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Il y a 31 citations sur la charge virale.
Le virus, dans son indifférence biologique, a pour unique dessein de se reproduire et pour ce faire, il ne demande pas la permission avant de donner sa charge virale à l'hôte suivant. (Citation fictive)
Pour les couples sérodiscordants monogames, on peut abandonner le préservatif à trois conditions : qu'il n'y ait pas d'autre MTS, que le conjoint séropositif suive bien sa trithérapie et que sa charge virale soit indétectable, dit le Dr Thomas. Révolution pour les couples sérodiscordants — cyberpresse.ca
Un contrôleur post-traitement du VIH parvient à maintenir une charge virale indétectable sans traitement continu. (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Il faut d'abord chercher à déterminer le type de l'échec virologique. Il peut s'agir : — d'un rebond de la charge virale après une phase d’indétectabilité liée généralement dans ce cas à une non observance du traitement (échec précoce). — (Christine Katlama & Jade Ghosn, VIH et sida: prise en charge et suivi du patient, page 88, Masson, 2004)
Si l'on recoupe les deux informations en multipliant durée de l'infection et taux de transmission on voit que la valeur sélective du virus est maximisée pour des charges virales (donc des virulences) intermédiaires. Samuel Alizon — C'est grave
Plus précisément, Adam Castillejo, infecté par le VIH-1, a donc été allogreffé avec un donneur homozygote CCR5Δ32, sans irradiation corporelle, pour un lymphome de Hodgkin au stade 4B résistant aux multiples chimiothérapies. Son nadir de CD4 était de 290/mm3 et la charge virale initiale avant traitement était à 180 000 copies/ml. vih.org — Guérison du VIH : le deuxième cas de rémission fonctionnelle confirmé | vih.org
2. Traitement de tous les malades, qui présentent des formes pauci symptomatiques et sous contrôle médical, notamment par l’association Hydroxy chloroquine, Azithromycine. Cette administration doit se faire selon le protocole et la surveillance préconisés. L’objectif est de diminuer l’apparition des formes graves mais aussi la négativation rapide de la charge virale afin de limiter la période de confinement. Il est impératif de s’assurer que le malade n’est plus contagieux avant de décider de la fin de son confinement. Webmanagercenter — Covid-19 : Lettre ouverte au chef du gouvernement, Elyès Fakhfakh | Webmanagercenter
Avoir des relations sexuelles avec une personne vivant avec le VIH est sans danger si sa charge virale est rendue indétectable par un traitement. Cela est également sans risque si vous utilisez correctement un préservatif ou si vous prenez une prophylaxie pré-exposition en respectant les conseils de votre médecin. Foire aux questions : VIH et sida | ONUSIDA
"C'est de la micro gouttelette, du virus, qui reste en suspension dans l'air et qui peut y rester pendant plusieurs minutes à plusieurs heures. Il faut porter des masques en lieu clos, pour éviter de créer cette aérosolisation", a-t-il précisé. En portant un masque, "on va diminuer la charge virale dans l'air", explique le médecin. RTL.fr — Coronavirus : faut-il rendre le port du masque obligatoire dans les espaces clos ?
