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Il y a 325 citations sur l'étreinte.
Dans le ballet subtil de la flore, la feuille subpétiolée s'accroche à sa tige comme par une étreinte furtive. (Citation fictive)
Cloyes-sur-Marne, miroir du quotidien, où le passé et le présent se rencontrent dans une étreinte discrète. (Citation fictive)
Et ce fut sans plus tarder, parmi la paille, préparée d’avance bien sûr, la culbute amoureuse, l’éclair des cuisses sans pantalon, l’étreinte farouche et brutale. Louis Pergaud — La Vengeance du père Jourgeot
Seule dans sa chambre, elle aimait s'argiliser le visage, un rituel qui la réconfortait comme une étreinte de terre. Sophie Lemaire — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Vivre un hiver roquemaurien, c'est comprendre la véritable étreinte du froid québécois. Julien Lafont — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
La brume courbanaise enveloppait le village d'une étreinte mystérieuse, rendant chaque matin unique et presque magique. Émile Dupont — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
En chaque être sommeille un désir d'amniotiser ses peurs, de les transformer en une étreinte rassurante du passé. Julien Mercier — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Il suffisait d'un seul regard pour cataleptiser son cœur et suspendre le temps dans une étreinte silencieuse. Sophie Lemaître — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
La douceur de la lanille enserre le corps comme une étreinte chaleureuse lors des froids hivers flamands. Claire Montalban — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Brahim venait de lui basculer la tête en arrière et, en bonne logique, la jeune fille devait bien admettre que plus le temps passait plus elle se soumettait volontiers à ses pratiques voluptueuses, bien que chaque étreinte la laissât sur le carreau. Jean Vautrin — Le journal de Louise B.
La nuit s'étendait coiment sur le village endormi, enveloppant les rêves dans une étreinte paisible. Marceline Garnier — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Il y a des nuits où l'angoisse semble me strangouiller lentement, comme un serpent invisible resserrant son étreinte autour de ma gorge. Élise Fougère — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Pour parler à un cheval, il n’y a pas besoin de mots. C’est une étreinte charnelle qui alimente nos rêves. Bartabas — Bartabas, roman
La souffrance est notre plus fidèle amie : elle revient toujours. Souvent elle change de robe, et même de figure ; mais nous la reconnaissons aisément à son étreinte cordiale et intime. Carmen Sylva — Les Pensées d’une reine
Le surgelé est une invention remarquable, mais qui remplace difficilement une épouse charmante qui vous accueille dans une étreinte vorace. Groucho Marx
Peinture et poésie se font comme on fait l’amour : un échange de sang, une étreinte totale, sans aucune prudence, sans nulle protection. Le grand saut, à chaque fois. Joan Miro — Le Figaro Magazine - Juillet 2007
Cette nouvelle Eau s’inspire d’une œuvre de Franz von Stuck, peintre allemand contemporain de Klimt, connu pour ses représentations d’Eve nue, érotiquement enlacées dans des serpents. Dans Le Baiser du Sphinx, de 1895, une femme fatale et animale domine une proie masculine dans une étreinte sauvage, mais qui semble consentie. Auparfum - Le magazine de tous les parfums — Belle Bête, la nouvelle créature des Liquides Imaginaires - Auparfum
Le boa est partisan du moindre effort quand il s'agit de tuer sa proie: capable de détecter ses battements de coeur, il limite son étreinte pour l'étouffer au strict nécessaire et ainsi éviter de gaspiller son énergie, révèle une étude publiée mercredi. Le boa, partisan du moindre effort pour tuer sa proie
Parce que des millions d’entre nous se sont réveillés dans le monde entier, la tâche consiste aujourd’hui à surmonter et à terminer ce que nous avons commencé ! Une véritable étreinte de lutte et d’internationalisme. Révolution Permanente — Camila Delgado : « Dans les rues de Chili, nous avons pu voir la force des travailleurs et de la jeunesse »
Il y a, chez Cathy Josefowitz, quelque chose de l’“optimisme cruel” tel que défini par la théoricienne des affects Lauren Berlant, décédée l’été dernier. Une manière de lier l’intime au politique, et de cheviller les affects aux corps. C’est là, au plus près d’un ventre enflé de faim, d’une étreinte animale, ou d’une manie dansante que s’invente quelque chose qui, par le mouvement et la fragmentation, le dédoublement et la mascarade, creuse l’espace d’un apparaître autre. Les Inrocks — Les désirs désordonnés de Cathy Josefowitz s'exposent à Paris - Les Inrocks