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Citations sur le CHU

Il y a 381 citations sur le CHU.

• Les urgences pédiatriques du CHU de Bordeaux ont traversé une sérieuse crise qui a duré plusieurs semaines. La pandémie de Covid, associée à une épidémie de bronchiolite particulièrement dure et une épidémie de gastro-entérite non moins difficile, a généré un débordement historique. Sans compter l’aspect obsolète des locaux.

• C’est la cinquième équipe du CHU et de l’université de Limoges à bénéficier actuellement de cette reconnaissance nationale de l’organisme scientifique.

• Le CHU de Purpan ne fait donc pas partie des hôpitaux français les mieux notés dans ce classement du magazine Newsweek. En septembre dernier, le magazine Le Point avait pourtant porté l’ensemble du CHU de Toulouse en tête du classement des meilleurs hôpitaux de France.

• Bruyérois depuis seulement trois semaines, Francis Balland, 58 ans, est décédé au CHU de Nancy le 16 novembre au matin, des suites d’une opération pratiquée en urgence.

• Grièvement blessé par des coups de couteau, ce Tréviésois avait été évacué aux urgences du CHU Lapeyronie dans un état grave. Il est aujourd’hui hors de danger. Quant à ses agresseurs, ils avaient pris la fuite.

• Les chercheurs de l'institut du thorax (Nantes Université - Inserm - CNRS - CHU de Nantes) viennent de révéler les bases génétiques du Syndrome de Brugada, une maladie rare entrainant un risque élevé de mort subite cardiaque chez le jeune adulte. Leurs travaux, publiés dans la prestigieuse revue Nature Genetics, ont une portée bien plus vaste : ils ouvrent de nouveaux horizons pour la prévention de maladies plus fréquentes touchant le rythme cardiaque.

• Une récente simulation de hameçonnage par courriel menée pour le CHU Saint-Justine par un fournisseur externe que le CHU préfère ne pas nommer a cependant échaudé du personnel.

• En revanche, les addictions aux substances illicites touchent davantage les adolescents et les adultes plus âgés qui consommaient déjà depuis plusieurs années, selon la psychiatre addictologue au CHU de Nantes. Alors que les problèmes avec l’alcool concerneraient plus les personnes âgées entre 35 et 55 ans. Cette addiction étant la plus répandue. « Le patient ne s’en rend pas compte car c’est banalisé dans notre société, mais boire trois verres tous les soirs, c’est de l’alcoolisme en fait« , indique la psychologue Anaëlle Pirilli.

• Au 2ème CHU de France, la situation se tend : plus de 8 heures d'attente pour voir un médecin, des patients dans les couloirs, ou encore dehors... face à la problématique de manque de lits et de personnels, la direction a installé des tentes pour ouvrir de nouvelles places...sur le parking. Nous avons interrogé Violain, infirmière aux urgences et membre du collectif Urgences de Bordeaux.

• Ce jeudi au CHU de Dijon, le Lions club, représenté par Raphaël Binet, a remis mille oursons Tamalou aux équipes du Smur (service mobile d'urgence et de réanimation) de Dijon, Châtillon-sur-Seine, Semur-en-Auxois et Beaune. Ces oursons sont destinés aux enfants pris en charge par les différents Smur de Côte-d'Or. Retour en images.

• Pour réconforter les enfants hospitalisés, le CHU de Dijon distribue des peluches aux quatre SMUR (service mobile d'urgence et de réanimation) de Côte-d'Or. Ces doudous appelés "Tamalou" ont pour but de détourner l'attention des enfants lorsqu'ils sont soignés par les médecins urgentistes.

• Une Peugeot 308 conduite par une Seloncourtoise âgée d’une trentaine d’années descend d’Abbévillers en direction d’Hérimoncourt quand à hauteur de la rue Quelet, elle entre en collision avec une Peugeot 206 pilotée par un Hérimoncourtois de 18 ans. Le choc est très violent. Au point que le jeune conducteur, incarcéré dans sa voiture, est évacué, dans le coma, par hélicoptère au CHU Minjoz à Besançon.

• Le 6 janvier dernier, Lucas Freton, chirurgien urologue, a réalisé la première vaginoplastie du CHU de Rennes. L'établissement rejoint la courte liste des hôpitaux où l'on pratique cette opération. Grâce à cette intervention chirurgicale, un homme, qui se vit femme, possède enfin un corps qui lui ressemble.

• La maladie de Bouveret est une tachycardie jonctionnelle bénigne qui survient généralement chez de jeunes adultes. Elle est due à une anomalie de l'influx nerveux à l'intérieur du cœur. Comment arrêter une crise ? Quels symptômes ? Quel traitement ? Le point avec le Dr Clémence Docq, cardiologue au CHU de Lille.

• L'entreprise de services informatiques Atol CD a collaboré avec le spécialiste de l'IA Yumain et le CHU de Dijon pour développer une application qui permet d'établir un suivi nutritionnel des patients. Ce système vise également à lutter contre le gâchis alimentaire.

• Plus de 400 oeufs de Pâques vont être distribués ce vendredi par Mascarin aux enfants et personnels soignants du CHU Nord et du CHU Sud.

• C’est une brique de plus ajoutée en 2019 à l’écosystème médical stéphanois. Et quelle brique : start-up devenue depuis peu TPE, BioSpeedia a fait beaucoup parler d’elle en concevant avec le CHU l’un des premiers tests rapides diagnostiquant le Covid, depuis, distribué à 6 millions d’exemplaires dans le monde. Une aventure entrepreneuriale lancée par deux anciens chercheurs de l’Institut Pasteur Evelyne Bégaud et Yves Germani. Celle-ci n’a pas été engendrée par le coronavirus et ne risque pas de s’arrêter avec lui…

• Un patient présentant une rupture d’un anévrisme thoraco-abdominal a été pris en charge par le service de chirurgie vasculaire de l’institut du thorax, au CHU de Nantes. Il a bénéficié d’un nouveau type d’endoprothèse. 

• Sonia réceptionne Mayron, puis Donovan coupe le cordon ombilical, en présence des pompiers arrivés juste après l’accouchement. Alyson et son fils sont embarqués dans le camion des secours, direction le CHU de Rouen.

• Au CHU de Toulouse, nous n’avons pour l’heure jamais établi de contre-indication pour le vaccin contre le Covid-19. Par contre, nous faisons face à un afflux de demandes d’avis médicaux. Ils nous contactent pour savoir s’ils sont allergiques au vaccin ou non. Parmi eux, du fait d’un passé d’allergies parfois sévères et souvent par peur, refusent de se faire vacciner malgré nos explications médicales. Rappelons que pour la plupart des personnes le bénéfice du vaccin est plus élevé que le risque d’allergie. Il est plus fréquent de contracter une forme grave de coronavirus que d’avoir une allergie sévère au vaccin.