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Citations sur la guette

Il y a 18 citations sur la guette.

• Suisse. À Lausanne, perché au sommet de la cathédrale, un veilleur de nuit qu'on appelle le « guet » crie les heures de 22 h à 2 h du matin. 365 jours par an depuis 1405. Pour la première fois, une femme, Cassandre Berdoz, va devenir « guette ».

• La mort assise à la porte des vieux guette les jeunes.

• Douter de tout, c'est aussi douter du doute. Voilà ce qui guette les incrédules.

• Papa veillait sur moi comme un animal guette les faux-pas de son petit.

• On doit continuer à chercher pour trouver. Quand le soleil se perd dans la nuit, l’espoir guette un reflet.

• Qui n’a point de ressources en lui-même, l’ennui le guette et bientôt le tient.

• La mort nous guette depuis notre naissance ; elle peut frapper à chaque instant et il nous faut jouir tant que nous sommes encore vivants.

• On ne doit pas faire payer le fait que l'on doit de la reconnaissance, et c'est une tentation qui nous guette tous.

• C'est peut-être au dehors que l'on guette, mais c'est toujours au fond de soi que l'on attend.

• Il en va ainsi des petits fours ou des dragées au miel : l’indigestion guette la satiété.

• Sitôt que l’on demande quelque chose à autrui, que l’on espère quelque chose de lui, la déception vous guette.

• La mante religieuse attrape la cigale, mais le moineau guette derrière.

• Paradoxalement, seul un incroyant pourrait éventuellement prouver la vérité de Dieu. Le croyant, lui est trop occupé à aimer : il ne guette pas des démonstrations, mais des caresses.

• La démocratie reste impuissante à se défendre, et insensible devant la menace qui la guette.

• Où la passion rôde, la compétition guette. Ou serait-ce l'inverse ?

• L'idéologie guette la science en chaque point où défaille sa rigueur, mais aussi au point extrême où une recherche actuelle atteint ses limites.

• Qu'on se le dise, un monde rongé par les attaques de zombies n'est pas un monde safe. En effet, le danger guette et les pièges sont nombreux

• Il en faudrait pourtant bien plus pour calmer un public exaspéré, et lassé de voir les contre-performances s’enchaîner. Antoine Kombouaré, qui a dit "comprendre la déception, la colère" a pour sa part tenu un discours à double tranchant, rappelant que "ce n’était que la 14e journée" tout en posant une autre vérité : "Nous nous apprêtons à jouer le maintien. Le danger guette."