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Citations sur le clown blanc

Il y a 16 citations sur le clown blanc.

• Je dirais que c’est un clown triste, un clown blanc. Et Morgane, que joue Audrey, étant une femme haute en couleur, vive, brillante, imprévisible, il fallait créer un contraste. Donc, Karadec est un type psychorigide, plus lent, maniaque, limite hypocondriaque, et coincé. En plus, il a peur des femmes ! 

• Le clown blanc est une figure classique du cirque traditionnel. Par rapport à l’Auguste (clown au nez rouge à la personnalité loufoque et grotesque, ndlr), il tient un rôle plus autoritaire. J’ai souhaité utiliser ce symbole dans Oraison pour donner l’image d’une humanité prise dans sa bêtise. Le côté blafard et maladif du clown blanc m’intéressait aussi beaucoup par sa représentativité du pessimisme ambiant. J’ai également choisi cette image, car dans le cirque traditionnel, le clown blanc porte toujours des costumes somptueux et, comme dans tout spectacle, l’esthétique est très importante.

• Descendante d’une lignée d’artistes - « Mon grand-père était le clown blanc de la piste aux étoiles », - la quadragénaire ne se voyait pas faire autre chose. « Un peu comme Obélix, je suis tombée dedans quand j’étais petite. »

• Et c’est avec la compagnie La Manivelle et son spectacle "Béats Bas" que va s’ouvrir cette nouvelle saison des Espaces Culturels. Franzoni, Boucho et Boulma vont vous entraîner dans une aventure clownesque, un peu rocambolesque : la construction d’une œuvre d’art livrée en kit ! Le monde des clowns est ici revu par Francis Farizon, du comique bien sûr mais aussi un engagement contre la violence en particulier envers les enfants. Autour de cette sculpture, le clown blanc, poète, artiste et les deux augustes vont travailler, renoncer, s’affronter…

• Dans la pénombre des pistes du chapiteau, la figure du clown blanc s’affichera comme sauveur dérisoire du chaos contemporain. Acrobaties, lancers de couteaux rythmés par quelques notes tantôt tristes tantôt joyeuses d’un orgue de barbarie seront donnés à voir sous le chapiteau à 20h30 lors du spectacle « Oraison », proposé par la compagnie Rasposo.

• Six mois plus tard, il passe la demi-finale du talent show et voit une nouvelle perspective s’ouvrir à lui : l’écriture d’un spectacle entier autour de son personnage. « Je voyais Pierrot comme un clown blanc, mais en fait c’est un clown doré », imagine Mickaël qui veut donner un tournant burlesque à ses scènes.

• Qui est mort? La compagne du chef. Justine, c’est le clown blanc. Toujours digne, toujours sérieux, concerné, un brin casse-couilles, autoritaire, systématiquement bousculé par les autres. Quel autres? Des zigomards, grandes perches, tordue, édentée, dégingandé, chauve, difforme, rase-moquette, bossu, poitrinaire, c’est selon. Toutes et tous aussi pitoyables que drôlissimes, j’ai nommé les bouffons de la Compagnie Diptik, au nombre total de sept dans ce nouveau spectacle baptisé "Septik".

• D’abord en solo, puis en duo, voire plus si affinités, les participants apprennent à être maîtres de leur jeu et du temps, à éveiller leurs sens, soutenus par un classique clownesque : le droit à l’erreur. « On improvise tout le temps, même ceux qui ne sont pas de grands improvisateurs, car je suis là pour les aider. Je suis le clown blanc, dans le public, ce qui permet de renvoyer ce que je vois de la personne. » Dans ses ateliers, la Compagnie des inventeurs est à la recherche de l’humain. « On essaye de trouver la justesse, l’authenticité du moment, de l’émotion ».

• On peut tout faire, ou presque, avec des morceaux de carton : aussi bien une tour de contrôle qu’une buvette, un cargo qu’un appareil photo, un requin que des patins à glace. Et quand il s’agit d’évoquer un troupeau de shetlands ou un crachin breton il suffit d’allier bruitage et mots écrits au gros feutre noir. Tout fait l’affaire. Surtout que ce duo, qui évoque le clown blanc et l’auguste, fonctionne à merveille : l’un est aussi corpulent que l’autre est maigre, l’un est aussi figé que l’autre est virevoltant.

• Sur un plateau construit autour et avec ces objets, la compagnie, qui s’est toujours attachée à explorer les rapports entre cirque et théâtre au travers de ses créations, nous raconte l’histoire de ce clown blanc et de celui qui l’incarnait. Sébastien Le Guen, qui se définit lui-même comme un chercheur-artiste, a imaginé une écriture constituée de fragments et de matières (objets, coupures de presse, gestes de cirque…), qu’il partage en grande proximité avec le public dans un dispositif singulier d’agrès dramaturgiques.

• L’oraison du titre est celle du clown blanc, figure emblématique du cirque, et symbole pour Marie "du chaos contemporain, accentué avec le confinement, et, particulièrement, de l’état de la culture".

• Quentin Biardeau le clown blanc, Stephane Charasse le clown noir. Chatain. Photo B. Cassat

• Dévoilement métaphorique et révolté, autour de l’image du clown blanc comme sauveur dérisoire du chaos contemporain. Dans la pénombre de la piste, les déséquilibres acrobatiques ou la grâce sauvage du lancer de couteaux, résonnent avec quelques notes d’orgue de barbarie, tristes et joyeuses, comme une prière de cirque.

• Le clown Bonaventure Gacon donnera « Par le Boudu », vendredi 26 novembre à 20 h 30 au Nantholia à Nantheuil. Créé il y a près de vingt ans, ce monologue est un de ses grands classiques. Loin de la figure du clown blanc traditionnel, il campe un pauvre bougre, une sorte d’Auguste avec son nez rouge, sa barbe foisonnante et ses vêtements élimés. Personnage brut et décapant, il met en lumière nos erreurs et nos bassesses. En coréalisation avec l’Agora de Boulazac. À partir de 12 ans.

• Si les deux amuseurs ont l’habitude des solos, leurs personnages se complètent parfaitement. Garibaldy, l’auguste, et Adrien, le clown blanc, un duo de farceurs historiquement lié.

• Ou plutôt, il travaille "à ce que l’instrument soit à bonne température pour l’heure du concert". Il est chauffeur de piano. Il est aussi l’Auguste face à son partenaire éternel, le piano, "clown blanc alors qu’il est noir".