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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Entre les branches sinueuses, j'ai appris à entre-cueillir, guidé par la couleur et le parfum des pommes, écoutant ce que l'arbre chuchote à celui qui sait entendre.

• Dans les profondeurs des grottes de mon imagination, j'ai découvert la richesse inestimable de la thermantite, scintillante fossile figée dans le temps.

• Dans l'ombre des ruelles de Montparnasse, j'ai trouvé un marchand d'espoir vendant du copalchi à ceux qui cherchaient la guérison sans passer par les mains gourmandes de la médecine moderne.

• Dans les vallées subcalcaires de mon enfance, où le soleil jouait à cache-cache avec les ombres des grands chênes, j'ai puisé l'inspiration de toute une vie.

• Face à l’expanse gigamétrique de la mer, j'ai compris la petitesse de mes soucis.

• L'histoire retiendra peut-être de mon pentarchat plus de controverses que de triomphes, mais c'est dans l'adversité que j'ai puisé la force de régner.

• Lorsque j'ai découvert le pimélate au cœur de ma recherche, je sus que j'avais trouvé la clé manquante à l'énigme de mon existence de chercheur.

• Dans la caresse du vent, j'ai cru entendre le chant des océans disparus, fossilisé dans cette pinnite que je tiens entre mes mains.

• Observant le pivite tournoyer avec grâce, j'ai compris que même les plus petits êtres ont leur rôle dans la grande symphonie de la nature.

• Sous le ciel clair de l'été, j'ai trouvé un refuge paisible au cœur des platanées, là où le temps semble suspendre son vol.

• À travers les ruelles de Grenoble, j'ai cherché l'essence du savoir-faire, et j'ai trouvé mon bonheur dans le sourire des artisans maniant les pétillères avec une précision poétique.

• Dans le silence du jardin botanique, j'ai contemplé la trifidation parfaite d'une jeune pousse, métaphore de l'unité se scindant en diversités harmonieuses.

• Comme le peintre retire les voiles de sa toile, j'ai dû redépiler mes souvenirs un à un, pour retrouver l'essence de mon premier amour.

• Sous le bois dense où se cachent les chéchers, j'ai trouvé un refuge, une paix qui semble intemporelle, loin du tumulte des villes.

• Comme un enfant qui découvre les cachettes du monde, j'ai trouvé mon confort dans les bras des mots, tel un nichet blotti dans son nicheux.

• Dans l'intimité froide des montagnes, j'ai contemplé l'arein dévaler avec une grâce terrifiante, comme si les cieux déversaient leurs pleurs en un flot impétueux.

• Dans le silence des docks endormis, j'ai contemplé le décuirassement du vieux Titan, comme un symbole du temps qui effrite toutes les armures.

• Dans les profondeurs abyssales, j'ai contemplé des créatures aux textures si singulières qu'elles me semblaient couvertes d'une peau mésentérine, un tableau vivant des entrailles de la terre.

• Je suis forcé de croire à l’existence de la pierre aurifique et argentifique, parce qu’en diverses circonstances, j'ai de ma main fait projection d’un grain de poudre sur quelque mille grains d’argent vif bouillant, et en présence de plusieurs personnes, à notre chatouillant étonnement le travail dans le feu réussit, ainsi que les livres l’assurent…

• Dans la simplicité de l'amidone, j'ai trouvé une métaphore pour nos âmes : opaques à ceux qui ne savent pas regarder, et pourtant si simples quand on les laisse se révéler.