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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Un vin amer, un vin clairet que l'on buvait en famille et dont on était très fier

• ... toute description de nos perceptions séparées détruit radicalement ce qui serait de ces perceptions le plus précieux à connaître et à déchiffrer. C'est pourquoi je suis très loin de me confier aux prétendues analyses des rêves qui sont tant à la mode aujourd'hui, où il semble que l'on ait forgé une nouvelle clef des songes.

• Lorsque l'on scrute l'horizon à travers un clinoscope, c'est tout un monde d'équilibres cachés qui se révèle à l'esprit curieux.

• Le garçon insolent [...] connaissait trop bien le bruit sourd de la terre que l'on jette sur cette caisse de bois vernis où l'on a pris soin de clouter une croix en laiton au cas où... il y aurait une vie après, ailleurs. Dieu sait où.

• Dans les années 1930, le chimiste russe Oparine, suggéra que des agrégats moléculaires appelés coacervats, que l'on peut produire au laboratoire, pouvaient ressembler aux précurseurs des premières cellules procaryotes.

• Si l'on pouvait remonter le temps, nous trouverions peut-être nos ancêtres dans la danse alchimique des coacervats, ces berceaux microscopiques de la vie.

• La coalescence ne se manifeste pas uniquement dans les univers cosmiques, elle est tout aussi présente dans notre corps lors du processus de guérison, où l'on observe une adhérence entre des parties corporelles autrefois séparées.

• Une coalition se forme dans l'ombre et l'on dirige contre moi, un tir de barrage. Me voilà propre avec cette cohorte d'adversaires sur le reins.

• Si l'on pouvait peindre le désespoir, on utiliserait les couleurs ternes du cocaïnisme, là où la vie s'éteint doucement dans l'ombre d'une dépendance inavouée.

• Si l'on prête attention à la symphonie discrète de la forêt tropicale, on peut entendre le frémissement délicat des branches de coccoloba, composant une ode à la vie sauvage.

• Les élégants viennent s'y promener tout en fumant une prodigieuse quantité de cigares; on les reconnait sans peine à leurs longues barbes et à leurs cols de chemises rabattus; l'on s'y rafraichit avec une foule de boissons très échauffantes et que personne, hors des États-Unis, ne connaît même de nom, le ginslick, le cocktail, le sangarce le mint-julep, et autres liqueurs dont le geniève est la base.

• Si l'on considère la coéquation comme le fondement de notre contrat social, alors il convient de la polir tel un diamant brut pour en refléter toute la justice et l'équité.

• Le destin d'une famille est souvent scellé par les liens du sang, mais c'est en choisissant de cohériter de ses valeurs plutôt que de ses biens que l'on honore véritablement ses ancêtres.

• Il [Alexandre] répétait souvent : « je mourrai au coin d'un bois, dans un fossé, au bord d'un chemin, et l'on n'y pensera plus »

• Jean Borie, en accord avec Sartre aussi bien qu'avec Foucault, souligne qu'un retournement s'était, à ce propos, opéré depuis le XVIIIe siècle; le désir et la jouissance, que l'on cesse d'exalter en les associant à la génération, se trouvent relégués au nouveau statut d'instinct génésique; dès lors, le coït conjugal se trouve plus étroitement associé à la notion de devoir.

• D'ailleurs, n'y a-t-il pas nombre de femmes qui coïtent et ont leur part d'orgasme sans que l'on s'occupe de leur clitoris?

• L'époque où l'on croyait que chaque cokeur était une promesse d'avenir semble révolue ; aujourd'hui, ces tours métalliques incarnent l'appétit insatiable de notre civilisation pour l'énergie.

• On sçait que le colcothar est une substance vitriolique ; ou , pour mieux dire , c'est un véritable vitriol que l'on rougit en le poussant par le feu jusqu'à un certain degré.

• Les espèces de poissons que l'on trouve dans cette zone sont les poissons pélagiques, le hareng, le maquereau, le brishing, le capelan, les poissons de fond comme la morue, le haddock, le colin, le merlan et les poissons plats, […].

• Dans le théâtre de la vie, les rôles que l'on nous attribue sont souvent collatifs ; ils dépendent davantage des mains qui nous dirigent que de nos propres aspirations.