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Citations sur le justice sociale

Il y a 89 citations sur le justice sociale.

• Face aux défis éthiques actuels, le barthisme offre une perspective unique pour aborder des questions telles que la justice sociale et l'écologie.

• La période delebarrienne a été marquée par une série de mesures audacieuses visant à renforcer la solidarité et la justice sociale au sein de notre pays.

• L'avocate torontoise Me Saron Gebresellassi travaille dans le domaine de la justice sociale et raciale et elle fait partie de ceux qui appellent, depuis des années, à la réduction du budget de la police de Toronto, qui représente environ le quart du budget de la Ville de Toronto. Comme elle l'a expliqué à Charles Lévesque, elle trouve qu'il y a un manque de compréhension entre les élus de Toronto et les citoyens de cette ville.

• Philippe de Botton, médecin endocrinologue installé à Menton depuis 1992, est militant de cette ONG depuis 1989. La justice sociale est au cœur de tous ses combats.

• Ils veulent frapper les esprits de la population et des décideurs publics. Près de 150 marches pour le climat et la justice sociale sont organisées aujourd'hui, samedi 12 mars, à travers la France. Et à un mois de l’élection présidentielle, la manifestation parisienne devrait être particulièrement suivie en plus d'être éminemment politique.

• En cognant aux portes du quartier le plus pauvre de la capitale albertaine lors de la campagne électorale, Blake Desjarlais a trouvé des enfants affamés, des aînés qui n’avaient vu personne depuis plus d’un an et des citoyens marginalisés au bord du suicide. Le néodémocrate en quête de justice sociale a fait tomber un château fort conservateur, et marque surtout l’histoire du Parlement en devenant le premier député à l’identité traditionnelle autochtone dite bispirituelle.

• E. Macron a prononcé les voeux les plus autosatisfaits et hypocrites jamais entendus ! Il ose parler de justice sociale alors qu’il veut démolir notre système de retraite. Il ose parler d’unité nationale alors qu’il ne cesse de monter les Français les uns contre les autres !

• Distributive ? C’est-à-dire celle qui procède d’une approche proportionnaliste en posant en principe que les richesses doivent être réparties en fonction des mérites de chacun. La justice sociale s’entend alors d’une égalité de rapports entre ce qui est apporté et retiré par chacun du produit de l’effort de tous.

• Parce que le système libéral tel qu’il est défendu par la droite – et par une partie croissante des élus de gauche - n’existe que par l’exploitation. Exploitation de l’homme, exploitation de l’animal. Il n’a que faire de l’équité, de la justice sociale et de l’écologie qui constituent pour lui autant d’entraves à la liberté économique. Et c’est d’ailleurs un fait: les ONG écologistes empêchent de mazouter l’océan à sa guise ou de recouvrir des zones humides de béton pour y construire des aéroports. Il faut s’y faire !

• En Ouganda, dans un quartier pauvre de Kampala, un réalisateur autodidacte invente un cinéma bricolé et imaginatif. Faits de bouts de ficelle et d’humour, ses films, auxquels concourent voisins et enfants, réconcilient aspiration à la justice sociale et divertissement, fantaisie débridée et sens de l’observation documentaire.

• Ce «colloque» était organisé à la Sorbonne, contre le «déconstructionnisme», le «wokisme» et les idées «intersectionnelles». En termes clairs, c’était un meeting contre les idées de justice sociale et de dénonciation des oppressions. Intitulé «Après la déconstruction : reconstruire les sciences et la culture», il avait lieu les 7 et 8 janvier à la Sorbonne.

• Il n’est guère d’idée qui soit aussi communément reçue que celle d’une identité présumée entre justice sociale et égalité des chances ; vouloir l’une serait ainsi ipso facto vouloir l’autre. Pourtant, cette identification est totalement controuvée par les faits. C’est assez dire combien l’égalité des chances est un mythe tenacement enraciné dans nos mentalités et nos représentations.

• Les fidélistes français ont souvent été critiqués pour leur soutien aveugle à une politique étrangère controversée, mais ils estiment que les idéaux de justice sociale et d'égalité valent la peine de défendre.

• Le PPA-CI est né le 16 octobre 2021 à Abidjan-Cocody de la volonté politique d’un Homme d’exception, le Président Laurent GBAGBO. Les ambitions de ce nouveau Parti sont claires. D’une part, promouvoir la démocratie, le progrès économique, la justice sociale en Côte d’Ivoire, d’autre part, promouvoir le panafricanisme dans l’optique d’assurer à chaque Etat du Continent, la solidarité des autres Peuples africains dans son combat pour l’indépendance politique et économique.

• Le Chili vient de choisir un très jeune président (35 ans). Ancienne figure du mouvement étudiant, Gabriel Boric qui fédérait toutes les tendances de la gauche, a battu le leader d’extrême droite nostalgique de Pinochet, Jose Antonio Kast en obtenant 56 % des voix. Leur duel était aussi celui de deux modèles de société aux antipodes. Justice sociale et protection de l'environnement pour Boric. Sécurité, ordre et positions ultra conservatrices pour Kast qui était arrivé en tête du premier tour. 

• « Il aimait le Gers, son village de Lahitte, la boxe, le rugby, la justice sociale et son café au Massena. Et nous, nous l’aimions. La disparition d’Alain Sorbadère est douloureuse pour sa famille, à qui je présente mes condoléances attristées, et cruelle pour ses amis et camarades. Au nom du Département du Gers, je rends hommage au militant, à l’élu et à l’ami."

• L'esprit carranciste est enraciné dans la lutte pour la justice sociale et l'autonomie nationale, comme l'a montré leur appui à la cause constitutionnaliste.

• Rohl – qui a joué le rôle de la hackeuse Alena dans Arrow et est également apparue dans The Magicians et Hannibal – jouera le rôle de Sonia Layton, “une guerrière de la justice sociale qui travaille comme administratrice de bureau chez McKenzie Brackman, mais qui a probablement un esprit juridique aussi aiguisé que n’importe lequel des avocats du personnel”.

• "La lutte pour l'égalité hommes-femmes est indispensable et centrale pour la lutte féministe. Mais on ne peut pas penser la justice sociale simplement en terme de sexe. Les femmes noires, ouvrières, qui font des grèves dans les grands palaces parisiens, ne sont pas au centre des luttes féministes. Le féminisme intersectionnel permet justement la prise en compte d'autres dimensions que la dimension hommes-femmes. Dans le cas de ces femmes, les oppressions s'imbriquent, elles se multiplient. 

• Mais un poste à caractère politique ! Quelle politique, quelle vision de la chose publique peut-on prétendre défendre, exécuter, représenter quand la politique réelle conscite à réprimer, pirouetter, pour s’assurer qu’on continuera de s’enrichir dans l’ignorance, pire, dans le rejet total de toute notion de bien public, de justice sociale et d’intérêt général ?