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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Il y a des claquoirs simples ou doubles, que l'on appelle : claquoirs, battoirs, crécelles ou cricri, routelles, tartarelles ou tourterelles, dont la forme la plus connue est celle de Corbie, qui ressemble à un tonnelet de fer.

• Dans un monde où l'on se presse d'oublier, timbrifier un héros national c'est lui offrir une immortalité papier.

• Dans l'obscur laboratoire des sentiments, la narcissine n'est pas moins précieuse que celle que l'on tire des fleurs ; elle est cet alcaloïde subtil qui distille l'amour-propre.

• La société moderne cherche sans cesse à synthétiser le bonheur parfait, ignorant que contrairement au palladate, il ne s'agit pas d'un sel que l'on peut isoler dans les éprouvettes de nos ambitions.

• Un bon écrénage est à la typographie ce que la ponctuation est au texte ; il donne du souffle et de la clarté sans que l'on sache toujours pourquoi.

• Si l'on considère la stabilité moléculaire comme une mélodie, alors les salicylites sont la note discordante qui vient perturber toute harmonie préétablie dans les composés aromatiques.

• Lorsque l'on contemple les distances téramétriques qui nous entourent, on ne peut s'empêcher de penser à l'infinitésimale petitesse de notre existence et à la préciosité de chaque instant.

• La théorie selon laquelle la pellagre serait due à une intoxication chronique par le mais avarié (Zéisme) a joui d'une grande faveur. Cependant il est avéré que la pellagre sévit aussi dans des régions où l'on n'a jamais consommé de mais.

• Quand l'île a fui, qu'au loin nul sol ne se dévoile, Que l'on no voit plus rien, si ce n'est ciel et mer,Kronide fait planer une lourde nuéeSur le navire creux, tourne au noir l'armogan.La route ne saurait être continuée,Car Zéphyre accouru déchaîne un ouragan.

• Le redéjeuner, cette curieuse habitude où l'on s'accorde une deuxième aubaine matinale pour refaire le plein d'énergie avant midi.

• L'imagination est le seul endroit où l'on peut voir des chevaux quadri-ailés survoler des prairies émeraudes sous un ciel indigo.

• L'amour est semblable à un psittacien bavard ; il répète sans cesse les mots doux que l'on glisse au creux de l'oreille, sans vraiment comprendre leur sens profond.

• L'art de vivre réside peut-être dans notre capacité à redévaluer ce qui nous entoure, à donner une nouvelle signification aux objets et aux idées que l'on croyait figés.

• Le birambrot, ce mélange suranné de saveurs, évoque les veillées d'une France que l'on croyait égarée dans les brumes du temps.

• Dans chaque homme sommeille une bête, et c'est dans la tigrerie que l'on reconnaît le véritable caractère d'un esprit libre.

• L'amour, ce n'est pas une bouteille à la mer, c'est plutôt un vieux tonneau recerclé que l'on remplit ensemble, gorgée après gorgée.

• Dans les méandres de l'histoire féodale, le bas-justicier, généralement un seigneur de moindre rang, détenait le pouvoir de trancher les litiges mineurs et d'exercer ce que l'on appelait la basse justice au sein de sa seigneurie.

• Dans les arrière-boutiques, loin des vitrines scintillantes, l'on trouvait encore ces objets de basse-étoffe, témoins silencieux d'un artisanat révolu, où le plomb se mêlait à l'étain pour donner forme à ce que la modernité qualifiait désormais de médiocrité.

• En amour, comme dans la vie, il vient parfois un temps où l'on doit reséparer ce que le destin avait habilement lié.

• Chaque fois que l'on revisite un souvenir, on doit reconstater ses nuances, comme si le temps y déposait de nouvelles couches de vérité.