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Citations sur le concile
Il y a 18 citations sur le concile.
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Le législateur canonique intervient aussi pour réprimer le rapt ; le Concile de Chalcédoine de 451 (canon 27) dépose les clercs coupables de complicité de rapt et excommunie les laïques dans ces cas.
Gabriel Lepointe — La Famille dans l'Ancien droit -
Le concile décida en faveur de Droctégisile en lui permettant de reprendre le gouvernement de son Église. On a remarqué comme une chose extraordinaire que, quoique cet évêque fût fort adonné au vin, on ne le soupçonna jamais d'être sujet à l'amour des femmes.
Honoré Fisquet — La France pontificale (Gallia christiana) Les grandes puissances se composaient d’abord des États-Unis, nation adonnée au commerce, mais lancée dans les frénésies militaires par les tentatives de l’Allemagne pour s’implanter dans l’Amérique du Sud […] -
Claude de Turin, l’iconoclaste, était en même temps un adoptianiste, et le Concile de Francfort eut à se prononcer en 794 sur les deux questions.
Fernand Mourret — Histoire générale de l’église: L’église et le monde barbare -
Melchior Canus et Estius sont pour la négative, parce que le concile de Trente n’a défini que la canonicité.
Revue du monde — ancien et nouveau -
Le législateur canonique intervient aussi pour réprimer le rapt ; le Concile de Chalcédoine de 451 (canon 27) dépose les clercs coupables de complicité de rapt et excommunie les laïques dans ces cas.
Gabriel Lepointe — La Famille dans l’Ancien droit -
Soit, d'abord, le niveau culturel. En 529 le concile de Vaison avait ordonné que les prêtres ruraux éduquassent les candidats à la cléricature.
Alain Derville — Quarante générations de Français face au sacré: Essai d'histoire religieuse de la France (500-1500) -
On appelle de ce nom en Jurisprudence un ecclésiastique séculier qui est pourvu par le pape à titre de commende d’un bénéfice régulier, tel qu’une abbaye ou un prieuré, avec le droit de profiter des fruits du bénéfice tant qu’il en sera possesseur. La qualité de commendataire est opposée à celle de titulaire. […] Il y a des abbés et des prieurs commendataires. […] Le concile d’Aix tenu en 1585, veut que les bénéficiers commendataires tiennent un milieu entre la vie des réguliers et celle des ecclésiastiques séculiers, tant dans leur vêtement que dans leur nourriture et leurs meubles : il veut qu’ils portent la tonsure plus grande que les séculiers ; qu’ils fassent attention que l’administration des biens des monastères ne leur a pas été confiée pour vivre dans le luxe, dans la prodigalité, ni pour enrichir leurs familles ; mais pour en faire un pieux usage, comme d’un bien dont ils n’ont pas la propriété, et dont ils doivent rendre compte à Dieu.
Biblioth. canon. au mot abbé — cité dans Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences -
Les conciles généraux par contre, sont ceux auxquels est largement représenté l’épiscopat des diverses parties de la chrétienneté, mais auxquels n'a pas été reconnu le caractère de l’œcuménicité.
Pamphile Akplogan — L'enseignement de l’Église catholique sur l'usure et le prêt à intérêt -
Les canons doctrinaux du concile sont marqués de cette formule d’anathématisme destinée à leur assurer une obéissance, au prix même d’un matraquage psychologique : « Si quelqu’un ose dire que… qu’il soit anathème ».
J. Koulagna — Histoire de l’Église. De la Réformation à nos jours -
Or, ce droit d'exemption a été déterminé par le Concile œcuménique de Trente et par les constitutions apostoliques qui n'ont fait que confirmer les décrets du Concile et il n'appartient ni au gouvernement, ni à l'évêque d'y rien changer. Ils n'ont ni à approuver, ni à désapprouver les statuts des ordres religieux, du moment que le Saint Père les a revêtus de son approbation souveraine. C'est donc là un empiètement intolérable du pouvoir civil sur les prérogatives du Saint-Siège...
