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Il y a 495 citations sur l'étincelle.
L'adsorboluminescence est cette étincelle imperceptible qui révèle la danse secrète des atomes, un ballet lumineux orchestré par l'invisible. Jean-Pierre Luminet — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Dans l'obscurité des temps troublés, la moindre étincelle d'espoir devient un phare bénissable pour les âmes égarées. Henri Duvallon — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Dans l'infini cosmos du code, l'affectation est cette étincelle rationnelle où une variable informatique se voit octroyer une valeur spécifique, tels des astres attribués à leur constellation. (Citation fictive)
Les vieux amours sont comme le bois sec; ils peuvent s'adurer dans une étincelle d'un souvenir lointain. Clémence Desrochers — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Dans le tumulte de la course, l'équidé, animé d'un allant indomptable, surpasse le rythme imposé par son cavalier, ajoutant une étincelle imprévisible dans la compétition. (Citation fictive)
Comme un orpailleur fouille les entrailles de la terre pour en extraire ses richesses, l'artiste sonde l'ampélite de son âme à la recherche de cette étincelle créatrice. Gustave du Plessis — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Dans le silence oppressant de la salle des machines, l'amorçage de l'arc électrique entre les deux bornes provoqua une étincelle vive, telle une étoile solitaire dans l'immensité industrielle. (Citation fictive)
Dans les profondeurs obscures de la mine, les minéralogistes ont découvert un filon d'argyrose, cet argent sulfuré qui étincelle tel un trésor enfoui nommé acanthite dans le jargon scientifique. (Citation fictive)
Les marchés, assoupis par une longue période d'inactivité économique, semblent en sommeil profond, attendant une étincelle pour se réveiller. (Citation fictive)
L'amour est cette étincelle qui, après avoir fait bluetter notre coeur, finit parfois par l'embraser tout entier. Madeleine du Val — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Il est trop bonard ce garçon, il croit que chacun porte en soi une étincelle de bonté, mais je crains que certains ne soient que cendres et poussière. Gustave Le Rouge — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Un poème bréviuscule peut contenir l'immensité d'un univers, aussi sûrement qu'une seule étincelle peut embraser les cœurs. Émile Verhaeren — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Dans les méandres obscurs du brightisme, la science cherche une étincelle d'espoir pour illuminer le chemin vers la guérison. Henri Fontanel — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
La philosophie carpocratienne, variante du gnosticisme, défend l'idée que tous les hommes sont égaux et possèdent une étincelle divine. (Citation fictive)
Dans l'abîme de la dépression, il semble que le seul phare soit cette étincelle catécholaminergique qui ravive l'espoir dans le tumulte des pensées noires. Henri Durant — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Une étincelle s'échappa de la meule à aiguiser dans la coutellerie, où l'artisan, entre les murs jonchés d'articles tranchants, façonnait son œuvre avec une précision quasi chirurgicale. (Citation fictive)
Une étincelle gaillarde pétillait dans ses petits yeux à la chinoise Verlaine — Œuvres posthumes, Histoires comme ça
Va-t’en, chétif insecte, excrément de la terre !C’est en ces mots que le lionParlait un jour au moucheron.L’autre lui déclara la guerre :Penses-tu, lui dit-il, que ton titre de roiMe fasse peur ni me soucie ?Un bœuf est plus puissant que toi ;Je le mène à ma fantaisie.À peine il achevait ces motsQue lui-même il sonna la charge,Fut le trompette et le héros.Dans l’abord il se met au large ;Puis prend son temps, fond sur le couDu lion, qu’il rend presque fou.Le quadrupède écume, et son œil étincelle ;Il rugit. On se cache, on tremble à l’environ ;Et cette alarme universelleEst l’ouvrage d’un moucheron.Un avorton de mouche en cent lieux le harcelle ;Tantôt pique l’échine, et tantôt le museau,Tantôt entre au fond du naseau.La rage alors se trouve à son faîte montée.L’invisible ennemi triomphe, et rit de voirQu’il n’est griffe ni dent en la bête irritéeQui de la mettre en sang ne fasse son devoir.Le malheureux lion se déchire lui-même,Fait résonner sa queue à l’entour de ses flancs,Bat l’air, qui n’en peut mais ; et sa fureur extrêmeLe fatigue, l’abat : le voilà sur les dents.L’insecte, du combat, se retire avec gloire :Comme il sonna la charge, il sonne la victoire,Va partout l’annoncer, et rencontre en cheminL’embuscade d’une araignée ;Il y rencontre aussi sa fin.Quelle chose par là nous peut être enseignée ?J’en vois deux, dont l’une est qu’entre nos ennemisLes plus à craindre sont souvent les plus petits ;L’autre qu’aux grands périls tel a pu se soustraire,Qui périt pour la moindre affaire. Jean de La Fontaine — Fables
Délicate, légère comme du papier, la qualité d'ombre recouvrait les plans, créait des multiplicités de halos, augmentait singulièrement le pouvoir de la clarté au point qu'une seule étincelle, surgie de verre pilé le long du trottoir, là où le camion-citerne avait frappé, se reflétait quelque chose comme cent ans, sur un espace voisin de l'infini, avec la violence d'environ trois soleils. J. M. G. Le Clézio — Le Déluge
Sous les noirs acajous, les lianes en fleur,Dans l’air lourd, immobile et saturé de mouches,Pendent, et, s’enroulant en bas parmi les souches,Bercent le perroquet splendide et querelleur,L’araignée au dos jaune et les singes farouches.C’est là que le tueur de bœufs et de chevaux,Le long des vieux troncs morts à l’écorce moussue,Sinistre et fatigué, revient à pas égaux.Il va, frottant ses reins musculeux qu’il bossue ;Et, du mufle béant par la soif alourdi,Un souffle rauque et bref, d’une brusque secousse,Trouble les grands lézards, chauds des feux de midi,Dont la fuite étincelle à travers l’herbe rousse.En un creux du bois sombre interdit au soleilIl s’affaisse, allongé sur quelque roche plate ;D’un large coup de langue il se lustre la patte ;Il cligne ses yeux d’or hébétés de sommeil ;Et, dans l’illusion de ses forces inertes,Faisant mouvoir sa queue et frissonner ses flancs,Il rêve qu’au milieu des plantations vertes,Il enfonce d’un bond ses ongles ruisselantsDans la chair des taureaux effarés et beuglants. Leconte de Lisle — « Le rêve du jaguar »