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Citations sur le crise sanitaire

Il y a 573 citations sur le crise sanitaire.

• Après huit années de présence rue Notre-Dame, à Saint-Étienne, le pub irlandais Le Crazy Leprechaun a annoncé sa fermeture définitive ce jeudi 26 août à travers un post Facebook. Une sentence dont la crise sanitaire est en partie responsable.

• En raison de la crise sanitaire actuelle, il n’est pas possible d’organiser la traditionnelle cérémonie des vœux en janvier. La maire, Fabienne Richard, a tenu cependant à adresser ses vœux à tous les Redessanais de façon virtuelle. "Toute l’équipe municipale de la commune vous souhaite une excellente année."

• Les deux saisons tronquées par la crise sanitaire pèsent beaucoup dans la balance. Même si tous les sports sont logés à la même enseigne dans l’application du pass sanitaire, le club concellois, un des plus importants du Vignoble nantais, s’attend à vivre une saison délicate.

• Malgré une année blanche marquée par la crise sanitaire et l’annulation de la fête locale, Le scion du Trapel a organisé, le samedi 7 août, son traditionnel concours au coup réservé aux enfants du village et des environs.

• La reprise de la compétition dans le contexte de sortie de crise sanitaire à une saveur particulière. La Semuroise Karine Bourgeois a participé au Marathon de Paris, une épreuve de choix attendue plus que jamais par les amateurs de course à pied.

• Longtemps cantonné aux frontières du Japon, le « karoshi », ou la mort par surmenage au travail, revêt désormais une dimension mondiale, selon un rapport conjoint de l’OMS et de l’OIT sorti en mai dernier. Et la crise sanitaire n’a fait qu’amplifier le phénomène, sans que les politiques publiques ni les politiques RH ne prennent la mesure du problème.

• Relancé sous une nouvelle entité, en juin 2021, suite à la dissolution de l’Association sportive coulangeoise, le club de foot, l’Athlétic sporting coulangeois, connait des débuts difficiles, malmené par une crise sanitaire qui empêche toute recette au niveau des buvettes.

• La société Alizé Group, leader européen de la vente en ligne de puzzles via son site internet planet-puzzles.com, fait partie de ces entreprises qui ont tiré leur épingle du jeu pendant la crise sanitaire et les confinements. Ce qui lui permet d’investir dans un nouvel outil de production.

• Dans le pays de Fougères l'école de musique Interval'Coglais fait le dos rond pendant la crise sanitaire et attend avec impatience son entrée dans l'espace culturel commun.

• L’expert clissonnais de l’immobilier n’a toutefois pas souhaité préciser le prix moyen au m2 dans un contexte d’ébullition du marché. « Cela dépend vraiment d’un logement à un autre. Le seul indicateur, c’est que les prix ont été fixés avant la crise sanitaire et ne bougeront pas ».

• Les signalements concernant des « bébés brisés » sont en hausse, constate cette équipe de la DPJ rattachée au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal. Et la pandémie de COVID-19 pourrait jouer un rôle dans cette montée des cas. Dans plusieurs dossiers, la crise sanitaire apparaît en filigrane.

• Un pari osé alors que le coronavirus est loin d’avoir dit son dernier mot ? Si Michelin a retardé de cinq mois le lancement de cette campagne, crise sanitaire oblige, il n’était pas question d’y renoncer, explique Adeline Challon-Kemoun, directrice de l’engagement d’entreprise et des marques, membre du comité exécutif.

• Bientôt le week-end ! L'envie de "faire la fête" après des mois de crise sanitaire est tentante. On en voit ici et là, des plus ou moins impressionnantes, surtout depuis que l'été est arrivé. Car oui, la fête est essentielle dans notre société humaine : elle constitue un marqueur social comme un autre.

• Impacté par la crise sanitaire et le report de leur 50e anniversaire, le festival Interceltique de Lorient a récemment lancé un appel aux dons.

• Ça fait deux ans que tout ce petit monde rongeait son frein. Après une dernière édition fractionnée en deux temps, crise sanitaire oblige, la grand-messe du bio a retrouvé des couleurs, ce samedi dans la banlieue de Darney. À la clé, un énorme succès public et des conférences toujours aussi engagées.

• La crise sanitaire a conduit des commerçants à entamer une réflexion pour y faire face. C’est le cas de la fleuriste Sylvie Picart, qui a diversifié son activité. En effet, elle propose d’autres articles, dont des sacs à dos. Les fleurs de Toussaint ont, également, trouvé preneurs grâce à sa voisine Sonia Le Borgne, de la droguerie. Cette dernière a hébergé ses fleurs durant le second confinement. En revanche, pour la Saint-Valentin, la neige a empêché le camion de l’approvisionner en roses.

• La crise sanitaire et divers autres imprévus ont compliqué la tâche des organisateurs. Premier souci, les restrictions sanitaires empêchent, pour l’heure en tout cas, la tenue des deux cortèges habituels ou la mise à feu du bonhomme hiver. «Pour tout ce qui est à l’extérieur avec plus de 300 personnes, il faut le certificat Covid. Nous devrions fermer les accès et demander les coordonnées de tous les gens qui assistent au cortège», explique Sophie Renaud. Très difficile, si ce n’est impossible.

• Depuis toujours, la publicité utilise le fantasme pour susciter le désir d’acheter tandis que les relations publiques opèrent en prise directe avec le réel. Alors que la crise sanitaire a rebattu les cartes de la communication, les RP semblent mieux adaptées à notre époque, qui accorde une importance grandissante à la réalité.

• Avec une baisse de son chiffre d’affaires de l’ordre de 30 %, MIB Hydro n’a pas été épargnée par la crise sanitaire qui sévit depuis plus de deux ans. Le fabricant de presses hydrauliques et de lignes de production avait vu les commandes chuter : « Dans des périodes comme ça, la priorité n’était pas d’investir dans des machines. C’est normal quand la production est à la baisse », explique Stéphane Cammerman, le directeur général depuis 2016.

• Vosges Matin vous propose un rendez-vous en vidéo consacré à l’actualité de la semaine. Il est animé, ce samedi, par Adrian Guige, journaliste du service départemental à Epinal. Au programme : les violences urbaines pendant la nuit d’Halloween à Épinal, les thermes qui veulent sortir la tête de l’eau après la crise sanitaire et le papetier Lucart qui investit 80 millions d’euros dans le département.