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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Lorsque l'on observe les grandes cours royales à travers l'histoire, il n'est pas rare d'y découvrir un happelopin tapi dans l'ombre, guettant sa prochaine opportunité de s'enrichir.

• Si l'on pouvait saisir l'essence même de la terre dans un goût, ce serait sans doute celui de l'atole, nectar modeste mais sincère des champs de maïs ondulant sous le vent.

• Si l'on observe avec attention les méandres de notre histoire intellectuelle, on constate que chaque période de turbulence est suivie d'un mouvement d'aristotélisation, comme pour rappeler à l'ordre nos esprits égarés.

• Le drame de l'existence humaine réside parfois dans l'invisible, comme une hyperostéolyse qui nous ronge sans que l'on en perçoive immédiatement les symptômes.

• Dans les ombres de la cour, l'on murmure que le secret de la cantarelle se transmet de père en fils, comme un héritage maudit destiné à préserver le pouvoir.

• Si l'on pouvait mesurer la patience, on la comparerait à l'amphilogite qui, au fil des éons, a su attendre hors du temps pour cristalliser sa forme parfaite.

• Si l'on pouvait compter les couches de l'histoire gravées dans chaque feuillet d'antonite, on pourrait lire en elles bien des secrets depuis longtemps perdus par l'humanité.

• Les bruits de la ville semblent s'amenuir à mesure que l'on s'enfonce dans le silence contemplatif de la nuit étoilée.

• Si l'on pouvait lire dans les cristaux d'alurgite, on y découvrirait sans doute les secrets les plus anciens de notre Terre.

• Dans la vie, il est des moments où l'on doit s'auto-parachuter dans de nouvelles aventures pour vraiment se découvrir.

• L'ère numérique promettait l'élévation intellectuelle; ironiquement, elle pourrait bien être le chapitre où l'on documentera notre propre imbécilisation.

• Si l'on pouvait mesurer la patience, celle du géologue scrutant inlassablement la roche à la recherche de fluoro-phlogopite surpasserait l'entendement humain.

• Les garuches ne doivent pas être trop dures. Ce qu'il y a de mieux, c'est de la lisière du plus fort drap (1 mètre 50 cent.). Après l'avoir roulée sur elle-même puis tordue, on en réduit les extrémités avec de la ficelle, ou, mieux encore, on les coud d'un bout à l'autre, afin que les élèves ne puissent pas serrer leur garuche outre mesure. La lisière s'achète au kilogramme et ne coûte pas cher. D'autres préfèrent de la toile appelée “treillis plissé”, que l'on fait rouler trois fois, et coudre sans qu'elle soit aucunement serrée. Ces garuches font beaucoup de bruit et peu de mal, pourvu qu'elles ne soient point mouillées.

• L'époque où l'on fixait des rendez-vous par courrier est révolue; aujourd'hui, un 'twunch' improvisé rassemble plus de convives qu'une invitation formelle.

• Dans les méandres obscurs de l'esprit, l'ectophobie n'est pas simplement une crainte; c'est le reflet d'un passé que l'on ne peut effacer.

• Le farfanti est comme le paon, majestueux de plumes, mais c'est le rossignol que l'on préfère pour la douceur de son chant.

• Dans le tumulte de la vie, chaque décision est un lanchetrem d'existence que l'on détache du bloc de notre destinée.

• Si l'on pouvait tirer une leçon de vie des loulepems, ce serait sans aucun doute celle de l'importance de savourer chaque grain de l'instant présent.

• Si l'on pouvait lire dans les cœurs comme on lit dans les strates de la terre, chaque sentiment serait aussi transparent que la grammatite.

• La découverte d'instruments préhistoriques témoigne que l'on jouait de la musique il y a 10 000 ans au Pérou : quenas, zampoñas, pututos (des trompettes de coquillages)