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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Si l'on cherche à comprendre la fragilité de notre écosystème, il suffit d'observer le huemul, ce petit cervidé dont la survie tient à un fil aussi ténu que celui de nos propres existences.

• Si l'on pouvait écouter la symphonie d'un programme informatique, chaque opcode serait une note essentielle dans l'harmonie de l'algorithme.

• Si l'on pouvait voyager à travers le cytoplasme, on observerait l'endomembrane tel un paysage mouvant, berceau de la complexité cellulaire.

• Dans la valse des émotions, il est des cœurs que l'on arrive à polytraumatiser sans même les effleurer du bout des doigts.

• L'acte de polytransfuser n'est pas simplement médical; il est le témoin silencieux des batailles que l'on ne voit pas, des luttes intimes contre les affres du corps.

• La vie est semblable à ces réactions organiques complexe où l'on doit parfois débromer certains éléments pour découvrir la simplicité cachée sous le chaos apparent.

• L'exta de l'amour est bien plus puissant que celui que l'on achète; il nous élève sans jamais nous demander notre chute.

• Ça ne fait rien. Y a eu des moment où l'on a bien riboulguindé.

• Dans les tavernes de Genève, où l'on entendait le cliquetis des verres et les rires étouffés, jasser était une manière pour les hommes d'oublier leurs soucis quotidiens.

• Si l'on considère chaque particule connue comme une note sur une portée, alors le saxion compose une mélodie inaudible qui résonne à travers les dimensions supplémentaires de notre réalité.

• Si l'on considère que la vérité statistique est une mosaïque, alors le khi-carré est le tesson qui permet d'ajuster précisément chaque pièce à sa place.

• Si l'on devait mesurer la patience d'un être vivant, je parierais sans hésiter sur l'embioptère, cet architecte miniature dont l'œuvre passe inaperçue aux yeux de l'homme pressé.

• Si l'on observe attentivement, on découvrira que les enjeux écologiques sont parfois cachés dans les détails, tels que le vol erratique d'un panorpidé entre les branches touffues.

• Si l'on prend le temps d'observer avec patience, même un amblyommidé peut nous enseigner l'importance de la persévérance et de l'adaptation.

• L'amour des mots et la passion de la nature se rejoignent lorsque l'on conte la vie secrète des ixodoïdes, arachnides au nom aussi exotique que leur existence.

• Ce sang a, en effet, plus d'analogie qu'une infusion végétale avec le sang septicémique ou bactériémique. Les granulations moléculaires et les bactéries courtes se présentent dans le sang rendu putride et dans le sang de l'animal atteint de bactériémie, sous l'aspect d'une poussière sautillante, poussière vibrionnaire (bacterium putredinis, Davaine) que nous n'observons jamais dans les infusions végétales, et tellement épaisse, qu'il est rarement possible de distinguer nettement quelques-unes des nombreuses bactéries qu'elle renferme, si l'on ne mélange pas le sang putride avec une certaine quantité d'eau.

• Si l'on pouvait observer à l'échelle microscopique le délicat processus de farnésylation, on serait témoin du véritable art de la nature dans sa capacité à régir le destin des protéines.

• La chaussurerie du coin n'était pas seulement un magasin; c'était un sanctuaire où l'on venait confier ses rêves d'enfant en espérant repartir avec des bottes aux ailes de liberté.

• Dans la ruelle des souvenirs, il y avait un cinq-dix-quinze où l'on vendait de petits bonheurs éphémères, à la portée des amoureux sans le sou.

• Si l'on pouvait empiler chaque qepik dépensé pour les futilités, nous bâtirions un monument plus haut que nos rêves les plus audacieux.