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Citations sur le forces de l'ordre

Il y a 96 citations sur le forces de l'ordre.

• On s'est tous, ou presque, surpris en train de fouiller dans sa boîte à gants à la recherche, qui d'un quelconque document, qui encore, que sais-je d'un paquet de bonbons. Même constat lorsque, pressé par le temps, on se met à dévorer son sandwich tout en conduisant. Tout en le faisant cependant, une espèce de sentiment de culpabilisation nous envahit parfois : et si, à cet instant précis, les forces de l'ordre nous surprenaient, serait-on verbalisé pour notre comportement ?

• La soirée du samedi 5 mars fut particulièrement agitée pour les policiers des Yvelines. Les forces de l'ordre ont été la cible de plusieurs guet-apens dans le département.

• Il existait une multitude d'indications pour procéder à un contrôle d'identité. La personne qui était au volant s'est cachée lorsque les forces de l'ordre sont passées à côté d'eux. Avant le menottage, il résistait déjà violemment. Ça suffit pour intervenir.

• Présentes à toutes les entrées de la capitale depuis la nuit dernière, les forces de l'ordre ont intercepté plusieurs convois et verbalisé des dizaines de personnes. Malgré tout, des manifestants sont entrés dans la capitale.  

• Des heurts ont éclaté ce mercredi à Ankara et Izmir entre les forces de l'ordre et des manifestants antigouvernementaux. À Istanbul, près de 200 000 personnes ont assisté aux funérailles de Berkin Elvan, adolescent de 15 ans mort mardi, devenu le symbole de la répression du régime.

• Après une cavale qui aura duré sept mois, ce Nangissien de 24 ans a finalement été interpellé le 3 février dernier. Les forces de l'ordre lui ont mis la main dessus après un contrôle de police pratiqué à proximité de la Gare de l'Est (Xe arr.).

• Tirs visant les forces de l'ordre : un Pointois de 22 ans écroué

• Les Roms ont quitté le camp entre le samedi 12 et le dimanche 13 mars 2022. Une évacuation devait être menée par les forces de l'ordre lundi 14 mars, mais n'a pas été nécessaire.

• La « peur du gendarme » semble avoir été reléguée au rang des expressions obsolètes. Depuis de longs mois, les forces de l'ordre sont davantage ciblées par des agressions violentes, voire mortelles. Le dernier drame en date remonte à ce jeudi matin, avec le décès d'un policier de 43 ans au Mans (Sarthe), percuté par un véhicule dont le conducteur tentait de prendre la fuite. Et ce chauffard n'est pas le seul à avoir tenté, vainement dans son cas, de se soustraire à l'autorité publique.

• La Creuse vient de lancer un "observatoire de l'agribashing". Agriculteurs, préfecture, parquet et forces de l'ordre se réuniront tous les six mois pour chercher ensemble des solutions contre les attaques subies par la profession agricole.

• Ce qui n'a pas empêché quelque 200 militants "No border" de manifester à Gap dans les zones de Tokoro, du parc de la Pépinière et de la gare, où des heurts entre manifestants et forces de l'ordre avaient éclaté.

• "Cuba va vivre en paix", a promis dimanche le président Miguel Diaz-Canel devant ses partisans, rejetant le défi lancé par l'opposant Yunior Garcia, bloqué chez lui par les forces de l'ordre pour l'empêcher de défiler en solitaire à La Havane.

• Ce jeune homme a été condamné huit mois avec sursis et 100 euros d'amende. Le délit de rodéo motorisé dans la loi s'élève pourtant, en première intention, à 1 an de prison ferme et 15 000 euros d'amende. La fermeté de la loi ne s'applique donc pas concrètement. Tout cela renforce le sentiment d'impunité, additionné au fait que les forces de l'ordre se sentent impuissantes face à ce phénomène.

• Nourdine Mamoune, l'imam de la mosquée Al-Badr à Meaux, a été visé par l'une des nombreuses « visites domiciliaires » effectuées lundi dernier par les forces de l'ordre en Ile-de-France, selon nos informations.

• En sortant du Bataclan, pour chaque victime extraite à un moment de répit différent de la soirée, c'est le même parcours du combattant. "Ne regardez pas la fosse", répètent les forces de l'ordre à toutes les personnes évacuées. "Mais on a quand même vu l'horreur...", regrettent les rescapés à la barre. L'horreur, l'enfer, l'hécatombe, un massacre. "Ça ressemblait à Verdun, à un tableau de gueules cassées, mais avec de beaux yeux. C'était des gens trop beaux pour... Des gens très beaux", se rappelle Fanny, la gorge nouée. 

• Un affrontement violent opposait alors manifestants et forces de l'ordre. L'atmosphère devenait rapidement irrespirable. Aux cocktails molotov, bombes agricoles, pavés et autres objets, les forces de l'ordre ripostaient par des gaz lacrymogènes, canon à eau, tirs de LBD, grande assourdissante...

• Anthony Crapet, qui exerce le métier de maçon, a affirmé qu'il se tirerait une balle dans la tête si on lui retirait le fauve qu'il détient depuis sept mois. Pendant quatre longues heures, de 14 h à 18 h, le commandant de compagnie a tenté de le raisonner, en présence de l'épouse du trentenaire et de leurs enfants en bas âge, ainsi que des voisins. En vain. Afin de calmer le jeu et éviter un drame, les forces de l'ordre ont décidé de se retirer peu après 18 h. Le statu quo devrait durer jusqu'à ce lundi avec, sans doute, une nouvelle décision de la préfecture de l'Hérault qui avait ordonné la saisie du lion. 

• Vêtus de noir et encagoulés, ils font face aux forces de l'ordre retranchées derrière un mur antiémeute sur lequel a été accolée une banderole « Statu francese assassinu » (« État français assassin »). Les projectiles fusent contre les lignes de gardes mobiles qui répondent par une pluie de grenades lacrymogènes et de bombes de désencerclement. Les affrontem...

• Devenu un symbole de la lutte contre le racisme et les violences policières, George Floyd a été victime d'une technique d'immobilisation particulièrement décriée aux Etats-Unis : "le neck restraint". Outre-Atlantique, d'autres pratiques du même genre existent afin de maîtriser un individu. De même qu'en France, où le plaquage ventral, mais aussi le pliage utilisés par les forces de l'ordre sont régulièrement pointés du doigt par des associations de défense des droits de l'homme. L'Express fait le point. 

• Il ira également à la rencontre des forces de l'ordre qui sont mobilisées depuis 10 jours pour maintenir l'ordre public.