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Citations sur le judas
Il y a 17 citations sur le judas.
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"Après le dîner... Mais des glaces appelées judas sont fixées à l’extérieur avec un angle tel qu’elles y peuvent voir sans bouger tout ce qui se passe au-dehors.
Germaine Acremant — Ces dames aux chapeaux verts" -
Laissez-moi vous raconter mes aventures, — des aventures rares, précieuses comme les autographes de Goliath le Philistin, — je ne dis pas comme les deniers de Judas Iscariote, j’en ai tant vu dans les églises de Russie et de Galicie que je commence à croire qu’il n’a pas déjà fait une si mauvaise affaire… — (Chevalier Léopold de Sacher-Masoch, Don Juan de Kolomea dans les « Contes Galiciens », traduction anonyme de 1874)
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Pour atteinte à l’honorabilité de la sœur de Judas Van Wolgen : Yolande Van Wolgen, qu’il reconnaissait avoir violée après lui avoir administrée à son insu un dormitif puissant.
Jean Pierre Makouta-Mboukou — Les dents du destin -
Anne-Catherine Emmerich nous dit que, de toutes les souffrances du Sauveur à Gethsémani, la plus amère, la plus poignante, fut la constatation de son impuissance devant le pécheur endurci, de son inefficacité devant Judas et au regard de ces foules innombrables pour qui rien ne s'est passé et Jésus-Christ est venu en vain.
Claudel — Un Poète regarde la Croix -
Vuillet était la bête noire d’Aristide. Il ne se passait pas de semaine sans que les deux journalistes échangeassent les plus grossières injures. En province, où l’on cultive encore la périphrase, la polémique met le catéchisme poissard en beau langage : Aristide appelait son adversaire « frère Judas », ou encore « serviteur de saint Antoine », et Vuillet répondait galamment en traitant le républicain de « monstre gorgé de sang dont la guillotine était l’ignoble pourvoyeuse. »
Émile Zola — La Fortune des Rougon -
Vuillet était la bête noire d’Aristide. Il ne se passait pas de semaine sans que les deux journalistes échangeassent les plus grossières injures. En province, où l’on cultive encore la périphrase, la polémique met le catéchisme poissard en beau langage : Aristide appelait son adversaire « frère Judas », ou encore « serviteur de saint Antoine », et Vuillet répondait galamment en traitant le républicain de « monstre gorgé de sang dont la guillotine était l’ignoble pourvoyeuse. »
Émile Zola — La Fortune des Rougon -
"— Vous auriez peut-être voté l’acquittement, vous ! Ah ! vingt dieux ! ne pas comprendre que casser la tête d’un Judas, c’est sauver la tête de mille des siens ! J’ai l’horreur du sang et j’en ai plein les mains : il s’est accroché à moi au coup de grâce ! Seulement, s’il n’y en a pas qui tuent les espions, alors quoi ? — (Jules Vallès, L’Insurgé, G. Charpentier, 1908)
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À onze heures en été, à dix heures en hiver, on fermait ces portes à double tour. La ville... Mais il fallait parlementer longtemps. Le gardien n’introduisait les gens qu’après avoir éclairé de sa lanterne et examiné attentivement leur visage au travers d’un judas ; pour peu qu’on lui déplût, on couchait dehors.
Émile Zola — La Fortune des Rougon -
À travers le judas je vois réapparaître mon père, avec son chapeau neuf. Il arrive, l’air affairé, humble, comme il est en réalité.
Elsa Morante — Territoire du rêve -
Vuillet était la bête noire d’Aristide. Il ne se passait pas de semaine sans que les deux journalistes échangeassent les plus grossières injures. En province, où l’on cultive encore la périphrase, la polémique met le catéchisme poissard en beau langage : Aristide appelait son adversaire « frère Judas », ou encore « serviteur de saint Antoine », et Vuillet répondait galamment en traitant le républicain de « monstre gorgé de sang dont la guillotine était l’ignoble pourvoyeuse. » – Émile Zola, La Fortune des Rougon
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Vuillet était la bête noire d’Aristide. Il ne se passait pas de semaine sans que les deux journalistes échangeassent les plus grossières injures. En province, où l’on cultive encore la périphrase, la polémique met le catéchisme poissard en beau langage : Aristide appelait son adversaire « frère Judas », ou encore « serviteur de saint Antoine », et Vuillet répondait galamment en traitant le républicain de « monstre gorgé de sang dont la guillotine était l’ignoble pourvoyeuse. »
Émile Zola — La Fortune des Rougon -
L’ordre inférieur est un miroir de l’ordre supérieur ; les formes de la terre correspondent aux forment du ciel ; les taches de la peau sont une carte des constellations incorruptibles ; Judas reflète Jésus en quelque sorte.
Jorge Luis Borges — Fictions -
De nos jours tous les grands hommes ont leurs disciples et c'est toujours Judas qui rédige la biographie.
Oscar Wilde — Intentions -
Jésus fut vendu pour trente deniers, Aujourd’hui Judas par les foules est adulé.
MC Solaar — Quand le soleil devient froid -
Mais aborder la question des gibets et des fourches patibulaires nécessite un petit rappel du plus emblématique des pendus, Judas l’Iscariote. En se suicidant par pendaison, cette figure, certes controversée dans l’historiographie chrétienne, incarnant la traîtrise, a concouru à qualifier cette mise à mort de honteuse et d’infâme. La corde apparaît ainsi comme la pire des sanctions, une peine de déchéance et de relégation.
Histoire d’ici | Région de Saverne. Gibets et fourches patibulaires du Moyen Âge à la Révolution -
L’un des plus célèbres baisers de l’histoire humaine n’a rien à voir avec l’amour. Le baiser de Judas signifie encore aujourd’hui la trahison. D’après la Bible, c’est par cet acte que Judas Iscariote, dans le jardin de Gethsémani, a trahi Jésus, le désignant ainsi aux occupants romains.
Sélection du Reader's Digest — Des baisers historiques, célèbres ou simplement tendres -
Songez aux douze apôtres (en remplaçant Judas Iscariote par saint Paul). Auquel ressemblez-vous le plus ? Quelle personnalité est la plus proche de la votre ?
Aleteia — Et si vous aviez des points communs avec les douze apôtres du Christ ?