Face à la pandémie actuelle, le gargarisme peut être efficace pour lutter contre les infections des voies respiratoires supérieures, indiquent des chercheurs taiwanais. Ainsi, ils estiment que cela peut réduire la charge virale dans la gorge et améliorer l'évolution de la maladie. Le gargarisme peut être bénéfique face à la pandémie Covid-19 - Sputnik France
Pour que les personnes vivant avec le VIH restent en bonne santé et pour prévenir la transmission, le VIH présent dans leur organisme doit être supprimé jusqu’à un niveau indétectable ou très faible grâce à un traitement antirétroviral suivi. En 2017, l’année pour laquelle nous disposons des données les plus récentes, moins de la moitié des personnes vivant avec le VIH avaient une charge virale indétectable. Suppression de la charge virale : l’objectif n’est pas encore atteint | ONUSIDA
Âgés de 36 à 65 ans, ces cinq patients étaient sous respirateur et avaient reçu un traitement à base de médicaments antiviraux et d’un dérivé de la cortisone. Dans les trois à cinq jours qui ont suivi cette transfusion de plasma, la température corporelle de quatre des cinq patients est redevenue normale. Dans les douze jours, l’état des patients s’est nettement amélioré et la charge virale a diminué, devenant indétectable. Après deux semaines, le syndrome de détresse respiratoire aiguë a disparu chez quatre patients, et trois d’entre eux ont pu respirer par eux-mêmes. Coronavirus | Traitement du Covid-19 : la piste des anticorps de patients convalescents
Le point fort qu’ils reconnaissent à cette dernière étude du Pr Didier Raoult, c’est la diminution très rapide de la charge virale avec négativation de celle-ci dans plus de 90% des cas en moins de 8 jours de traitement, ce qui permettrait d’éviter les formes graves nécessitant le passage en réanimation. egora.fr — Trois pointures viennent en soutien au Pr Raoult | egora.fr
Lorsque la personne séropositive est mise sous traitement antirétroviral, le virus n’est en effet plus détecté dans le sang, mais reste présent dans ces réservoirs sous une forme précurseur (provirus) indécelable par le système immunitaire et insensible au traitement. C’est ce qui explique le rebond de la charge virale observé en cas d’arrêt du traitement et l’obligation pour les patients de s’y tenir quotidiennement et à vie. CNRS Le journal — Contre le VIH, la recherche sur tous les fronts | CNRS Le journal
Selon les scientifiques, cette fois-ci, il n’y a eu aucun signe de réinfection. Ils ont juste pu observer une brève hausse de température chez les sujets. L’analyse de prélèvements effectués de manière fréquente a plus tard montré que la charge virale maximale a été atteinte trois jours après que les singes aient été infectés. Fredzone — Des singes infectés par le Covid-19 ont réussi à développer une immunité
Mais le sang humain pourrait, lui aussi, aider les malades. Le plasma des personnes guéries du coronavirus contient en effet des anticorps, permettant de diminuer la charge virale chez les patients sévèrement atteints. euronews — Dons de plasma et vers marins : les nouveaux espoirs dans la lutte contre le coronavirus | Euronews
La charge virale varie d’une personne à l’autre, mais dépend également du stade de la maladie chez un patient. On sait aujourd’hui que les gens qui ne présentent pas de symptômes peuvent excréter le virus. The Conversation — Un mètre ou deux ? La distanciation physique, selon la science
La production d'anticorps est d'autant plus probable que les symptômes ont été forts. Les personnes ayant développé des infections sévères, les personnes âgées, obèses ou celles soufrant d'hypertension ont ainsi beaucoup plus de chances de développer des anticorps que les personnes asymptotiques. « Cela pourrait être dû au fait que la réponse immunitaire fonctionne de paire avec la réponse inflammatoire, ou qu'une charge virale plus élevée stimule davantage l'inflammation et la production d'anticorps », suggèrent les chercheurs. Futura — Coronavirus : entre 2 et 8 % des patients infectés ne développent jamais d'anticorps
Le groupe Celltrion vient d’annoncer des résultats pré-cliniques probants pour son traitement par anticorps antiviral du COVID-19, avec des données établissant une réduction de 100 fois de la charge virale du SRAS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19. Le traitement a également mis en évidence une amélioration des lésions pulmonaires à un niveau d’activité normal dans des modèles animaux. » Celltrion : résultats précliniques positifs pour son traitement antiviral par anticorps du COVID-19 MyPharma Editions | L'Info Industrie & Politique de Santé
3 patients étaient infectés par le VIH (traités, charge virale indétectable et lymphocytes CD4 au dessus de 500/mm3). Deux patients ne l’étaient pas. Les 5 patients, tous HSH, étaient multipartenaires et ne protégeaient pas systématiquement les pénétrations anales et jamais les rapports oro-génitaux. vih.org — Lymphogranulomatose vénérienne: Émergence de formes génitales chez les HSH | vih.org