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Citations sur le de mort

Il y a 310 citations sur le de mort.

• Genre de mort qui ne duit pas à gens peu curieux de goûter le trépas.

• Il tenait fermement son espingard, cet instrument de mort que la peur et la nécessité avaient transformé en fidèle compagnon des jours sombres.

• Or, ces types de mort n’ont rien d’arbitraire. La pendaison est la mort odinique par excellence. Odin est le dieux des pendus ; ainsi resta-t-il pendu neuf jours avant de pouvoir recueillir le savoir des runes.

• La haine des pontifes païens donna officiellement au lieu de ce sanglant sacrifice un nom d'exécration : Ad septem biothanatos. Le biothanate était celui qui avait péri de mort violente.

• Les Anonymous, un groupe de cyberpirates internationaux, nous livrèrent un beau cadeau le 2 janvier 2011 au soir, en débarquant sur le Net précédés d'une lettre d'avertissement postée sur leur site à l'attention du gouvernement tunisien. La lettre portait ce titre « Opération vengeance » surmonté d'un bateau de flibustier battant pavillon à tête de mort […].

• – Dimension de similaritéTous les états de choses représentables – localisés ici et maintenant – relatifs à cette singularité peuvent renvoyer à d’autres états de choses (14) : ce sont les dimensions similarisables de la singularité. […]On voit donc que toutes les représentations similarisables sont satellisées autour d’une substance trou noir ; pourrait-elle être entendue, alors, comme une pulsion de mort de type freudien qui hanterait toutes les réalités subjectives ?

• Le symbole de Halloween est le « jack-o’-lantern », c’est-à-dire une imitation de tête de mort avec laquelle on a placé une chandelle ou une bougie. Cela peut être une citrouille évidée, ou un gros navet, comme en Ecosse.

• La nature, dans sa fascinante complexité, a façonné le triatome, discret vecteur de mort qui, sous l'apparente innocuité d'une ombre nocturne, porte en lui les germes de la tragédie humaine.

• L'ombre de l'aminotriazole plane sur nos vignobles, telle une promesse faussement salvatrice qui pourrait bien signer l'arrêt de mort de notre terroir.

• La dialectique mystique, pour atteindre à la présence divine, consistant à transmuer le mal en bien, à introvertir la pulsion de mort qui s’exerce sur soi et sur le monde pour détruire le mal, afin qu’advienne le bien.

• Dans l'ombre des marchés, le cobolt susurre aux oreilles des malandrins, leur chant de mort doux et silencieux, tel un complice métallique dans la danse macabre du commerce.

• […] Je parle ici des recherches sur les expériences perimortem conduites par des psychiatres, des psychologues, des médecins anesthésistes-réanimateurs, des pédopsychiatres, des cardiologues. Ils étudient les états de mort imminente, les états de conscience accrue à l'orée de la mort, les visions des agonisants. […]

• Les casques et les combinaisons se couvrent de boue, progressivement, à chaque tour du circuit « infernal »; on s’enlise dans une boue monstrueuse qui donne au « visage » du side-cariste « une tête de mort ».

• Ah ! toubib, c’est plus comme en 49 — on était des hommes nous, hein ? — on leur en a fait voir — tu t’rappelles — le fleuve, putain ! — le p’tit midship au chat noir, çui qui f’sait sonner le clairon — tu sais, le grand blond, le patron de la flottille, tout en os, avec un nom de Boche — le crabe-tambour qu’on l’appelait — qui m’a fait foutre en l’air le pavillon noir à tête de mort que j’avais cloué sur mon sampan. (Pierre Schoendoerffer, Le Crabe-tambour, 1976, p. 25)

• Le dichloropropane, cet assassin silencieux du sol, tisse un voile de mort autour de la vie qu'il prétend protéger.

• Dans les salons feutrés de l'aristo-bourgeoisie, on murmure les stratégies qui décideront du sort des moins fortunés, comme si la fortune conférait droit de vie ou de mort sur la plèbe travailleuse.

• L’addition à maudit se fait par l’introduction de la syllabe parasite ta dans mautadi, sautadi, mautasus, moutardi. On oppose aussi un « masculin » à un « féminin » dans maudi-maudine, mautadi-mautadine, sautadi[-]sautadine, saudit-saudine, mardi-mardite. Dans ce dernier cas l’origine de la forme mardi peut s’expliquer de deux façons : soit par l’attraction paronymique qui amène mardi pour maudit, comme dans le cas de jeudi pour Jésus, soit par l’histoire dialectale du mot mordi qui proviendrait de mort de dieu.

• Un politicien qui décide de s'autocaricaturer fait le pari risqué de se rendre attachant ou de signer son arrêt de mort médiatique.

• Mais non, non-non-non disent les antiracistes, on ne peut pas être un brave type si l’on refuse de se métisser, c’est la loi, c’est ainsi, et si la peine de mort n’était pas abolie ces anciens-crétins vous l’appliqueraient sur le champ… je dis anciens crétins parce que du fait qu’ils sont devenus antiracistes ils ne le sont plus, bien évidemment, ils se sont auto-ennoblis et auto-parés de toutes les qualités du monde.

• J'en ai même connu un qui se composait de deux pièces presqu’entièrement vides : une antichambre contenant une table unique sur laquelle était posée une tête de mort destinée à effrayer et à éloigner les curieux, et dans la pièce suivante, le hounfor proprement dit, deux chaises et rien de plus. Quelles cérémonies pouvait-on bien accomplir en ce lieu ?