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Il y a 174 citations sur le du coin.
Elle se décrit comme une biscuitière d’amour et une confiturière de passion. Dans sa maison jaune, rénovée à la sueur de son front, elle a ouvert une pâtisserie-restaurant où elle tente depuis 2013 de faire connaître les douceurs de son pays aux résidents du coin ainsi qu’aux propriétaires de bateaux qui, chaque été, transitent par le village pour se rendre au lac Champlain. Le Journal de Montréal — Douceurs alsaciennes pour Noël | Le Journal de Montréal
Le chiffonnier du coin qui collectait toutes les peaux lui avait dit : « Je t’achète toutes les taupes que tu peux attraper. Je te paierai chaque taupe. » Je ne me souviens plus du prix ! Le vélo "La Taupe" - Le journal du Gers
19 heures. Avant la séance "câlin", la démarche pas très assurée, nous décidons d’aller boire une pression au bar du coin pour faire redescendre la nôtre. Après avoir franchi toutes les étapes préalables à l’atelier – questionnaire, entretien par téléphone –, nous voici prêtes à nous lancer dans cette folle aventure "câlinage". Marie Claire — On a testé l'atelier câlin - Marie Claire
Bof il déjà fait risette à tous les anciens du coin et il y en a lindependant.fr — Port-Barcarès - Alain Ferrand : "Mon épouse a décidé de se présenter contre moi, c'est son choix et sa liberté" - lindependant.fr
1910. Corentin Sergent, dit « Tine », scieur de long, et Marjan, repasseuse de coiffes, vivent au moulin de Poulguidou. « Ils étaient gardiens de l’étang. Un cavalier venait depuis Pont-Croix donner l’ordre d’actionner la vanne. Elle, c’était une maîtresse-femme, travailleuse ! Elle avait créé une buvette-épicerie dans la maison », raconte leur petit-fils Jean-Jacques Sergent. Un lavoir réunissait les femmes des villages alentour et, le dimanche, il y avait des jeux, « les gens du coin venaient boire un coup après ». Plusieurs fêtes dans l’année attiraient bien du monde. Le Telegramme — Moulin de Poulguidou : des souvenirs sous la friche - Capsizun - Le Télégramme
« C'en est fini des jours où il courait le guilledou et le reste. Que reste-t-il à faire quand c'en est fini de courir ? Il se voit avec des cheveux blancs, le dos vouté, se traîner jusqu'à l'épicerie du coin pour acheter son demi-litre de lait et sa demi-miche de pain ; il se voit, assis à un bureau, l'esprit vide, dans une pièce encombrée de papiers jaunissants, attendant la fin de l'après-midi, longue à venir, pour préparer le repas du soir et aller se coucher. » AgoraVox — « Disgrâce » de John Maxwell Coetzee, ou la peur du vide - AgoraVox le média citoyen
"Laisser une terre incultivée ici à la Lègue, il faudrait être calud !" Mardi 25 juin, ce paysan, tout en fauchant un foin déjà haut pour la saison, fait tomber cette remarque frappée du coin du bon sens. midilibre.fr — Gard : Saint-Hilaire-de-Brethmas à la reconquête de ses terres agricoles - midilibre.fr
Le gros lampadaire design en métal sera par exemple parfait. Blanc, noir, coloré, avec une lumière franche ou discrète, chaque lampadaire s’adaptera aussi bien à vos goûts qu’à la taille de votre séjour. Ce type de luminaire est parfait comme lampe discrète et peu agressive, au niveau du coin canapé par exemple. Pour un style anglais affirmé, optez pour un lampadaire de style légèrement vintage, avec un pied qui allie lignes droites et parties arrondies, ainsi qu’un petit côté déstructuré. Masculin.com — Comment aménager un salon So British ?
Le reste ? Eh bien, n’est-ce pas la si bien nommée présomption d’innocence, et, pour le policier en tenue, l’îlotier du coin de la rue - le calme factice des choses de la vie. Entre le « calme » et la « présomption », le gouffre de la loi tente le diable : un quidam au-dessus de tout soupçon, celui-là, bien vu par ses voisins qui tombent des nues, chaque fois. Le policier garde le gouffre, il garde la paix. Le cas échéant, il rétablit l’ordre et peut dire au quidam : « Haut les mains ! ». Et même pas besoin d’ajouter : « Jacques a dit… » Le Telegramme — [Miscellanées] Police ! - Débats - Le Télégramme
A l’image de la grand messe tenue pendant des siècles dans l’église de Colombiers, qui était l’occasion pour les villageois et gens du coin de se retrouver pour bavarder, Yapuka propose un café-rencontre dominical dans sa grange ! Colombiers. Atelier jardin potager et grand mess', dimanche 5juillet, avec Yapuka | L'Orne Hebdo
Il n’est qu’à voir ses personnages secondaires. L’inspecteur de l’éducation nationale ? Difficile de ne pas reconnaître Eric Zemmour. Le bourgeois partouzard ? DSK n’est pas loin. Quant à l’épicier du coin qui, derrière son nez en forme de chou-fleur, vous propose un coup de Juliénas "pour faire passer", c’est bien évidemment Depardieu. Franceinfo — BD bande dessinée. Sanlaville fait équipe avec San Antonio.
