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Citations sur le dernier
Il y a 64 citations sur le dernier.
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En ce temps-là, écrit Paul-René Di Nitto, le travail commençait tôt sur les quais de Cette. Dès l’aube, c’était le branle-bas de combat de l’embauche. La truelle en main, Jules Brassens ne chôme pas et son fils, Jean-Louis qui prend la relève non plus. Ce dernier finira par se mettre à son compte, utilisant des compagnons en fonction de ses besoins.
Jean-Claude Lamy — Brassens le mécréant de Dieu. -
Depuis des semaines, continuai-je, les tam-tams ne parlaient que de lui dans la forêt, et je suis le dernier blanc vivant qui comprenne le langage des tambours africains.
Romain Gary — Les racines du ciel -
Un jeune homme de dix-huit ans, à longs cheveux et qui tenait un album sous son bras, restait auprès du gouvernail, immobile. À travers le brouillard, il contemplait des clochers, des édifices dont il ne savait pas les noms ; puis il embrassa, dans un dernier coup d’oeil, l’île Saint-Louis, la Cité, Notre-Dame ; et bientôt, Paris disparaissant, il poussa un grand soupir.
Gustave Flaubert — L’éducation sentimentale -
Nous nous donnâmes ainsi deux logements, l'un à la ville et l'autre à la campagne. Ce changement mit bientôt le dernier désordre à nos affaires, en faisant naître deux aventures qui causèrent notre ruine.
Abbé Prévot — Manon Lescaut -
En bouleversant les critères d'attribution des privilèges au détriment du lignage, du droit des vieilles maisons, Louis XIV ouvre la boîte de Pandore. En effet, à partir du moment où la filiation généalogique n'est plus l'élément objectif, déterminant et incontesté du rang, et que ce dernier oscille, varie au gré de la volonté omnipotente du roi, tous les coups sont permis.
Cécile Guilbert — Saint-Simon ou l’encre de la subversion -
Et ses yeux disent : « Je suis le dernier et le plus solitaire des humains, privé d’amour et d’amitié, et bien inférieur en cela au plus imparfait des animaux. Cependant, je suis fait, moi aussi, pour comprendre et sentir l’immortelle Beauté ! Ah ! Déesse ! ayez pitié de ma tristesse et de mon délire !
Charles Baudelaire — Le spleen de Paris -
Salut, Michel. À un de ces quatre. Fais un effort, évite les chiffres pairs quand tu m'adresses la parole. Il a raccroché. Toujours ce souci du dernier mot.
Martine Azoulai — La chair des dieux -
Ils dorment, pas seulement l’âge, les tranquillisants. Et aussi le vin. Les vieux. Laure, elle, fera une petite vieille impeccable. Elle tiendra le coup très bien. Elle est increvable. Elle restera digne jusqu’au dernier souffle, alors que Gabriel, sûrement, finira gâteux, bredouillant, crachant sa soupe et sucrant les fraises. Vous croyez qu’on leur en file, des fraises, aux vieux, dans les hospices ?
Catherine Rihoit — Les petites annonces -
La famille, d'où chacun émane, appartient toujours à une cité quelconque, et même à une certaine église. Mais ce dernier lien étant plus faible, il comporte plus de variations, quoiqu'elles ne soient jamais arbitraires.
Comte — Catéchisme positiviste -
Il y avait cinq couverts ceux des deux époux et celui de la petite fille ; le mien, qui devait être le sien, le dernier était celui d'un chanoine de Saint Denis...
