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Citations sur le foyer

Il y a 34 citations sur le foyer.

• Quand on a pris l'habitude de brûler au feu de la politique, si le foyer s'éteint, on reste infirme.

• Adolescent, j’étais pyromane. On m’a placé dans un foyer.

• Dans un large fauteuil, près du foyer béni, Comme on peut voyager, l’hiver, à l’infini !

• L'argent ne fait pas le bonheur, et c’est absolument vrai, mais, c'est une chose bougrement agréable à posséder dans un foyer.

• Le théâtre est un foyer spirituel de la communauté humaine, le point de cristallisation de sa vie spirituelle, un espace de sa liberté et de son contentement.

• Un homme se marie pour avoir un foyer mais aussi pour ne plus être embêté par ses problèmes de sexe ou autres affaires de ce genre.

• Le foyer c'est le royaume des illusions, la source des rêves de bonheur.

• L'amour est la première condition du bonheur d'un foyer.

• Le bonheur est à votre foyer, ne le cherchez pas dans le jardin des étrangers.

• Un vieux beau est un monsieur qui a encore du foyer mais qui manque de combustible.

• L'amour devenu sans objet n'entretient aucun foyer de lumière.

• Les jeunes illuminent toujours un foyer. Ils n’éteignent jamais les lumières.

• C'est la femme qui fait un foyer.

• La télévision a chassé l’âme du foyer.

• La femme n'est pas faite pour travailler. Elle doit s'occuper du foyer, être l'ancre de l'homme.

• Un [sujet] dont les ganglions trachéo-bronchiques étaient caséifiés, bien qu'on ne pût découvrir aucun foyer pulmonaire

• La création d’une chaire des dialectes et patois comparés rendrait les plus grands services aux romanistes en leur fournissant le foyer central qui leur manque encore dans notre pays.

• Suspectant un foyer de grippe aviaire dans un élevage de canards, la préfecture des Landes a mis en place un périmètre de contrôle temporaire autour de cette exploitation qui est en cours de dépeuplement à titre préventif.

• Le souvenir que je garde de cette traversée est celui de ces jours de plénitude où la flamme chaude de joie qui brûle en nous dévore et résume en elle paisiblement toutes choses, semble s’allumer, comme au foyer d’une immense lentille, à la seule transparence du ciel et de la mer.

• Entre le travail en usine, le ramendage des filets, l’entretien des vêtements de pêche, la tenue du foyer et les maternités, les femmes de Douarnenez sont des battantes avant la lettre !

• Dans le cas d'une expédition en Turquie ou d'une irruption dans les principautés, il était d'une mauvaise politique de laisser un foyer d'incendie aux portes de la Pologne

• Foyer : C'est la partie de l'âtre qui est au devant des jambages d'une cheminée & qu'on pave ordinairement de grand carreau de terre cuite.

• J'entrai dans une de ces huttes : c'était un taudis sans fenêtre, avec un foyer de pierres brutes placé au centre

• L’attention de quelques-uns fut détournée par la découverte qu’ils venaient de faire, au bout de la table, de cette étrange et blême et fantastique figure aux yeux caves qui était déjà apparue au foyer de la danse et qui avait été saluée par la petite Jammes de cette apostrophe : « le fantôme de l’Opéra ! »

• La pierre du foyer (estia, vesta), la pierre du tombeau qui limite les champs, voilà les bases du droit italique, Sur elles sont bâties [sic] le droit de la personne, et celui de la propriété, ou droit agraire.

• Mariée depuis longtemps, Zina avait continué à habiter rue de La Tour-d’Auvergne avec son mari qui était garagiste. Plus tard il s’installa à Belleville, et elle se partagea entre son foyer et celui de Camille. Mais au cours de ses crises éthyliques, il arrivait de plus en plus souvent que Camille la frappât violemment. Un jour elle vint nous ouvrir la porte avec un œil au beurre noir. Elle finit par s’en aller.

• La terre nous en apprend plus long sur nous que tous les livres. Parce qu’elle nous résiste. L’homme se découvre quand il se mesure avec l’obstacle. Mais, pour l’atteindre, il lui faut un outil. Il lui faut un rabot, ou une charrue. Le paysan, dans son labour, arrache peu à peu quelques secrets à la nature, et la vérité qu’il dégage est universelle. De même l’avion, l’outil des lignes aériennes, mêle l’homme à tous les vieux problèmes.J’ai toujours, devant les yeux, l’image de ma première nuit de vol en Argentine, une nuit sombre où scintillaient seules, comme des étoiles, les rares lumières éparses dans la plaine.Chacune signalait, dans cet océan de ténèbres, le miracle d’une conscience. Dans ce foyer, on lisait, on réfléchissait, on poursuivait des confidences. Dans cet autre, peut-être, on cherchait à sonder l’espace, on s’usait en calculs sur la nébuleuse d’Andromède. Là on aimait. De loin en loin luisaient ces feux dans la campagne qui réclamaient leur nourriture. Jusqu’aux plus discrets, celui du poète, de l’instituteur, du charpentier. Mais parmi ces étoiles vivantes, combien de fenêtres fermées, combien d’étoiles éteintes, combien d’hommes endormis… Il faut bien tenter de se rejoindre. Il faut bien essayer de communiquer avec quelques-uns de ces feux qui brûlent de loin en loin dans la campagne.

• Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle,Assise auprès du feu, dévidant et filant,Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant :"Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle !"Lors, vous n'aurez servante oyant telle nouvelle,Déjà sous le labeur à demi sommeillant,Qui au bruit de Ronsard ne s'aille réveillant,Bénissant votre nom de louange immortelle.Je serai sous la terre, et, fantôme sans os,Par les ombres myrteux je prendrai mon repos :Vous serez au foyer une vieille accroupie,Regrettant mon amour et votre fier dédain.Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain :Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.

• Ô l’amour d’une mère !Amour que nul n’oublie !Pain merveilleux qu’un Dieu partage et multiplie !Table toujours servie au paternel foyer !Chacun en a sa part,Et tous l’ont en entier !

• Nous passions des demi-journées entières à répandre ensemble notre esprit sur les cent mille sujets qui jaillissent de deux jeunes intelligences qui s’entre-choquent, comme les étincelles jaillissaient du foyer quand nos pincettes remuaient au hasard le feu.

• Elle avait pris, en parlant, un petit air différent, sainte-nitouche ; et, appuyée sur les coussins, elle s’était allongée, couchée, la tête contre mon épaule, la robe un peu relevée, laissant voir un bas de soie rouge que les éclats du foyer enflammaient par instants.

• Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle,Assise auprès du feu, dévidant et filant,Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant :Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle.Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle,Déjà sous le labeur à demi sommeillant,Qui au bruit de mon nom ne s’aille réveillant,Bénissant votre nom de louange immortelle.Je serai sous la terre et fantôme sans os :Par les ombres myrteux je prendrai mon repos :Vous serez au foyer une vieille accroupie,Regrettant mon amour et votre fier dédain.Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.

• L'amour est la première condition du bonheur d'un foyer.

• Le bonheur est à votre foyer, ne le cherchez pas dans le jardin des étrangers.