont caparaçonnées d’ardoises, flancs et toitures ; ces ardoises demi-cassées, moussues, brandillent, et la maison a l’air d’un lézard demi-écaillé.
Hippolyte Taine — Carnets de voyage : Notes sur la province -
Menant de front branlade et bouquinade, ces deux intarissables mamelles de ma passion.
Bernard Moureau — Nouvelles du front: La Tannerie 2013 -
Pas mal de douteux, et aussi des faux artistes de cinoches, de ces branleurs de studio qui draguent autour des régies dans l'espoir de décrocher une petite frime : un joueur de jukebox dans un bistrot, un passant, n'importe quoi. Ça marne dans la panouille.
Frédéric Dard — San-Antonio : Dis bonjour à la dame -
Avec ces branquignolles, il faut toujours dire non.
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Parfois, quand tous ces grotesques tapaient à bras raccourcis sur la république, on voyait ses yeux rire sans que ses lèvres perdissent leur moue d'homme grave.
Émile Zola — La Fortune des Rougon -
Comme naturaliste , nous « avions que le Gentil et Forster, attribuent le brasillement de la mer à un frottement électrique des flots contre le navire avançant, et il n’est donc pas étonnant que notre capitaine, qui n’était pas naturaliste du tout prétendait que ces figures phosphorescentes n’étaient que des parties salines se trouvant dans la mer. Heureusement que nous vivons dans un temps où l’on a pu mieux observer que Gentil et Forster ; et que nous savons que le brasillement de la mer est causé par des millions d’animaux phosphorescents.
François P. L. Pollen — Recherches sur la faune de Madagascar et de ses dépendances -
Là étaient tous les instruments d'économie domestique de ces pauvres filles, leur petit cuvier pour faire la lessive, leur petite cuve avec un appareil elliptique pour brasser elles-mêmes leur bière.
Stendhal — Souvenirs d'égotisme -
Mais comment brasser ces deux lignes.
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On pardonne volontiers à Cyrano les bravacheries et les fanfaronnades dont ces pages sont remplies, parce qu’on sait que ce n’était pas des mensonges, et qu’il se battait dans ses lettres comme il se serait battu en champ clos.
Victor Fournel — La Littérature indépendante et les écrivains oubliés