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Citations sur le jusqu'à

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• Dans un élan de romantisme, il mena sa bien-aimée au jardin, où seul le chant des oiseaux troublait leur conversation jusqu'à ce qu'un rire s'échappe, 'ha-ha', et révèle par mégarde l'astucieux ha-ha qui séparait le parc de la campagne.

• L'amour est un jeu subtil où le cœur se meut avec prudence jusqu'à ce qu'il touche la case damante et s'épanouisse en mille possibles.

• Ainsi le Call, inoccupé et complètement fermé sur lui-même, demeura enterré sous les couches successives de construction, sous une forme de « Belle au Bois dormant » pendant près de cinq cent ans, jusqu'à ce qu'un processus de gentrification le ramenât de nouveau à la vie.

• L'homme, dans sa quête de connaissance, scrute l'infiniment petit et s'émerveille devant la complexité du monde, jusqu'à cette poussière d'eau nommée abioseston, témoin silencieux de la vie qui fut.

• L'hyperaccumulation n'est pas qu'un phénomène biologique; c'est aussi une métaphore pour notre propension culturelle à emmagasiner les expériences et les souvenirs jusqu'à saturation.

• L'enjeu est extrême : un intrapreneur qui a investi toutes ses forces dans la bataille peut avoir perdu jusqu'à la volonté de se désencastrer de l'organisation qui l'accueille.

• L'homme est parfois semblable à la punaise-mouche, dissimulant son jeu jusqu'à ce que le moment propice se présente pour agir.

• Jasser jusqu'à l'aube avec des inconnus rencontrés dans un train traversant la campagne helvétique fut une expérience aussi surréaliste qu'enrichissante.

• Comme les simulidés, certains problèmes semblent insignifiants jusqu'à ce qu'on ressente leur piqûre - un rappel humble mais puissant de notre propre vulnérabilité.

• L'amour est comme un simulidé, invisible et pourtant si présent, il nous tourmente parfois jusqu'à l'obsession.

• L'urial, mouflon sauvage d'Asie, incarne la résilience des écosystèmes montagneux de l'est de l'Iran jusqu'à l'ouest de l'Inde.

• Comme l'ixodidé se cramponne à sa proie, nos peurs les plus profondes s'accrochent aux recoins de notre âme, nous parasitant jusqu'à ce que nous trouvions le courage de les arracher.

• L'amour, tel un taeniidé, s'insinue dans les replis les plus intimes de notre âme, se nourrissant de nos désirs et craintes jusqu'à en prendre le contrôle absolu.

• L'homme se croit maître de son corps jusqu'à la découverte d'une bothrie, cet humble rappel que nous sommes tous des hôtes involontaires dans le grand banquet de la vie.

• Le politique est un éternel ressembleur, se façonnant à l'image du peuple jusqu'à s'y perdre lui-même.

• Le spirure, nématode sinueux, s'installe furtivement dans les entrailles des oiseaux et mammifères, et parfois même, s'insinue jusqu'à l'œil.

• L'amour, tel un breuvage exquis, devrait être savouré lentement pour en saisir chaque nuance, jusqu'à ce qu'il devienne pissable, témoignage de sa finitude.

• Comme le piroplasmide envahit la cellule sanguine avec une furtivité trompeuse, nos pensées les plus sombres se glissent dans l'esprit, inaperçues jusqu'à ce qu'elles colorent toute notre existence.

• Le pouvoir politique a cette capacité insidieuse de rendre pantinisable la volonté populaire, jusqu'à ce que l'écho de sa propre voix soit confondu avec les murmures du ventriloque.

• Comme une veine de poikilite, perdue dans la masse rocheuse, certains talents demeurent cachés jusqu'à ce qu'une fracture fortuite les révèle au grand jour.