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Citations sur le donner un coup de main

Il y a 14 citations sur le donner un coup de main.

• — Je pourrais peut-être vous donner un coup de main pour les travaux. Si ça vous dit, bien sûr, ajouta-t-il d'un ton bourru. — (Elle Kennedy, Unexpected: Il sait tout d'elle, elle ne sait rien de lui ; l'Amour va les réunir, traduit de l'américain par Claire Neymon, Harlequin, 2016, chap. 4)

• Le conseil d’administration et le bureau des JPV remercient tous les boulistes venus donner un coup de main.

• L'opération a été lancée à l'initiative de l'Association des Maires. Elle prendra fin, ce mardi à 14 heures. Le soir, un camion de la Protection civile partira en direction de l'Est de la Pologne. Le matériel devrait ensuite être acheminé par des militaires jusqu'aux Ukrainiens. Pour tenir la collecte, trois personnes ont été embauchées par la mairie, systématiquement accompagnées d'employés municipaux, venus donner un coup de main.

• Le centre commercial Docks 76 lance la saison de son jardin partagé mercredi 9 mars 2022. De 14h à  16h, chacun peut venir donner un coup de main pour construire deux bacs hauts adaptés aux personnes à mobilité réduite et faire les premières plantations et semis de printemps.  

• En 1994, lorsque Marinette Barriol a pris sa retraite à son tour, ses deux fils Daniel (à la boulangerie) et Philippe (à la pâtisserie) ont donc pris la relève, aidés certains dimanches par leur frère Christian, heureux de pouvoir donner un coup de main à la vente.

• Jeune homme discret mais toujours présent pour donner un coup de main , Marc a débuté l'art martial Japonais à l'âge de 5 ans à  l'école municipale de St Rémy .Venu rejoindre les rangs du Judo Club Chalonnais depuis maintenant 6 ans, cet élève de seconde au Lycée Niepce de Chalon, aime se rendre au Dojo dès qu'il le peut pour s'imprégné des valeurs mises en avant par cette discipline.

• Sébastien Chenu invite Éric Zemmour à «donner un coup de main» à Marine Le Pen pour 2022

• C’est en l’honneur « d’un amoureux des boules, un bénévole qui était toujours prêt à donner un coup de main », que le nouveau bureau de l’Amicale boules Jean-Bouin a décidé...

• Lou Auvray, collégienne de 15 ans, habite Landorthe. Elle pratique l’escrime depuis 5 ans environ au Cercle d’escrime de St-Gaudens. Jeune fille sportive, elle a déjà goûté à l’escalade, la natation mais la découverte de l’escrime lors des JO à la télévision l’a conduite à s’intéresser de plus près à cette discipline. Il n’y a qu’un pas vite franchi et l’entraîneur du club Sébastien Fourgeaud va vite remarquer qu’elle présente des dispositions. Passionnée, Lou n’hésite pas à donner un coup de main à son coach pour encadrer les jeunes lors de stages.

• Muriel fera partie du convoi. Elle est venu donner un coup de main à l’association, sans en faire partie, et à décider de partir en Pologne. « Il fallait des gens pour y aller », dit-elle simplement et avec émotion. Elle sera accompagnée de Christophe, qui, comme elle, n’avait pas prévu de partir au début.

• Les équipes que nous rencontrons sont plus étoffées que nous car ils ont plus de "troisième année", mais nous essayons de les faire progresser mais ils sont demandeurs pour apprendre. Nous pouvons nus qualifier car il y en quatre qui peuvent l’être et donc il nous reste deux matchs à jouer , tout est possible . L’ambiance qui règne dans ce groupe est très bonne, les parents répondent toujours présents , à domicile , mais également en déplacement, et qui de plus et c est tout en leur honneur ils ne rechignent jamais à donner un coup de main et les jeunes se sentent bien entourés" .

• A Châteaubriant (Loire-Atlantique) les élèves exclus des collèges de la ville, souvent pour motifs disciplinaires, pourront donner un coup de main aux services municipaux.

• « Nourredine Chahir m’a recontacté pour demander si je pouvais donner un coup de main pour sauver ce qu’on peut et comme j’aime ce club chez lequel j’ai passé dix années, j’ai accepté. »

• D’autres Roumains sont aussi venus aider de manière autonome. C’est tout un pays qui se montre solidaire. Des étudiants, gilets jaune ou orange au dos, un autocollant "traducteur" collé au manteau, ont interrompu leurs études pour faire la traduction. "On n’a pas hésité, si on peut donner un coup de main en permettant aux gens de se faire comprendre et de les orienter, c’est toujours ça", confient Nicolina et Diana, deux jeunes filles de 20 ans parlant couramment l'ukrainien.