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Il y a 129 citations sur l'épuisé.
Dans l'attente d'un miracle, le médecin épuisé tenait dans sa main un fragment de bdellium, espérant encore que les senteurs du Levant puissent raviver l'esprit fléchissant de son patient. Henri Fausseplume — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
(Absolument) — L'homme arrosait selon un rituel quotidien, en donnant à chaque variété de plante, la dose qu'elle méritait. Parfois, le soir, il arrosait dru, quand tout au long du jour, la chaleur avait épuisé les pousses. Il cultivait bien, mais sentait qu'il pouvait plus. — (Christian Paviot, La demoiselle des mornes, L'Harmattan, 2002, page 78)
Il avait épuisé ses fiches bristol, écarté deux ou trois hypothèses de travail, avait avalé cinq expresso et raté le dernier service de la cantine. Bernard Lenteric — L'empereur des rats
Dans l'intimité feutrée de sa suite, le maire, épuisé par une journée de négociations difficiles, a finalement décidé de coucher sur le canapé en cuir. (Citation fictive)
Le marathonien montra des signes de défaillance sur la dernière ligne droite, ses jambes flanchant sous lui avant qu'il ne s'effondre, épuisé et inconscient. (Citation fictive)
Dans le silence de la campagne endormie, le fermier se hâta de déharnacher son cheval, épuisé par une longue journée de labeur. (Citation fictive)
Et le dernier coureur, épuisé mais déterminé, franchit enfin la ligne d'arrivée, sous les applaudissements de la foule, en ce spectacle de l'endurance humaine. (Citation fictive)
Les victimes de la canicule souffraient d'une déshydratation sévère, leur corps épuisé ayant perdu une quantité d'eau cruciale à leur survie. (Citation fictive)
Comme toujours, Alloman dirigeait tout naturellement le débat et ne permettait aucune digression, aucun écart de la ligne juste du sujet, avant que celui-ci soit épuisé et la conclusion tirée. Panaït Istrati — Le Bureau de placement
Tant la Justice tenait à épuiser tous les moyens humains pour arriver à connaître le complice de Jean-François Tascheron Balzac — Curé de village
Dans son enquête éreintante, le journaliste avait épuisé toutes ses ressources, tant physiques qu'intellectuelles, pour révéler la vérité. (Citation fictive)
Le voyageur épuisé chercha refuge sous le couvert d'un acacia gommifère, ignorant que le doux piège collant de sa résine rendrait son départ aussi difficile que son périple. Armand Leclair — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
L'herbe aplatie et la terre retournée dénonçaient une flâtrure récente. Le lièvre avait dû s'y coucher, épuisé par une longue fuite à travers champs. Claire Fontaine — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Lorsque la course fut terminée, le skieur, épuisé mais ravi, déchaussa avec satisfaction sur la dernière pente encore enneigée du domaine. (Citation fictive)
Dans le labyrinthe de la bureaucratie, le citoyen se transforme souvent en galérien, rameur épuisé dans une mer d'obstacles et de paperasserie. (Citation fictive)
Le voyageur épuisé trouva un réconfort inattendu dans l'accueil d'un glaucope, ce messager ailé dont la présence est souvent signe d'espoir et de renouveau. Marguerite Duvallon — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Je n'oublierai jamais d'avoir vu à Turin un jeune homme à qui, dans son enfance, on avoit appris le rapport de contours et des surfaces en lui donnant chaque jour à choisir dans toutes les figures géométriques des gaufres isopérimètres. Le petit gourmand avoit épuisé l'art d'Archimède pour trouver dans laquelle il y avoit le plus à manger. Jean-Jacques Rousseau — Émile
Il y a un très grand silence maintenant, un très grand vide, comme si la déflagration de la violence avait d’un seul coup épuisé toutes les forces de la terre. La poussière recouvre les feuilles des arbres, recouvre les traces des pas. J. M. G. Le Clézio — Trois villes saintes
Avec une obstination puérile et désolée, depuis ma prime jeunesse, je me suis épuisé à vouloir fixer tout ce qui passe, et ce vain effort de chaque jour aura contribué à l’usure de ma vie. J’ai voulu arrêter le temps, reconstituer des aspects effacés, conserver de vieilles demeures, prolonger des arbres à bout de sève, éterniser jusqu’à d’humbles choses qui n’auraient dû être qu’éphémères, mais auxquelles j’ai donné la durée fantomatique des momies et qui à présent m’épouvantent… Pierre Loti — Prime jeunesse
Le thème personnel et ses variations trop répétées ont épuisé l’attention ; l’indifférence s’en est suivie à juste titre ; mais s’il est indispensable d’abandonner au plus vite cette voie étroite et banale, encore ne faut-il s’engager en un chemin plus difficile et dangereux, que fortifié par l’étude et l’initiation. Ces épreuves expiatoires une fois subies, la langue poétique une fois assainie, les spéculations de l’esprit, les émotions de l’âme, les passions du cœur, perdront-elles de leur vérité et de leur énergie, quand elles disposeront de formes plus nettes et plus précises ? Rien, certes, n’aura été délaissé ni oublié ; le fonds pensant et l’art auront recouvré la sève et la vigueur, l’harmonie et l’unité perdues. Et plus tard, quand les intelligences profondément agitées se seront apaisées, quand la méditation des principes négligés et la régénération des formes auront purifié l’esprit et la lettre, dans un siècle ou deux, si toutefois l’élaboration des temps nouveaux n’implique pas une gestation plus lente, peut-être la poésie redeviendra-t-elle le verbe inspiré et immédiat de l’âme humaine. En attendant l’heure de la renaissance, il ne lui reste qu’à se recueillir et à s’étudier dans son passé glorieux.L’art et la science, longtemps séparés par suite des efforts divergents de l’intelligence, doivent donc tendre à s’unir étroitement, si ce n’est à se confondre. L’un a été la révélation primitive de l’idéal contenu dans la nature extérieure ; l’autre en a été l’étude raisonnée et l’exposition lumineuse. Mais l’art a perdu cette spontanéité intuitive, ou plutôt il l’a épuisée ; c’est à la science de lui rappeler le sens de ses traditions oubliées, qu’il fera revivre dans les formes qui lui sont propres. Leconte de Lisle — Poèmes antiques