Honoré de Balzac — La Comédie humaine -
[…] Derrière tant de fleurs, l’azur se dissimule,Fileuse de feuillage et de lumière ceinte :Tout le ciel vert se meurt. Le dernier arbre brûle. […]
Paul Valéry — La fileuse -
Souvent l’exemple a plus d’effet que la parole pour exciter ou pour calmer les passions humaines. Aussi, après les consolations que j’ai pu t’offrir directement dans notre entretien, je veux, de loin, te mettre sous les yeux, dans une lettre animée des mêmes sentiments, le tableau de mes propres infortune s: j’espère qu’en comparant mes malheurs et les tiens, tu reconnaîtras que tes épreuves ne sont rien ou qu’elles sont peu de chose, et que tu auras moins de peine à les supporter. […]J’arrivai enfin à Paris, où depuis longtemps la dialectique était particulièrement florissante, auprès de Guillaume de Champeaux, qui devint mon maître, alors considéré, à juste titre, comme le premier dans cet enseignement ; mais, bien reçu d’abord, je ne tardai pas à lui devenir incommode, parce que je m’attachais à réfuter certaines de ses idées, et que, ne craignant pas en mainte occasion d’argumenter contre lui, j’avais parfois l’avantage dans la dispute. Cette hardiesse excitait aussi l’indignation de ceux de mes condisciples qui étaient regardés comme les premiers, indignation d’autant plus grande que j’étais le plus jeune et le dernier venu. Tel fut le commencement de la série de mes malheurs, qui durent encore : ma renommée grandissant chaque jour davantage, l’envie des autres s’alluma contre moi.
Histoire des malheurs d’Abélard adressée à un ami — Traduit par Octave Gréard -
(Quelques semaines plus tard.) Que me sert de reprendre ce journal si je n’ose y etre sincere et si j’y dissimule la secrète occupation de mon cœur ? Jamais je ne me suis senti plus jeune et plus heureux que le mois dernier, au point que meme je ne savais rien en ecrire. Je n’eusse pu que balbutier… (Quelques semaines plus tard.) J’ai reçu de Michel, hier, une lettre d’une fantaisie et d’une grâce exquises, dont toutes mes pensees restent ensoleillees… Depuis huit jours, j’attends une lettre de Michel, avec une impatience angoissee…
André Gide — Le Journal -
Il rappela le bilan du dernier exercice, présenté à l’assemblée ordinaire du mois d’avril, ce bilan magnifique qui accusait un bénéfice net de onze millions et demi, et qui avait permis, après les prélèvements du cinq pour cent des actionnaires, du dix pour cent des administrateurs et du dix pour cent de la réserve, de distribuer encore un dividende de trente-trois pour cent.
Émile Zola — L'Argent -
Le dernier soir [de la vie de sa mère], papa est rentré fin saoul, comme d'habitude.
Bernanos — Journal curé camp. -
L'expression la plus réussie de la curiosité et de l'inventivité dont les Français ont fait preuve dans ce domaine des subtils frissons, j'en vois l'incarnation dans Henri Beyle, cet extraordinaire précurseur qui parcourut à une allure napoléonienne, en veneur et en découvreur, l'Europe de son temps et plusieurs siècles de l'âme européenne : il a fallu deux générations pour le rattraper tant bien que mal, pour deviner après lui quelques-unes des énigmes qui le tourmentèrent et le ravirent, cet étonnant épicurien, ce point d'interrogation fait homme, le dernier grand psychologue de la France...
Nietzsche — Par-delà le bien et le mal -
Lorsque menace de se déclencher un conflit sans merci qui risque d'entraîner à des brutalités par trop barbares, « Au revoir » est le dernier espoir qu'on ne sortira tout de même pas d'un monde civilisé où seront tout au moins respectées les règles de la guerre.
Nathalie Sarraute — Ouvrez -
Ribouldingue et Filochard faisaient, entre le plancher des vaches et le pont du bateau, des comparaisons qui n’étaient point à l’avantage de ce dernier.
Louis Forton — L’épatant -
Ne cherche pas à connaître, il est défendu de le savoir, quelle destinée nous ont faite les Dieux, à toi et à moi, ô Leuconoé ; et n’interroge pas les Nombres Babyloniens. Combien le mieux est de se résigner, quoi qu’il arrive ! Que Jupiter t’accorde plusieurs hivers, ou que celui-ci soit le dernier, qui heurte maintenant la mer Tyrrhénienne contre les rochers immuables, sois sage, filtre tes vins et mesure tes longues espérances à la brièveté de la vie. Pendant que nous parlons, le temps jaloux s’enfuit. Cueille le jour, et ne crois pas au lendemain.
