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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• La vie est semblable à une granette; elle s'entortille et se développe là où l'on s'y attend le moins.

• La gourmandise n'est pas un vilain défaut lorsque l'on parle du gris-farinier, ce trésor caché des sous-bois qui éveille les papilles des connaisseurs.

• La vérité se niche souvent dans ce que l'on ne voit pas, tel le rez-mur d'un vieux manoir, caché mais indispensable.

• Dans l'immensité verte du jardin botanique, les hamamélées se distinguaient par leur grâce discrète, loin de la vénération que l'on portait aux roses.

• L'amour est un cycle infini où l'on se plait à repiger pour revivre les premiers émois, même après avoir connu les peines de cœur.

• Sous la chaleur accablante, le reflet des cristaux dans les havelées formait un miroir brisé où l'on pouvait lire le labeur ancestral des hommes de mer.

• Si l'on ne prend garde à traiter les arbres avec diligence, l'hibernie fera de nos récoltes un souvenir lointain.

• Si l'on devait peindre le portrait d'un moteur parfait, nul doute qu'il inclurait un autolub, discret mais essentiel gardien de sa vigueur.

• L'amour est parfois épiphyllanthe, surgissant là où l'on ne cherche plus la beauté, sur les pages flétries d'un chapitre que l'on croyait clos.

• Il semble y avoir une confusion dans la demande, car le terme dégu n'est pas spécifié ou reconnu dans des dictionnaires standards de langue française. Cependant, si l'on devait créer une citation dans un style journalistique pour un terme hypothétique comme dégu, cela pourrait ressembler à ceci : Le dégu, souvent méconnu, s'insinue dans les discussions populaires, capturant l'essence d'un phénomène encore à définir clairement par les experts.

• Si l'on observe la délicate structure du gatan, on découvre un monde régi par une esthétique aussi minutieuse que celle de la haute couture.

• Si l'on considère l'électro-capillarité comme le lien conjugal entre l'électricité et la capillarité, on commence alors à entrevoir la richesse infinie des interactions fondamentales.

• Lorsque l'on observe la mécanique de la course, on oublie souvent l'importance discrète du muscle péronéo-phalangien, sans lequel aucune foulée ne serait complète.

• L'amour, lorsqu'il se déchaîne, a la puissance de tsunamiser toutes nos certitudes, emportant sur son passage les barrières que l'on érigeait autour de notre cœur.

• On ne porte point d'huile dans ce pays-là, parce qu'on y mange du beurre et de la mantègne, et que l'on y brûle de l'huile de poisson.

• Le sel en grains, que l'on destine à être formé en pains, est porté, au sortir de la chaudiere, dans une grande salle appellée ouvroir. Chaque berne a le sien; l'ouvroir a environ 60 piés de long sur 30 de large: dans un coin de chacun sont établies de longues tables de bois élevées à hauteur d'appui, dont une partie en plan incliné s'appelle sille, & sert à déposer les sels en grains que l'on apporte de la poële; l'autre partie, nommée massou, est faite avec des madriers creusés d'environ 6 pouces, & destinés pour y fabriquer les pains.

• Dans le creux des vallées où l'on mesure encore le blé en garaveaux, le temps semble suspendu aux battements du soleil.

• Si l'on prend le temps d'observer l'hyphydre dans son habitat naturel, on découvre une microcosme d'une complexité fascinante qui défie notre propre sens de la grandeur.

• L'amour est parfois comme une ambliopie de l'âme, où l'on ne discerne plus clairement les défauts de celui qui occupe nos pensées jour et nuit.

• Dans les récits de voyage du XVIIe siècle, l'on retrouve souvent la figure de l'ambubage, ce musicien itinérant dont l'art semble se perdre dans la brume des âges.