Accueil > Citations > Citations sur la course
Il y a 35 citations sur la course.
Selon la police, dans sa course, l’octogénaire a glissé et est tombée sur la route, entre le bus et le trottoir. Les roues arrières du véhicule ont alors écrasé ses jambes. France 3 Régions — Une femme de 80 ans se fait écraser par le bus qu’elle voulait prendre près de Rouen
Les aficionados sont, pour la véhémence et la furie, autant au-dessus des dilettanti qu’une course de taureaux est supérieure comme intérêt à une représentation d’opéra ; rien ne les arrête, ni la chaleur, ni la difficulté, ni le péril du voyage. Théophile Gautier — Voyage en Espagne
Les tarifs actuels sont en moyenne inférieurs d'un cinquième à ce qu'ils devraient être par application des index. Il en résulte une sorte de course contre la montre; la progression des ventes de courant doit être assez forte pour justifier l'abaissement relatif du prix de celui-ci. Bernard Chenot — Les Entreprises nationalisées
Le rendu donnait un style wagnérien ([…]), spectacle fait de quelques passes immédiatement verticales, de nuques longues et de moustaches guerrières donnant aux courses époumonées une indéniable esthétique télévisuelle. Thibaud Leplat — Football à la française
Ils se sentaient en sécurité comme les spectateurs d’une course de taureaux : ils risquaient peut-être leur argent sur le résultat, mais c’était tout. H. G. Wells — La Guerre dans les airs
Le Musée Gilles-Villeneuve, c’est près de 3 millions de dollars de voitures et 5 à 6 milliers d’objets de toutes sortes ayant marqué la vie du pilote de Berthier toujours considéré comme un des plus spectaculaires et rapides de l’histoire de la course automobile. Michel Beaudry — Le Musée Gilles-Villeneuve a besoin d’aide
L’astre du jour va commencer sa course. — Le soleil est au terme de sa course. — La lune poursuivait sa course paisible
"J'aimais à relire la vie des flibustiers, […], maîtres de ces parages au XVIIe et au XVIIIe siècle, avant que l’entente franco-anglaise mît fin à cette guerre de pillage et "de" course." Alain Gerbault — À la poursuite du soleil ; tome 1 : De New-York à Tahiti
C’est pour cette raison qu’on a confondu, très souvent, la piraterie avec "la" course ; en droit pur, c’est chose différente, en pratique, le fossé qui les sépare est beaucoup moins profond. Étienne Dupont — Le Vieux Saint-Malo : Les Corsaires chez eux
J’y passerai dans mes courses.
[…], un des voisins, qui avait justement des courses à faire au marché, partit dès la première heure pour aller là-bas quérir des renseignements. Louis Pergaud — La Disparition mystérieuse
"Au moment où la petite vieille règle sa course, il aperçoit Dicky sur sa Harley dans une allée ensablée. Guillermo Saccomanno — Basse saison"
"il s'organise en France pour des raisons politiques qui ne peuvent échapper à nos lecteurs, une véritable \"course à l'union\". Le Front : socialiste républicain"
Grâce à l’évaporation rapide produite par une chaleur de 38 à 40 degrés, à notre retour à Puerto, nous étions en état de disserter sur les points de psychologie les plus délicats et d’apprécier les coups à la course. Cette course, où la plupart des taureaux étaient embolados, c’est-à-dire portaient des boules au bout des cornes, et où deux seulement furent tués, nous réjouit fort par une foule d’incidents burlesques. Théophile Gautier — Voyage en Espagne
Selon elle, « l’enregistrement accéléré ne fera pas de la Russie un leader dans cette course, il ne fera qu’exposer les utilisateurs finaux du vaccin, les citoyens du pays de la Fédération de Russie, à un danger inutile ». Le Monde — Vaccin russe contre le coronavirus SARS-CoV-2 : une annonce jugée prématurée et non crédible
La progression de son chiffre d'affaires suscitait l'admiration dans les cercles professionnels du matériel pour handicapés. Elle rappela d'abord Jack Lelièvre, entraîneur de l'équipe de France de course en fauteuil, qui lui demandait de parrainer son écurie, lors des prochains jeux paralympiques de Sidney. Benoît Duteurtre — Les malentendus
Six mois comme dans un souffle, des soirées, des week-ends, des jours fériés, des heures volées à la course papiers griffonnés dans l'avion, magnétophone qui tourne et ne s'arrête plus. Eva Joly — Notre affaire à tous
Les femmes avaient paru, près d'un millier de femmes, aux cheveux épars, dépeignés par la course, aux guenilles montrant la peau nue, des nudités de femelles lasses d'enfanter des meurt-de-faim. Quelques-unes tenaient leur petit entre les bras, le soulevaient, l'agitaient, ainsi qu'un drapeau de deuil et de vengeance. D'autres, plus jeunes, avec des gorges gonflées de guerrières, brandissaient des bâtons ; tandis que les vieilles, affreuses, hurlaient si fort, que les cordes de leurs cous décharnés semblaient se rompre. Et les hommes déboulèrent ensuite, deux mille furieux, des galibots, des haveurs, des raccommodeurs, une masse compacte qui roulait d'un seul bloc, serrée, confondue, au point qu'on ne distinguait ni les culottes déteintes, ni les tricots de laine en loques, effacés dans la même uniformité terreuse. Les yeux brûlaient, on voyait seulement les trous des bouches noires, chantant la Marseillaise, dont les strophes se perdaient en un mugissement confus, accompagné par le claquement des sabots sur la terre dure. Au-dessus des têtes, parmi le hérissement des barres de fer, une hache passa, portée toute droite ; et cette hache unique, qui était comme l'étendard de la bande avait, dans le ciel clair, le profil aigu d'un couperet de guillotine. Émile Zola — Germinal
De tous les animaux qui s’élèvent dans l’air,Qui marchent sur la terre, ou nagent dans la mer, De Paris au Pérou, du Japon jusqu’à Rome,Le plus sot animal, à mon avis, c’est l’homme. […]La fourmi tous les ans traversant les guéretsGrossit ses magasins des trésors de Cérés ;Et dés que l’aquilon, ramenant la froidure,Vient de ses noirs frimas attrister la nature. […]Mais l’homme, sans arrêt dans sa course insensée,Voltige incessamment de pensée en pensée :Son cœur, toujours flottant entre mille embarras,Ne sait ni ce qu’il veut ni ce qu’il ne veut pas.Ce qu’un jour il abhorre, en l’autre il le souhaite. Nicolas Boileau — Satire VIII
[…] « j’ai voulu suivre un pétale de rose. Il a dansé sur la cascade, puis une pie l’a emporté dans les branches d’un chêne. Il a repris sa course avec le vent et, la nuit, a rêvé parmi les colonnes de marbre. Le voici sur la table d’un poète, lequel déjà l’immortalise, non sans mentir un peu. Dans un monde meilleur que le mien, je choisirais, je crois, d’être un pétale. » Alain Bosquet — Le tourment de Dieu