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Citations sur le deltaméthrine

Il y a 13 citations sur le deltaméthrine.

• C’est une première en Nouvelle-Aquitaine, estime Laurent Flament, le directeur départemental de l’Agence régionale de santé (ARS) en Charente-Maritime : jamais une campagne de démoustication n’avait suscité une telle fronde et autant d’inquiétude. Ce mercredi, aux aurores, de la deltaméthrine – un insecticide – sera épandu à Saintes, dans le quartier de la gare et dans un périm...

• Des militants écologistes se sont opposés à l’utilisation d’un insecticide lors d’une opération de démoustication prévue à Saintes. Pour eux, la deltaméthrine est trop dangereuse pour l’écosystème. Finalement, l’intervention a été annulée.

• En France, la deltaméthrine est utilisée en viticulture, en arboriculture, pour les cultures de légumes et de céréalescéréales. Elle est parfois répandue lors d'épandagesépandages aériens visant à éliminer la chrysomèle, un insecte ravageur du maïs. La deltaméthrine sert aussi souvent à lutter contre des moustiquesmoustiques adultes vecteurs de maladies (dengue, chikungunya...)), lors d'opérations de démoustication.

• Ainsi, le toxaphène ou le polychlorocamphane, insecticides du groupe des camphènes chlorés dérivés de l’essence de térébenthine, homologués dans les années 1970 à la dose moyenne de 3 350 g/ha ont été supplantés dans les années 80 par des organophosphorés comme le parathion-méthyl et les oléo-parathions, eux-mêmes remplacés ou marginalisés depuis lors par des pyréthrinoïdes comme la deltaméthrine et la lambda-cyhalothrine.

• Confrontée à une fronde inédite, l’ARS Nouvelle-Aquitaine s’engage à trouver une autre solution que l’emploi de la deltaméthrine pour lutter contre le moustique-tigre.

• En revanche, selon ce dernier, la deltaméthrine est sans risques pour l'être humain.

• Ainsi, le toxaphène ou le polychlorocamphane, insecticides du groupe des camphènes chlorés dérivés de l’essence de térébenthine, homologués dans les années 1970 à la dose moyenne de 3 350 g/ha ont été supplantés dans les années 80 par des organophosphorés comme le parathion-méthyl et les oléo-parathions, eux-mêmes remplacés ou marginalisés depuis lors par des pyréthrinoïdes comme la deltaméthrine et la lambda-cyhalothrine.

• Ainsi, le toxaphène ou le polychlorocamphane, insecticides du groupe des camphènes chlorés dérivés de l’essence de térébenthine, homologués dans les années 1970 à la dose moyenne de 3 350 g/ha ont été supplantés dans les années 80 par des organophosphorés comme le parathion-méthyl et les oléo-parathions, eux-mêmes remplacés ou marginalisés depuis lors par des pyréthrinoïdes comme la deltaméthrine et la lambda-cyhalothrine.

• Ainsi, le toxaphène ou le polychlorocamphane, insecticides du groupe des camphènes chlorés dérivés de l’essence de térébenthine, homologués dans les années 1970 à la dose moyenne de 3 350 g/ha ont été supplantés dans les années 80 par des organophosphorés comme le parathion-méthyl et les oléo-parathions, eux-mêmes remplacés ou marginalisés depuis lors par des pyréthrinoïdes comme la deltaméthrine et la lambda-cyhalothrine.

• Il s'agit d'éradiquer les moustiques tigres dans des zones fréquentées il y a moins de deux semaines par une personne revenant de l'étranger et porteuse d'un arbovirus (un virus de type chikungunya, zica ou dengue). L'objectif étant d'éviter toute contamination indique l'Agence Régionale de Santé. C'est elle qui est à l'origine de ces opérations de démoustication. Elle précise que le produit utilisé : le deltaméthrine est un insecticide en vente dans le commerce, et qu'il sera épandu à hauteur d'homme, dans un rayon de 150 mètres.

• En France, la deltaméthrine est utilisée en viticulture, en arboriculture, pour les cultures de légumes et de céréales. Elle est parfois répandue lors d'épandages aériens visant à éliminer la chrysomèle, un insecte ravageur du maïs. La deltaméthrine sert aussi souvent à lutter contre des moustiques adultes vecteurs de maladies (dengue, chikungunya...), lors d'opérations de démoustication.

• Quantité de matières actives sont concernées par des retards ou des ruptures : le métirame, les phosphonates, le soufre mouillable pour les fongicides, la propyzamide et le glyphosate pour les herbicides ou encore la deltaméthrine en insecticide.

• Résultats : le terbuphos est associé à une élévation de 18 % du risque de lymphomes non hodgkiniens pris dans leur ensemble, la deltaméthrine à un surrisque de 48 % de leucémie lymphoïde chronique et le célèbre glyphosate est, pour sa part, associé à un surrisque de 36 % de lymphome diffus à grandes cellules B, le plus courant des LNH. Les auteurs calculent également un risque réduit de LNH en cas d’exposition à d’anciennes générations de pesticides (herbicides phénoxy et insecticides organochlorés), aujourd’hui souvent interdits, mais signalent que ces résultats vont parfois à l’encontre d’études précédentes.