Horace — Odes -
Politique : les absents ont-ils toujours tort ? Lors du dernier conseil municipal, le débat a pendant quelques minutes glissé sur l’absentéisme des élus en commissions.
actu.fr — 8 novembre 2014 -
Le bouquet de TVN (4 chaînes gratuites et 20 payantes) avait une part d'audience cumulée de 26,6 % l'an dernier en Pologne avec notamment un leadership sur le créneau des chaînes d'information en continu (TVN24).
Les Echos — Menacé par une loi -
Notre monde vient d'en trouver un autre (et qui nous garantit que c'est le dernier de ses frères, puisque les Démons, les Sibylles et nous, avons ignoré celui-ci jusqu'à cette heure ?) non moins grand, plein et fourni de membres que lui, toutefois si nouveau et si enfant qu'on lui apprend encore son a, b, c ; il n'y a pas cinquante ans qu'il ne savait ni lettre, ni poids, ni mesure, ni vêtements, ni céréales, ni vignes. Il était encore tout nu dans le giron de sa mère nourricière et ne vivait que par les moyens qu'elle lui fournissait.
Michel de Montaigne — Essais -
Quand cet excellent homme est mort, le mois dernier, Natacha a vécu une semaine d'insomnie. Je l'ai guérie avec un enregistrement du Beau Danube. Aux premières notes, elle tombe dans les bras de Morphée. C'est radical.
Michel Déon — Taisez-vous… j'entends venir un ange -
Le soleil en effet balaierait tout le studio, comme un projecteur de poursuite dans un music-hall frontalier. C’était dimanche, dehors les rumeurs étouffées protestaient à peine, parvenant presque à ce qu’on les regrettât. Ainsi tous les jours chômés, les heures des repas tendraient à glisser les unes sur les autres, on s’entendit pour quatorze heures – ensuite on s’y met. Un soleil comme celui-ci, développa le père de Paul, donne véritablement envie de foutre le camp. Ils s’exprimèrent également peu sur la difficulté de leur tâche qui requerrait, c’est vrai, de la patience et du muscle, puis des scrupules d’égyptologues en dernier lieu. Fabre avait détaillé toutes les étapes du processus dans une annexe aux plans. Ils mangèrent donc vers quatorze heures mais sans grand appétit, leurs mâchoires broyaient la durée, la mastication n’était qu’horlogère. D’un tel compte à rebours on peut, avant terme, convoquer à son gré le zéro. Alors autant s’y mettre, autant gratter tout de suite, pas besoin de se changer, on a revêtu dès le matin ces larges tenues blanches pailletées de vieilles peintures, on gratte et des stratus de plâtre se suspendent au soleil, piquetant les fronts, les cafés oubliés. On gratte, on gratte, et puis très vite on respire mal, on sue, il commence à faire terriblement chaud.
Jean Echenoz — L’Occupation des sols – Éditions de Minuit 1998 -
Le jour baissait, elles [Pauline et Nana] faisaient un dernier tour de balade, elles rentraient dans le crépuscule blafard, au milieu de la foule éreintée.
Zola — L'Assommoir -
Il était une fois un meunier qui possédait un moulin, un âne et un chat et avait trois fils. Lorsqu’il mourut, il laissa en testament le moulin à son fils ainé, l’âne au second, et le chat au plus jeune. Ce dernier se sentait défavorisé et se demandait bien ce qu’il ferait avec seulement un chat.Le chat, qui entendait cela lui dit d’un air posé et sérieux : Ne soyez pas triste, mon maître ; vous n’avez qu’à me donner un sac et me faire faire une paire de bottes pour aller aux champs, et vous verrez que vous n’êtes pas si mal lotis que vous le croyez.
