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Citations sur la hâte

Il y a 20 citations sur la hâte.

• Dans tout ce que tu fais, hâte-toi lentement.

• Ne jamais se hâter ni tarder.

• De la hâte il ne reste que la fatigue.

• Qui se marie à la hâte se repent à loisir.

• Une sage lenteur a raison de la hâte.

• La hâte, c'est comme l'amour, ça rend aveugle.

• La sagesse n'est jamais pressée et la hâte est rarement sage.

• Si la chance est avec toi, pourquoi te hâter ? Si la chance n'est pas avec toi, pourquoi te hâter ?

• Souvent l'homme souhaite ce qui va hâter sa perte.

• On donne, ne te hâte pas de prendre.

• Qui trop se hâte reste en chemin.

• La hâte est la mère de l'échec.

• Si quelqu’un meurt, ne te hâte pas de pleurer. Si tu reconnais que quelqu’un est puissant, ne te hâte pas de t’en réjouir.

• Ne croyez pas que le portefeuille de la guerre puisse être donné à la hâte, sans réflexion

• Elle lisait avidement, goûtait en hâte sa joie furtive

• Le patron, qui fait la grasse matinée, s’habille en hâte pour courir chez l’étoile.

• Ce soir, je vais au Hof Theater, où l'on joue le Don Carlos de Schiller, que nous venons de lire. Je reçois la carte ci-incluse. Dis-moi en hâte ce qu'il faut que je réponde...

• Lettre LIX de monsieur D'Orbe à Julie Je me hâte, mademoiselle, selon vos ordres, de vous rendre compte de la commission dont vous m'avez chargé. Je viens de chez milord Edouard, que j'ai trouvé souffrant encore de son entorse, et ne pouvant marcher dans sa chambre qu'à l'aide d'un bâton. Je lui ai remis votre lettre, qu'il a ouverte avec empressement ; il m'a paru ému en la lisant : il a rêvé quelque temps ; puis il l'a relue une seconde fois avec une agitation plus sensible. […]Lettre LX à Julie Calme tes larmes, tendre et chère Julie ; et, sur le récit de ce qui vient de se passer, connais et partage les sentiments que j'éprouve. J'étais si rempli d'indignation quand je reçus ta lettre, qu'à peine pus-je la lire avec l'attention qu'elle méritait. J'avais beau ne la pouvoir réfuter, l'aveugle colère était la plus forte. Tu peux avoir raison, disais-je en moi-même, mais ne me parle jamais de te laisser avilir. Dussé-je te perdre et mourir coupable, je ne souffrirai point qu'on manque au respect qui t'est dû ; et, tant qu'il me restera un souffle de vie, tu seras honorée de tout ce qui t'approche comme tu l'es de mon cœur. […]

• [...] « il a quelque chose, docteur ? », et il répondait à la hâte « mais non, je n'ai personne », qu'elle se rassure, il était indemne, tout à fait sain, rescapé de la maladie d'amour.

• [...] j’entendais le sifflement des trains qui, plus ou moins éloigné, comme le chant d’un oiseau dans une forêt, relevant les distances, me décrivait l’étendue de la campagne déserte où le voyageur se hâte vers la station prochaine...