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Citations sur le fardeau
Il y a 21 citations sur le fardeau.
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Celui qui ploie sous un fardeau en connaît seul le poids.
Proverbe indien -
Le fardeau supporté en groupe est une plume.
Proverbe maure -
An : un élément du fardeau du vieillard.
Tristan Bernard — Mots-croisés -
Cet épineux fardeau qu'on nomme vérité.
Théodore Agrippa d'Aubigné — Les Tragiques -
Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai.
Évangile selon saint Matthieu, XI, 28 -
Le pénible fardeau de n'avoir rien à faire.
Nicolas Boileau dit Boileau-Despréaux — Épîtres -
C'est un pesant fardeau d'avoir un gros mérite.
Jean-François Regnard — Le joueur -
A homme paresseux, la chevelure est un fardeau.
Professeur Choron -
Pour le paresseux le nuage devient fardeau.
Mahmud de Kachgar — Pensées -
Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Victor Hugo -
Un fardeau semble léger sur les épaules d’autrui.
Proverbe russe -
L'être honorable ne fait pas de sa personne un fardeau pour autrui, mais il rend à autrui son fardeau plus léger.
Anonyme -
Le réformateur d'aujourd'hui devient un fardeau pour le réformateur de demain.
Chibbi Al-Chumayil — Je vois -
Ce qui d'abord est gloire à la fin est fardeau.
Victor Hugo — La Légende des siècles -
La reconnaissance est un fardeau et tout fardeau est fait pour être secoué.
Denis Diderot — Maximes et pensées -
Les enfants sont un fardeau éternel.
Proverbe japonais -
Ne charge pas tes épaules d’un fardeau qui excède tes forces.
Horace -
Il s'agit d'aider, d'écouter, d'accueillir l'autre pour lui permettre d'être ce qu'il est, mais sans pour cela nous charger de son fardeau.
Simone Pacot — L'évangélisation des profondeurs (1997) -
L'animal porte ainsi un coffre sur chaque flanc, et il faut avoir soin que le fardeau soit parfaitement équilibré, sans quoi l'on devra s'arrêter à chaque minute pour arranger la selle qui s'en va de travers avec les bagages.
Jules Leclercq — La Terre de glace -
Des traces de pas sur le sable…L’empreinte d’un corps sous l’effortD’un fardeau lourd, abominable,Le terrassant dans ce décor.Le fils de Dieu souffrit à tortSur cette route détestable,Il y laissa dans l’inconfortDes traces de pas sur le sable.C’était un coeur très charitableQui voulait nous mener au portIl laissa donc dans une étableL’empreinte d’un corps sous l’effortIl m’avait vu, j’étais en tort,Rongé, détruit, faute insolvableAnéanti sans réconfortD’un fardeau lourd, abominable.Dans son amour tant insondableIl me pardonne et me rend fort.Payant l’erreur combien blâmableLe terrassant dans ce décor.C’est le bonheur divin transportQui, de ce jour, me rend comptableDe ses bienfaits de son supportIl est vivant c’est constatable,Des traces de pas.
Pierre Michel — L’Amour divin -
Ce qui d'abord est gloire à la fin est fardeau.
Victor Hugo — La Légende des siècles