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Citations sur l'éloge

Il y a 20 citations sur l'éloge.

• Les journalistes, dont il récompensait, de son vivant, les tumultueux éloges, se taisent aujourd'hui. Nous pouvons parler de l'homme sans soulever des récriminations à gages et des tempêtes soldées.

• [Faire] preuve d'une intrépidité et d'un sang-froid au-dessus de tout éloge

• Oh ! comment pourrais-je chanter tes mérites avec convenance, quand tu es la meilleure partie de moi-même ? Que me servirait de faire mon propre éloge, et ne fais-je pas mon éloge en faisant le tien ?

• Je quitte Dollero tout heureux car, au milieu de ses éloges, il a, prétend-il, trouvé une épigramme, inspirée par Epitalion, le maréchal des logis du commandant Gérard, qui a envie de se fiancer: […]. Je l'attriste en soutenant que c'est encore un éloge et pas une épigramme.

• Sans liberté de flatter, il n’est pas d’éloge blâmeur.

• L'éloge des absents se fait sans flatterie.

• A vouloir gagner des éloges, on perd son souffle.

• Il est honteux de faire son propre éloge.

• […] Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

• La poésie, c'est l'art de faire l'éloge des choses qui ne le méritent pas.

• Quand votre oreille gauche Grand éloge de vous on fait. Quand bourdonne votre oreille droite Votre éloge est mis de côté.

• Le théâtre est le désordre incarné et pour faire l'éloge du théâtre il faut commencer par faire l'éloge du désordre.

• Chaque fois qu'on me loue, je respire mon tombeau.

• Qui fais ton éloge t’assassine.

• Peu de gens sont assez sages pour préférer le blâme qui leur est utile à la louange qui les trahit.

• Les justes éloges ont un parfum que l'on réserve pour embaumer les morts.

• On place ses éloges comme on place de l’argent, pour qu’ils nous soient rendus avec les intérêts.

• Il n’y a point d’éloges qu’on ne donne à la prudence. Cependant elle ne saurait nous assurer du moindre événement.

• En perdant Lénine, Maïakovski perd l'espoir. Il lui reste à chanter un éloge funèbre qui est aussi le sien : "J'ai peur qu'on cache le véritable, le sage, l'humain, l'immense front de Lénine." Commentaire prémonitoire : "Le patron, diable chauve, brandit son boulier et grommelle "la crise" !" Eloge du rassemblement, et donc du Parti : "Un homme solitaire ! A qui est-il utile ? La voix d'un solitaire, plus frêle qu'un piaulement. Qui l'entendra ? Juste sa femme !"

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