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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Offenserais-je le Très-Haut si à la messe dimanche prochain, j'ai pour mes paroissiens une intention particulière ?

• Lorsque j'ai fait paroître mes voyages, je comptois vingt-sept olympiades ; c'est-à-dire que le soleil avoit décrit, depuis ma naissance, cent-huit fois son cercle annuel.

• C'est d'ailleurs sans aucun doute pour cette raison que les nageurs dont j'ai la charge ont engrangé de brillants résultats lors de l’olympiade 2012 : avant même le podium olympique, tout au long des mois qui ont précédé cette compétition, ils ont été récompensés, souvent et joliment.

• Dans le silence de la forêt ombrogène, là où l'écho des gouttes devient une symphonie, j'ai appris à écouter la terre qui respire.

• Dans mes mémoires, on découvrira comment j'ai traversé les épreuves de la vie ; onzièmement, l'acceptation des erreurs passées comme leçon pour l'avenir.

• Dans l'ombre des ruelles de Paris, j'ai croisé des âmes aux crânes marqués par l'ophiasis, comme autant de continents perdus sous les mers capillaires.

• En juin 36, j'ai rendu visite aux employés du Louvre qui «occupaient» leur magasin. Ils étaient ahuris de joie (...) l'acte d'audace inouï qu'ils venaient d'accomplir (imaginez ce que représente pour un «calicot» une grève avec occupation) leur faisait entrevoir pour la première fois que l'ordre des choses qui les contraignait à travailler toute la journée, toute la vie, pour un salaire dérisoire, à trembler devant le chef de rayon, etc., n'était pas le seul ordre possible, qu'il leur appartenait de le modifier, qu'eux aussi pouvaient espérer le bonheur. Ils venaient de découvrir la possibilité du bonheur: ils en étaient comme ivres.

• C'est cette oeuvre que j'ai poursuivie pendant vingt années et dont mon ouvrage intitulé Chimie organique fondée sur la synthèse

• Dans l'intimité du laboratoire, j'ai découvert que l'organogénie n'était pas seulement une étude scientifique ; c'était une poésie écrite par la nature elle-même.

• Les voiles des rideaux se sont agités comme des spectres. En regardant le fleuve à travers la croisée de l'oriel, j'ai eu l'impression de voguer sur un vaisseau fantôme dont je ne débarquerais pas avant une éternité...

• ... j'ai pris la route d'Épernay. Il y a là seize grands ormes les plus amusants du monde, qui penchent sur la route leurs profils rechignés et leurs perruques ébouriffées. Les ormes sont une de mes joies en voyage. Chaque orme vaut la peine d'être regardé à part. (...) les ormes seuls ont la fantaisie et se moquent de leur voisin...

• […] : bien que je ne sois pas un philosophe marxiste tout à fait orthodoxe, j'ai tendance dans la question marxologique à réduire l'importance des œuvres de jeunesse.

• Dans mon dernier voyage au large de la Normandie, j'ai été fascinée par la diversité des formes sous-marines, notamment celle des oscabrions qui semblent sculptés dans le roc même où ils résident.

• Dans les tréfonds des hôpitaux, j'ai vu des patients aux membres déformés par la maladie, où l'abcès ossifluent rappelle à notre humanité sa fragilité éphémère.

• Dans les abysses de la maladie, j'ai découvert des tumeurs ossivores qui se révélaient être l'allégorie de nos peurs les plus profondes.

• Dans les ruelles étroites d'Urumqi, j'ai appris plus sur la complexité du monde en écoutant les vieilles histoires ouighoures qu'en lisant tous les livres de Paris.

• Lorsque j'ai croisé le regard d'un ovibos pour la première fois, j'ai compris que la nature avait ses propres œuvres d'art, immenses et silencieuses, sculptées par le temps et le vent gelé.

• Soit dit en passant, j'ai constaté que l’oxalide de montagne était en fleurs, depuis peut-être un ou deux jours.

• Dans le silence du laboratoire, j'ai contemplé l'oxybromure scintiller sous la lumière tamisée, révélant des vérités cachées dans ses liens moléculaires.

• Lorsque j'ai aperçu pour la première fois les nuances bleutées sur le papier ioduro-amidonné de mon ozonoscope, j'ai compris que l'air lui-même portait en lui des secrets teintés d'azur.