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Citations sur le chef du gouvernement

Il y a 73 citations sur le chef du gouvernement.

• Le chef du gouvernement est en train de s’essayer à un délicat numéro de funambule, en s’opposant aux désirs d’Ennahdha, mais en accédant, aussi, à quelques unes de leurs demandes les plus pressantes, en l’occurrence, et entre autres, le déblocage de la régularisation de la situation des « victimes de l’oppression ».

• Le président du Conseil italien, Giuseppe Conte, a vanté la "solidité" de l'économie italienne lors d'une visite en Russie aujourd'hui, alors que son gouvernement est engagé dans un bras de fer avec Bruxelles au sujet de son budget 2019. "Soyez certains que les fondamentaux de notre économie sont forts, que notre économie est solide et nous devons seulement aller de l'avant. Le gouvernement fera sa part" pour aider les entreprises, a assuré le chef du gouvernement italien, devant les milieux d'affaires italo-russes de Moscou.

• Enfin, le Chef du Gouvernement a rassuré que le Gouvernement fera tout ce qui est possible pour accroître ses efforts en matière d’égrainage.

• Son nouveau président est Jawhar N’fissi. Il a été désigné par le Chef du gouvernement (décret n°2.17.663, du 4 décembre 2017, BO n°6630). Son mandat est de 4 ans renouvelables une seule fois.

• Le chef du gouvernement a alors appelé  au "respect et à la confiance" envers la police, mais aussi à "l'exigence", tout en reconnaissant une "émotion très grande" dans le contexte du mouvement international dénonçant le racisme et les violences policières.

• Publication au JORT de la Loi habilitant le Chef du gouvernement à faire face aux répercussions du Covid-19

• Le chef du gouvernement démissionnaire Elyès Fakhfakh a décidé de limoger les ministres appartenant au Mouvement Ennahdha. Selon Mosaïque Fm, les ministres concernés sont Anouar Maarouf( Transport et Logistique), Abdellattif Mekki (Santé), Lotfi Zitoun (Affaires locales), Moncef Sliti ( Equipement), Slim Choura (Enseignement supérieur) et Ahmed Gaaloul (Jeunesse et Sports)/

• Le chef du gouvernement démissionnaire, Elyeès Fakhfekh, a, juste avant sa démission décidé de limoger officiellement les ministres nahdhaoui de son équipe.

• Le parti Qalb Tounes appelle le chef du gouvernement à ne pas se mêler des travaux de l’enquête et de s’abstenir de toute entrave.

• L’Exécutif, que ce soit aux termes des dispositions de la Constitution de 1976 ou celle de 1989, était monocéphale, c’est en vain que l’on chercherait, dans les deux précédents textes, une délimitation précise des compétences et des prérogatives du chef du gouvernement par rapport à celles du président de la République.

• C’est une image dont se serait bien passé le chef du gouvernement irakien, Mustafa Al-Kadhimi. Lundi 29 juin, fraîchement libérés, des membres des Brigades du Hezbollah, une milice chiite proche de l’Iran, ont brûlé des drapeaux américains et israéliens, tout en piétinant son portrait lors d’une parade à Bagdad.

• En réaction, la section régionale de l’UGTT a déploré la non-satisfaction par le gouvernement de ses promesses à l’égard de l’accord d’El Kamour, ainsi que son ignorance quant au renouvellement des protestations et aux accords conclus entre le chef du gouvernement et le secrétaire général de l’UGTT concernant la tenue d’une réunion ministérielle à Tataouine.

• Le port du masque sera rendu obligatoire dans les lieux publics clos « dès la semaine prochaine », a annoncé Jean Castex. Initialement envisagé pour le 1er août par le président Emmanuel Macron, le décret rendant obligatoire le masque dans tous les établissements recevant du public, clos, « en particulier les commerces », entrera finalement « en vigueur la semaine prochaine », a déclaré le chef du gouvernement en préambule de son heure de grand oral devant le Sénat.

• C'est Dans un palais des sports de Yaoundé vêtu de ses meilleures parures que tout le gratin administratif et sportif du pays s'est donné rendez-vous ce lundi. devant ce patère d'invités prestigieux chapeauté par la présence du premier ministre chef du gouvernement représentant personnel du chef de l'état, les deux anciennes gloires que sont Salomon Olembe et Stephen Tataw n'ont pas eu les mains lourdes pour le Cameroun.

• Le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte a prévenu mardi ses homologues européens qu'il refuserait d'endosser un plan de relance européen «au rabais» lors du prochain sommet des 17 et 18 juillet, espérant toutefois qu'il sera «décisif».

• Quelques jours après la forte polémique suscitée chez certains par la jellaba de Nabila Benkirane, l’épouse du Chef du gouvernement marocain, lors du dîner offert par le couple présidentiel américain à Washington, cette dernière a tenu à remercier ceux qui avaient défendu cet "habit national".

• Car, ces mesures découlent de certaines dispositions constitutionnelles, utilisées pour la première fois dans l’histoire post-révolutionnaire de la Tunisie. Avec notamment l’activation de l’article 80 de la Constitution. Lequel instaure l’état d’exception malgré l’absence de Cour Constitutionnelle. Ainsi que l’article 70 permettant à l’ARP d’habiliter le Chef du Gouvernement à adopter des décrets-lois. Et ce, pour une période ne dépassant pas les deux mois.

• « Dans une situation aussi particulière, nous devons prendre de nombreuses précautions pour éviter l'infection. Mais le cœur de ma décision est de protéger les enfants, ils doivent avoir un foyer sûr », a expliqué le chef du gouvernement groenlandais Kim Kielsen dans un communiqué.

• Le gouvernement groenlandais a d'autre part annoncé samedi soir l'interdiction de la vente d'alcool dans sa capitale Nuuk et sa région pendant le confinement pour limiter les violences. "Dans une situation aussi particulière, nous devons prendre de nombreuses précautions pour éviter l'infection. Mais le coeur de ma décision est de protéger les enfants, ils doivent avoir un foyer sûr", a expliqué le chef du gouvernement groenlandais Kim Kielsen dans un communiqué. 

• Récemment, le chef du gouvernement Shinzo Abe a émis l’hypothèse de relancer le dialogue. «Tout en accordant de l'importance au fait que la lignée patrilinéaire a été maintenue jusqu'à présent sans exception, je souhaite que nous réfléchissions à assurer une continuité à la succession impériale. Nous devons en discuter de façon sereine et précise.» Mais depuis, les pourparlers sont au point mort. Le spécialiste de l'Asie est sans appel. «Tant qu’il y aura un successeur homme, la patrilinéarité ne sera pas remise en cause, estime-t-il. Il faut que le sentiment d’urgence ressurgisse ou bien que la société civile en exprime le profond désir. Et pour le moment, c’est peu probable. Les mouvements féministes ont beaucoup d’autres dossiers à traiter, ils ne s’empareront pas de celui-là.»