Il n’a pas pris l’accent commingeois, mais il savoure le phrasé chantant de ses voisins, autant que les caquetages et piaulements des animaux qui l’entourent. « Aujourd’hui, peut-être plus qu’avant, on se rend compte des apports de la ruralité. Je mange ce qui court autour de la maison », explique Dick Annegarn en jetant un coup d’œil aux canards qui tentent de s’introduire dans sa bâtisse. « Je cultive moi-même, je vis en autarcie. Et les gens du coin sont très loquaces et intéressants. » La Croix — Dick Annegarn, ami du verbe
Quand j’étais petite, ma mère tenait la bourse du foyer. Elle n’était pas pingre, mais débrouillarde. Bien avant internet et le téléphone portable, elle connaissait tous les bons plans du coin et au-delà. Elle disait souvent avec fierté « – Moi, je ne me suis jamais retrouvée dans le rouge ! » Mes parents parlaient beaucoup d’argent alors j’ai su très jeune ce qu’était un découvert, un compte bancaire, un plan d’épargne. Plus tard, j’ai compris que quand on ne manque pas d’argent, on ne parle pas d’argent. On occupe d’autres lieux de parole, souvent moins stratégiques. Africultures — Lidl : « Quand tu y allais, on en revenait » | Africultures
Dans son entreprise, qui a à la fois une activité de poissonnerie et une activité de mareyage, seul le poissonnier travaille encore : il faut bien que les gens du coin mangent. Les autres salariés, une douzaine environ, ont été renvoyés chez eux : «Beaucoup ont plus de 55 ans, on ne veut pas les exposer [au virus], explique Antoine Le Corre. Si on était restés à tourner au ralenti, on aurait aussi perdu trop d’argent. On espère qu’il y aura une aide. Déjà que le secteur ne va pas très bien… On a demandé un chômage partiel : de toute façon, on n’a pas de matière pour approvisionner nos clients.» Libération.fr — Confinement : en Bretagne, les mareyeurs au ralenti - Libération
Tout aussi malheureux a été le rendement du produit laitier. D’une forme inaboutie et d’une consistance aqueuse, le fromage – aussi prometteur qu’il fut – finit lamentablement à la poubelle, minant du même coup le challenge zéro déchet de Serge. Bon perdant, il s’octroya un souper vin-fromage pour oublier cet échec et descendit à la petite fromagerie du coin vider son porte-monnaie en délicieuses spécialités artisanales. Après tout, c’est un métier. Le Temps — La désillusion du fromager de salon - Le Temps
Au Camp-sic Mendong, certains habitants envisagent un mouvement d’humeur au siège de Camwater. Les autorités du coin n’ayant jusqu’ici tenté une « bonne médiations » auprès de cette société. Journal du Cameroun — Yaoundé : le calvaire des habitants du Camps Sic Mendong, sans eau depuis un mois
Et une fois pourvu d’ancrage dans la capitale politique, on se nourrit de la mamelle de la corruption politique, on se donne une fausse représentation de sa contrée d’origine, on s’approprie de façon unilatérale de la voix légitime de sa Région éloignée, le statut de petit spoliateur du coin est dépassé pour devenir une fois dans la capitale un vaurien voulant s’occidentaliser à coup de banditisme organisé nécrophage au détriment de tout un peuple… Madagascar-Tribune.com — Déchu de son mandat de député, Ludovic Raveloson remplacé par sa (...) - Madagascar-Tribune.com
« L'entreprise est agréée par l'Etat, qui a validé le choix du terrain pour stocker l'amiante, a expliqué Bruno Beschizza. Il n'y a pas de cachotterie : ce n'est pas le pote du coin qui remplit son sac avec des déchets ! » leparisien.fr — Stockage d’amiante à Aulnay : «On a péché dans la communication» - Le Parisien
C’est une mort suspecte qui a d’abord mis la puce à l’oreille des Indiens. Dans la réserve de tigres du parc national de Pench, dans le centre de l’Inde, les soigneurs ont remarqué au début du mois qu’un tigre se rendait très régulièrement à un étang du coin pour se rafraîchir. Ils ont supposé que l’animal était fiévreux, et lui ont administré des antibiotiques. Ils n’ont apparemment pas amélioré la situation, car le tigre est mort près de son point d’eau, quelques jours plus tard. Les gestionnaires de la réserve ont alors soupçonné une maladie respiratoire – les tigres y sont sujets, souvent atteints de rhinotrachéite par exemple. Libération.fr — Tigres : le Covid, nouvelle menace sur une espèce menacée - Libération
L’interrogation dure peu : il s’agit bien de meurtres. En effet, à chaque découverte d’un nouveaux corps, une pierre parallélépipédique est retrouvée à proximité. Ce signe, qui relie les affaires entre elles, demeure mystérieux. Que signifie-t-il ? Pourquoi le ou les tueurs le posent-il ainsi en évidence ? Et quels sont les liens entre ces morts et la construction de l’antenne-relais ? Les gendarmes du coin ont bien du mal à suivre une piste, mais l’une d’entre eux, Loreleï Soares, s’empare de l’enquête avec ténacité. "La Trêve, chérie" (Th. Gosselin & I. Moutte, L’employé du Moi) (...) - ActuaBD