Charles Perrault — Le Chat Botté -
La chanteuse Natasha St-Pier revient chanter à Pontarlier : « On dit que les choses répétées plaisent. Natasha était déjà venue chanter à l'automne dernier. »
Est Républicain — 9/04/2019 -
La mère va mourir et implore votre visite. Je prends la liberté de vous écrire et de vous demander si vous pouvez accorder ce dernier entretien à cette femme, qui semble être très malheureuse et digne de pitié.
Guy de Maupassant — Clair de lune et autres nouvelles -
Trois scénarios ont été élaborés. Le premier scénario est celui du « laisser-faire ». L’État intervient peu (…). Le deuxième scénario est volontariste. L’État oriente, contrôle les activités (…) à court terme ce scénario exige plus de sacrifices qu’il ne rapporte de satisfaction (…) Le dernier scénario est celui du déclin.
L’Express — 3 juill. 1978 -
Le dernier livre de M. Pierre Loti, Le Pêcheur d’Islande, nous donne cette note attendrie, jolie, captivante, mais inexacte qui doit, par le contraste voulu avec les observations cruelles et sans charme auxquelles nous sommes accoutumés, faire partie de son grand succès.
Maupassant — Gil Blas -
La rencontre avec le batteur des « Beach Boys » Dennis Wilson à la fin des années 60 va lui faire croire encore plus fort à ce rêve de gloire. Ce dernier le met en contact avec le producteur Terry Melcher qui lui fait enregistrer une chanson qu’il a lui-même écrite « Cease to exist », connue sous le nom de « Never Learn Not to Love » et interprétée par les Beach Boys. Mais son nom n’apparaît nul part et Charles Manson est fou de rage.
Charles Manson — le gourou meurtrier obsédé par la musique -
« La "déclaration de Lough Erne", du nom du site d'Irlande du Nord qui accueillait le sommet, doit faire en sorte que "ceux qui veulent échapper à l'impôt n'aient nul part où aller", a conclu le premier ministre britannique, David Cameron » (à propos du dernier G8).
lemonde.fr — 18 juin 2013 -
Son entretien avec le chanoine avait mis fin à ce qui avait été pour lui depuis le verdict du matin la solennité de la mort. Son sort cru fixé oscillait de nouveau. L’offre qu’il avait rejetée restait valable quelques heures de plus : un Zénon capable de finir par dire oui se terrait peut-être dans un coin de sa conscience, et la nuit qui allait s’écouler pouvait donner à ce pleutre l’avantage sur soi-même. Il suffisait qu’une chance sur mille subsistât […]. Tout fluctuait : tout fluctuerait jusqu’au dernier souffle.
Marguerite Yourcenar — L’Œuvre au noir -
Le soir, le temps fut à l’orage. Babette se rappelait que contrairement aux prévisions météorologiques le beau temps n’avait pas tenu. Mariage pluvieux, mariage heureux, comme on dit en français, esquissa Sweetie avec un superbe et dernier effort pour rassembler son monde dans les salons de Belmont House.
Paule Constant — Confidence pour confidence -
Le 4 octobre dernier [1926], à la fin d’un de ces après-midi tout à fait désœuvrés et très mornes, comme j’ai le secret d’en passer, je me trouvais rue Lafayette : après m’être arrêté quelques minutes devant la vitrine de la librairie de L’Humanité et avoir fait l’acquisition du dernier ouvrage de Trotski, sans but je poursuivais ma route dans la direction de l’Opéra. Les bureaux, les ateliers commençaient à se vider, du haut en bas des maisons des portes se fermaient, des gens sur le trottoir se serraient la main, il commençait tout de même à y avoir plus de monde. J’observais sans le vouloir des visages, des accoutrements, des allures. Allons, ce n’étaient pas encore ceux-là qu’on trouverait prêts à faire la Révolution. Je venais de traverser ce carrefour dont j’oublie ou ignore le nom, là, devant une église. Tout à coup, alors qu’elle est peut-être encore à dix pas de moi, venant en sens inverse, je vois une jeune femme, très pauvrement vêtue, qui, elle-aussi, me voit ou m’a vu. Elle va la tête haute, contrairement à tous les autres passants. Si frêle qu’elle se pose à peine en marchant.
