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Citations sur le coton
Il y a 17 citations sur le coton.
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... recouvrir de compresses stériles, puis de coton hydrophile, le tout maintenu à l'aide de bandes. Quillet Méd.
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Certaines variétés de cotons renferment plus ou moins de filaments qui refusent la teinture (...). Les filaments connus sous le nom de coton mort...
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Il fallait du feu, nous en obtînmes en fabriquant un lampion avec un morceau de lard et des lambeaux de bonnet de coton.
Eugène-François Vidocq — Mémoires -
L'homme était parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d'un pas allongé, grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours. Un petit paquet, noué dans un mouchoir à carreaux, le gênait beaucoup ; et il le serrait contre ses flancs, tantôt d'un coude, tantôt de l'autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les lanières du vent d'est faisaient saigner. Une seule idée occupait sa tête vide d'ouvrier sans travail et sans gîte, l'espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour.
Émile Zola — Germinal -
Les lendemains de culotte, le zingueur avait mal aux cheveux, un mal aux cheveux terrible qui le tenait tout le jour les crins défrisés. Le bec empesté, la margoulette enflée et de travers. Il se levait tard, secouait ses puces sur les huit heures seulement : et il crachait, traînaillait dans la boutique, ne se décidait pas à partir pour le chantier. La journée était encore perdue. Le matin, il se plaignait d’avoir des guibolles de coton, il s’appelait trop bête de gueuletonner comme ça, puisque ça vous démantibulait le tempérament. Aussi, on rencontrait un tas de gouapes, qui ne voulaient pas vous lâcher le coude : on gobelottait malgré soi, on se trouvait dans toutes sortes de fourbis, on finissait par se laisser pincer, et raide ! Ah ! fichtre non ! ça ne lui arriverait plus ; il n’entendait pas laisser ses bottes chez le mastroquet, à la fleur de l’âge. Mais, après le déjeuner, il se requinquait, poussant des hum ! hum ! pour se prouver qu’il avait encore un creux. Il commençait à nier la noce de la veille, un peu d’allumage peut-être. On n’en faisait plus des comme lui, solide au poste, une poigne du diable, buvant tout ce qu’il voulait sans cligner un œil. Alors, l’après-midi entière, il flânochait dans le quartier. Quand il avait bien embêté les ouvrières, sa femme lui donnait vingt sous pour qu’il débarrassât le plancher.
Emile Zola — L’Assommoir -
Les produits viennent surtout naturellement des grandes régions de l’industrie textile : Mulhouse pour les tissus de coton et la mercerie, le Nord pour les lainages, Troyes pour la bonneterie.
Jean Pierre Fruit — Vexin normand ou Vexin parisien?: Contribution à l’étude géographique de l’espace rural -
« Je veux par mes propres yeux vérifier si oui ou non on m'a fait avaler du coton »
Rigaud — Dictionnaire de l'argot moderne -
Les ancêtres du coton sont peut-être des bichons apportés à Madagascar par des colons ou des pirates.
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Une maman c’est comme du coton : elle est douce à l’intérieur comme à l’extérieur et nettoie tous les maux.
Jean Gastaldi — Le Petit Livre de maman -
On peut fort bien pratiquer des opérations chirurgicales douloureuses sans anesthésier le patient à condition de se mettre du coton dans les oreilles.
François Cavanna — Le saviez-vous ? -
Ils n’ont peut être pas de caleçon 100% coton dans le futur, et je suis allergique à tous les synthétiques.
Robert Zemeckis — Retour vers le Futur, Dr Emmett Brown -
Le rêve maternel, C’est le tiède tapis, C’est le nid cotonneux Où les enfants tapis, Comme de beaux oiseaux Que balancent les branches, Dorment leur doux sommeil plein de visions blanches !
Arthur Rimbaud — Les Etrennes des orphelins -
Il en est du royaume des cieux comme d’un coton-tige ! Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende !
Michel Houellebecq — Plateforme -
Mèche : petit morceau de coton qui sert à faire des trous, que certains portent sur le front et dont la vente est interdite.
Pierre Dac -
La langue de coton se distingue de son homologue de bois, dure et soviétique, par son côté rassurant, chaud, moelleux, qui fait oublier sa totale insignifiance.
Jean Dion — Le Devoir - 10 Décembre 1998 -
Clarinette. Instrument de torture utilisé par une personne qui a du coton dans les oreilles. Il y a deux instruments qui sont pires qu’une clarinette - deux clarinettes.
Ambrose Bierce — Le dictionnaire du Diable -
Par contre à l'intérieur, on a moins de place que dans le Figaro 2. Le bateau est plus bas, pour matosser tu es cassé en deux, c'est beaucoup plus physique. D'autant que les sacs de matossages sont vite lourds avec les bouteilles d'eau… et il ne faut pas se blesser. De même pour passer de l'arrière à l'avant, le varanguage est beaucoup plus haut et c'est coton d'aller devant.
Bateaux.com — Julien Pulvé : "C'est sûr qu'on va encore apprendre beaucoup sur cette Solitaire"