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Citations sur le faire justice

Il y a 15 citations sur le faire justice.

• Le prévôt n'osait faire justice de tous les crimes qui se commettaient

• Cependant, les errements consacrés par le temps sont difficiles à détruire ; et, en écrivant ces lignes, nous sommes forcés de nous demander s’il sera fait justice à la vérité et à la saine raison !.

• Quelques années plus tard, la raison aurait fait justice de ses remords ; mais en ce moment ils la rendaient insensée.

• L'attaquant international espagnol avait pourtant mal commencé son match, avec un penalty raté à la 25e minute. Poussé par derrière, dans la surface, par Aleksandar Sedlar, il avait voulu se faire justice lui-même, mais son tir a été stoppé par Manolo Reina. Sauf qu'un joueur majorquin était entré dans la surface avant que le penalty soit tiré, ce qui offrit une nouvelle chance aux Madrilènes. Morata, courageux, s'en chargea à nouveau et, cette fois, trompa Reina d'un tir en pleine lucarne.

• La démarche est illégale, le gérant, qui n’a pas l’intention de porter plainte, le sait. « Je le fais sans scrupule. Je ne dis pas qu’il faut faire justice soi-même mais la justice est à un autre rythme. Si je peux ruiner, avec ce geste, les projets de cet homme de cambrioler d’autres commerces, c’est tant mieux. »

• 1945 — Europe. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, une cinquantaine de jeunes Juifs, hommes et femmes, décident de se faire justice en empoisonnant des prisonniers allemands. Récit d’une vengeance.

• Vendredi 3 décembre, un Belmesnilais a été condamné à de la prison avec sursis pour avoir tenté de se faire justice lui-même. Les faits remontent à juin 2017.

• S'il a effectué sa peine de prison et reconnaît qu'on ne peut pas se faire justice soi-même, Thierry Rossi n'a pas pour autant renoncé à son combat contre ce qu'il appelle «la pitoyabilité de la justice»: «Je veux être reconnu comme victime. Car je n'étais pas responsable de la situation. J'en veux à la magistrature quand elle applique la loi mais pas l'esprit de la loi».

• Pas pour rien que je me suis tant chicané avec le commissaire Gilles Courteau. Il s’est fait traiter de bedeau, et c’était mérité. Il prenait pour les Remparts de ses amis Jacques Tanguay et Patrick Roy contre les Saguenéens de mes amis Carbo et Asselin. Fallait faire justice !!!

• Quoi qu’il en soit, 21 jours d’ITT seront prescrits à la victime. Une victime qui va d’abord porter plainte au commissariat avant de se rétracter, histoire de se faire justice soi-même. Cela ne se fera pas. Le prévenu sera finalement interpellé place Terre-au-Duc, où il a pris ses habitudes pour « tiser » avec ses amis. Il reconnaît plus ou moins les faits, évoquant une victime « insupportable » - ce que confirme le tribunal au vu des multiples mains courantes déposées contre elle. « Je lui ai mis des coups, des claques. Mais je ne l’ai pas défoncée. C’était pour lui faire comprendre », a expliqué le prévenu.

• Reste chez Frédéric un sentiment de colère face à cette violence gratuite dont il a été victime. Et l’espoir que justice sera faite : « J’espère que leur condamnation sera à la hauteur de ce qu’ils m’ont fait. La justice doit être sévère avec ces agressions sauvages. Le risque, sinon, c’est que l’on soit tenté de se faire justice soi-même ».

• K. C. (*), âgée de 46 ans, est la mère d’une jeune fille qui s’était fait voler des stylos à l’école qu’elle fréquente à Tarare. Elle avait voulu se faire justice elle-même et avait pour cela, aux abords de l’établissement scolaire, violemment interpellé la mère d’une élève le 25 janvier 2021, puis une élève, le 29 mars suivant.

• En effet, Ablaye Khouma, responsable politique de l’Alliance pour la république (Apr) à Kaolack, a jugé nécessaire d’apporter une cinglante réplique au leader du Pastef. A l’en croire :  » que Ousmane Sonko sache que les sénégalais sont tous égaux devant la loi et que nul ne peut se faire justice soi-même. »

• Délaissant pour une fois la sacro-sainte thématique des Français qui décident de s’expatrier, Zone Interdite a consacré un reportage à ces Français qui, devant l’inaction de l’État, décident de se faire justice eux-mêmes.

• Au Mali, le président IBK propose un accord politique triennal 2020-2023 pour le rassemblement national, il souhaite remembrer la cour constitutionnelle, et faire justice pour les députés recalés aux législatives de mars et avril dernier. Ces propositions ne sont pas bien accueillies au M5 RFP, qui organise cet après midi son 3eme rassemblement à Bamako. De leur côté, les partisans d'IBK ont mis en place une nouvelle coalition de la majorité présidentielle.