André Breton — Nadja -
C’est une nuit d’été ; nuit dont les vastes ailesFont jaillir dans l’azur des milliers d’étincelles ;Qui, ravivant le ciel comme un miroir terni,Permet à l’œil charmé d’en sonder l’infini ;Nuit où le firmament, dépouillé de nuages,De ce livre de feu rouvre toutes les pages !Sur le dernier sommet des monts, d’où le regardDans un trouble horizon se répand au hasard,Je m’assieds en silence, et laisse ma penséeFlotter comme une mer où la lune est bercée.[…]Que le séjour de l’homme est divin, quand la nuitDe la vie orageuse étouffe ainsi le bruit !
Alphonse de Lamartine — “Une nuit d’été” -
Masques ! O Masques !Masque noir masque rouge, vous masques blanc-et-noirMasques aux quatre points où souffle l’EspritJe vous salue dans le silence !Et pas toi le dernier, Ancêtre à tête de lion. Vous gardez ce lieu forclos à tout rire de femme, à tout sourire qui se fane, Vous distillez cet air d’éternité où je respire l’air de mes Pères.Masques aux visages sans masque, dépouillés de toute fossette comme de toute rideQui avez composé ce portrait, ce visage mien penché sur l’autel de papier blanc A votre image, écoutez-moi !Voici que meurt l’Afrique des empires – c’est l’agonie d’une princesse pitoyable Et aussi l’Europe à qui nous sommes liés par le nombril. […]
Léopold Sédar Senghor — « Masques » -
Une évacuation de semence fréquente sans érection ni chatouillement, ajoutoient encore à sa foiblesse & à sa maigreur excessive; parvenu au dernier degré de marasme, ses os étoient presque tous à découvert à l'exception des extrémités qui étoient oedémateuses; son pouls étoit petit, concentré, fréquent; sa respiration gênée, anhéleuse; les yeux qui dès le commencement avoient été affoiblis, étoient alors troubles, louches, recouverts d'écailles (lemosi) & immobiles: en un mot, il est impossible de concevoir un spectacle plus horrible.
« Manstupration » — L’Encyclopédie -
De surcroît, pour ranimer votre courage, elle vous donne toutes les raisons de croire que l’aile de l’abbaye que vous habitez est sans aucun doute hantée et vous informe qu’il n’y aura pas un seul domestique à portée de voix. Sur ces paroles rassurantes, elle s’en va après avoir tiré sa révérence. Vous écoutez décroître le bruit de ses pas tant que le dernier écho résonne à vos oreilles et quand, le cœur défaillant, vous essayez de fermer votre porte, vous vous apercevez, plus inquiète que jamais, qu’elle n’a pas de verrou.
Jane Austen — L’Abbaye de Northanger -
On les retrouve au kébab du coin, au bout de l'avenue Jean-Jaurès où une pancarte annonce : « Dernier kébab avant le périph », au Café de la musique du parc de la Villette, au café MK2 du quai de Seine.
Régine Robin — Le mal de Paris -
[…] ; ses variantes successives ont abouti à l'échelle MSK 64 (Medvelev, Sponheuer, Karnik) que l'on modifie de temps en temps, de sorte que l'on doit toujours rappeler l'année de la dernière mise à jour.
Pierre Martin — Géotechnique : Ces risques que l'on dit naturels -
"— Maintenant, dit Huchon, dont les yeux luisaient sous verre, nous écoutons nos trois protagonistes. Qu’ils nous renseignent, avec la dernière précision, sur le lieu, le temps et l’ordonnance des leurs entreprises. De quels concours ont-ils besoin ? De quels comparses ? — (Jules Romains Les Copains 1922 réédition Le Livre Poche pages 111-112)