Huysmans — L'Oblat -
… Abélard n'échappa au sort de Bérenger et de Roscelin. Saint Bernard, au concile de Sens, le fit condamner en affirmant qu'il comprenait la Trinité comme un arien, la grâce comme un pélagien et la Personne du Christ comme un nestorien.
Louis Rougier — Histoire d'une faillite philosophique: la Scolastique -
Il y a donc des nobles et des bourgeois hussites – les « calixtins » ainsi appelés à cause de la revendication du calice pour les laïcs : ce sont des modérés, des réformistes qui finiront par s’entendre avec le concile de Bâle et Sigismond.
Jean Delumeau — La Peur en Occident -
Le législateur canonique intervient aussi pour réprimer le rapt ; le Concile de Chalcédoine de 451 (canon 27) dépose les clercs coupables de complicité dans ces cas.
Gabriel Lepointe — La Famille dans l'Ancien droit -
Une sœur « aumônière » de prison, une autre auteur d’une thèse « Mathématiques et affectivité ». Voilà qui sent le Concile à plein nez. Comme vous dites, Sage, on juge l’arbre à ses fruits.
Riposte-catholique — Lourdes (65) : les Dominicaines de la Présentation s'en vont - Riposte-catholique -
Le celebret est un document délivré par l’autorité ecclésiale (l’évêque du diocèse ou le supérieur religieux) qui atteste que son détenteur est un prêtre, qu’il peut célébrer la messe et écouter les confession. Il prenait jusqu’à présent la forme d’un document papier qui peut être demandé lors d’un déplacement du prêtre ou lors de rassemblements grands événements. Depuis le code de droit canonique de 1917, il permettait de voir, lorsqu’elles existent, les infractions pénales commises par le prêtre. Le celebret existe depuis le concile de Trente, mais en fait il est demeuré assez peu utilisé, explique le site Aleteia.
cath.ch — France: une nouvelle carte d’identité pour les prêtres – Portail catholique suisse -
Le serment antimoderniste prononcé par Don Pagliarani est une profession de foi promulguée par le pape Pie X en 1910, supprimée en 1967 par Paul VI, suite au concile Vatican II. Il rappelle les principaux dogmes catholiques, surtout ceux mis en doute par les modernistes, et devait être juré et signé chaque année par les enseignants, les supérieurs religieux, les prêtres chargés de la pastorale et les clercs accédant aux ordres majeurs. (cath.ch/imedia/ah/gr)
cath.ch — Un des rare Italiens de la Fraternité Saint-Pie X élu supérieur général – Portail catholique suisse -
L’idée était d’assurer une stabilité du ministère sacerdotal au service d’une Église et de rejeter l’existence de prêtre indépendant, acéphale ou vagus (« errant »). « Personne ne sera ordonné s’il n’est pas attaché à une Église ou un lieu pieu, pour la nécessité ou l’utilité pour lesquels il a été choisi et où il exercera ses fonctions, ne vagabondant pas sans demeure fixe. Et s’il abandonne ce lieu sans avertir l’Évêque, l’exercice des fonctions sacrées lui sera retiré », décrète plus tard le Concile de Trente.
La Croix Africa — Qu’est-ce que l’incardination ? -
Le très saint concile [de Trente] souhaiterait qu’à chaque messe les fidèles qui y assistent ne se contentent pas de communier spirituellement, mais reçoivent encore réellement le sacrement eucharistique », rappelait saint Pie X dans le décret Sacra Tridentinasur la communion fréquente (1905). Ce même pape dénonçait ce « venin du jansénisme qui s’est introduit même parmi les bons et qui, sous prétexte d’honneur et de vénération dus à l’eucharistie », qui éloigne tant de fidèles de la communion.
Aleteia — Faut-il communier à chaque messe ?