Accueil > Citations > Citations sur le fondre sur

Citations sur le fondre sur

Il y a 33 citations sur le fondre sur.

• L'ombre du casiasquier planait sur la ville comme un aigle vigilant, prêt à fondre sur sa proie pour rétablir la justice.

• L'amour est tel un harrotte en chasse; il plane avec grâce avant de fondre sur sa proie, inattendu et déterminé.

• Le moyen de les rasseurer est que les bons chréstiens touchés sensiblement des maulx que lon faict fondre sur nous sans relasche facent des efforts considerables pour soustenir le residu de peuple qui appartient à son alliance ;

• Le fauperdrieux, tel un fantôme des marais, plane silencieusement avant de fondre sur sa victime avec la précision d'un coup de pinceau sur la toile vierge de l'aube.

• Dans les ruelles sombres de Paris, le bignolon veille, prêt à fondre sur l'ombre menaçante d'un malfaiteur en fuite.

• On conçoit maintenant pourquoi la susdite Bigourne, avant de fondre sur le dos des passants se capissait et se rapilotait dans l’ombre.

• « Sentinelle des champs, le blanchot trône sur sa branche, scrutant l'horizon avec la précision d'un guetteur, prêt à fondre sur sa proie. »

• Une citation littéraire courte et réaliste pourrait être : Dans l’étreinte du foyer, il se recaillait, laissant le froid du dehors fondre sur sa peau.

• L’espadon est un engin triphibie télécommandé ou piloté […] capable de jaillir des flots telle une fusée, de fondre sur l’objectif et de replonger […] ou encore d’attaquer en surface en glissant sur l’eau à la manière d’un hors-bord, soit enfin de torpiller en plongée comme un submersible.

• Le faucon, maître des airs, n'hésite pas à bavoler près du sol pour fondre sur sa proie avec une précision implacable.

• Dans le fracas des cieux, l'aéronef de combat s'avance tel un faucon de métal, prêt à fondre sur sa proie avec une précision redoutable.

• Tel un aigle belliqueux, il se dressait face aux défis, prêt à fondre sur chaque obstacle avec une détermination inébranlable.

• L’unique parti que nous puissions prendre est celui de faire face à l’ennemi. Il n’est plus d’ailleurs qu’à une centaine de mètres et fond sur nous comme une avalanche.