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Il y a 54 citations sur le Jésuites.
Pourquoi M. de Carvalho, qui détestait les jésuites, laissait-il en repos les cordeliers, les jacobins et les récollets, sinon parce qu’il trouvait les jésuites en son chemin, et que les autres végétaient en paix dans leurs couvents sans faire à l’État ni bien ni mal ? Jean le Rond d’Alembert — La Suppression des jésuites (éd. populaire abrégée)
Ma première condamnation est due aux Verdets, des hommes qui s’intitulaient alors pères de la foi, et qui n'étaient autres que ces hideux jésuites que le Parlement, en 1762, a traité de corrupteurs de la jeunesse. Réponse de M. Raspail père à l’avocat général — lors du procès de François-Vincent Raspail le 12 février 1874
À l'image d'un gouvernement, l'ordre des Jésuites était dirigé par le Supérieur Général, épaulé dans sa tâche par son définitoire, bras droit incontournable dans la gestion quotidienne de la congrégation. (Citation fictive)
C'est les Jésuites qui ont fait assassiner Henri IV ; c'est encore eux qui ont fait révoquer l’Édit de Nantes, à la suite de quoi tous les protestants ont été obligés de quitter la France. Émile Thirion — La Politique au village
On accuse les Jésuites de déviriliser la jeunesse. Camille de Rochemonteix — Les congregations religieuses non reconnues en France
Les gens des hautes classes ont toujours estimé qu'ils avaient moins besoin d’être disciplinés moralement que leurs subordonnés, et c'est pour avoir fait de cette belle découverte la base de leur théologie, que des jésuites ont tant de succès dans la bourgeoisie contemporaine. Georges Sorel — Réflexions sur la violence
L'abbé d’Olivet avait dirigé au collège des jésuites les premières études de cet écrivain célèbre [Voltaire]. Jean le Rond D’Alembert — Éloges
Sarrien, grand prêcheur d'instruction laïque qui donne son fils aux jésuites et reçoit peut-être d'eux des conseils Clemenceau — Vers réparation
Le gazetier janséniste, excité seulement par le fanatisme et la haine (…), a reproché aux jésuites de poursuivre dans les jansénistes un fantôme d’hérésie, et de ne pas courre sus aux philosophes qui deviennent de jour en jour, selon lui, plus nombreux et plus insolents. Jean le Rond d’Alembert — La Suppression des jésuites (éd. populaire abrégée)
Au contraire, c’était plutôt les philosophes français, pour la plupart hispanophobes, qui louaient l’œuvre des Jésuites au Paraguay.
Dans les collèges des Jésuites sous l'Ancien Régime, l'enseignement du blason s'est mis à l'écoute des terroirs. Dans l’héraldique du IIIe millénaire, celle qui s'extirpe déjà du marécage des logos, nul doute que la figure du cheval obtiendra une place de choix, […]. Philippe Lamarque — La figure héraldique du cheval
Le Collège acheta successivement : 1° — en 1625, la cense de Soreau pour 395 livres. Elle comptait 47 jours de terre, mais ce n'étaient que des triots. — (Le Collège des Jésuites de Charleville, dans Revue historique ardennaise, Paris : A. Picard & fils, 1906, page 149)
Ils [les ennemis des Jésuites] ordonnèrent aux Jésuites de quitter le royaume sous huitaine, à moins qu'ils ne renonçassent par serment à l'Institut Balzac — Œuvres diverses
[…]; les gens des hautes classes ont toujours estimé qu'ils avaient moins besoin d'être disciplinés moralement que leurs subordonnés, et c'est pour avoir fait de cette belle découverte la base de leur théologie, que des jésuites ont tant de succès dans la bourgeoisie contemporaine. Georges Sorel — Réflexions sur la violence
Ma première condamnation est due aux Verdets, des hommes qui s’intitulaient alors pères de la foi, et qui n'étaient autres que ces hideux jésuites que le Parlement, en 1762, a traité de corrupteurs de la jeunesse. Réponse de M. Raspail père à l'avocat général — lors du procès de François-Vincent Raspail le 12 février 1874
Mais les Jésuites lui apprennent aussi comment se définit cette volonté. Ils lui enseignent leurs procédés de délibération, de « recollection », la recherche réfléchie d’une ligne de conduite. Robert Brasillach — Pierre Corneille
[…], il semble qu’on aurait pu distinguer, dans le serment qu’on exigeait, les jésuites profès d’avec ceux qui ne l’étaient pas, […]. Jean le Rond d’Alembert — La Suppression des jésuites (éd. populaire abrégée)
C'est les Jésuites qui ont fait assassiner Henri IV ; c'est encore eux qui ont fait révoquer l’Édit de Nantes, à la suite de quoi tous les protestants ont été obligés de quitter la France; […]. Émile Thirion — La Politique au village