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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Dans la vie, il y a des moments où l'on voudrait hurler de frustration, mais un simple 'tabarnane' suffit à exprimer toute l'étendue de notre désarroi.

• 'Tabouena!', s'exclama-t-il, non pas pour blasphémer mais pour exprimer une joie si pure et contagieuse que l'on pardonnait aussitôt ce léger écart de langage.

• Dans une société où l'on prône la transparence, 'vidéofliquer' devient un verbe du quotidien, comme si observer devenait synonyme de comprendre.

• L'ère du numérique annonce des temps où l'on pourrait se faire vidéo-verbaliser même pour une conversation trop bruyante sur la voie publique.

• Moutatiou : 'C'est dans le regard candide du moutatiou lyonnais que l'on perçoit toute la pureté et l'innocence des premiers instants de vie.'

• Alors tout le monde aurait su ce que l'on a tenté si longtemps de nous cacher : notre carte bancaire à puce est bel et bien piratable, quoi que l'on ait voulu nous faire croire !

• L'amour, ce n'est pas seulement une question de passion ou de douceur, c'est un engagement que l'on défend preusement contre les assauts du temps et de l'oubli.

• Si l'on plonge dans les abysses de notre système juridique, on y trouve toujours les traces du socage, témoin silencieux de l'évolution de la propriété à travers les âges.

• Dans le théâtre de la vie, chaque acte mal joué conduit à une agravation du drame personnel que l'on se doit d'éviter avec art et conscience.

• Si l'on cherche bien dans les greniers poussiéreux, parmi les reliques du passé, on peut encore trouver une épuceronnière, témoin muet de la lutte ancestrale entre l'homme et l'insecte.

• Si l'on s'attarde à écouter le murmure des feuilles, on entend les confidences que se partagent les viridiplantes sous le doux ballet du vent printanier.

• Si l'on considère le code comme un labyrinthe, alors la mémoization serait le fil d'Ariane permettant au programmeur de ne pas s'y perdre à chaque exécution.

• Si l'on pouvait voyager dans le temps, assurément l'une des premières choses que nous aimerions observer serait le comportement du mégavertébré dans son habitat naturel.

• Dans le silence feutré des salons où l'on joue, expasser devient un art subtil qui sépare les amateurs des maîtres.

• L'artiste doit peindre avec son âme et non avec des pinceaux empruntés; le talent n'est pas trichable, il se révèle malgré les masques que l'on porte.

• La littérature, c'est le grenier de l'esprit où l'on range les grains d'idées récoltés sur le vaste champ dépiquatoire de l'existence.

• Le javierano, dialecte du mojeño autrefois entendu à San Javier, est aujourd'hui une langue que l'on ne murmure plus.

• Lorsque l'on évoque les grandes heures de notre histoire, il ne faut pas négliger l'influence des domeries; leurs abbés, portant le titre de dom, furent aussi des seigneurs temporels aux ambitions terrestres bien ancrées.

• Et dans ce désert, où l'on pouvait croire que rien n'avait âme, le fragile esprit du goménol me rappelait que même les vastes étendues vides peuvent être soignées. Goménoler devint alors ma prière silenciente.

• Lorsque l'on traite quelqu'un de 'souchienne', on oublie trop souvent que les racines de chacun plongent dans une terre bien plus vaste que nos frontières nationales.