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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Il y a des jours où l'on sent le poids du monde peser sur notre gorgoton, comme si chaque mot non prononcé cherchait à s'échapper.

• Pauvre âme malade et que les romans ont empoisonnée, elle aspire à un amour convulsif, illégitime, impossible, sandien, si l'on peut parler ainsi.

• Dans un monde où l'on cherche à quelconquiser les différences, il est vital de préserver sa singularité.

• Dans un monde où l'on cherche à puritaniser chaque aspect de la vie quotidienne, il est crucial de préserver notre liberté d'expression et nos passions authentiques.

• Il faut du courage pour s'empoisonner avec les mensonges que l'on se raconte chaque jour.

• Dans la vie, on se retrouve souvent face à un arcandage, une tâche qui semble insurmontable jusqu'à ce que l'on s'y attelle.

• SERONGE, s. f. (Commerce.) espece de toiles peintes qui se fabriquent dans la ville de l'Indostan de ce nom. Pendant la saison des pluies qui durent quatre mois, les ouvriers impriment leurs toiles; quand la pluie a cessé & qu'elle a troublé l'eau de la riviere qui passe à Seronge, ils y lavent les toiles qu'ils ont imprimées ; cette eau trouble a la vertu de faire tenir les couleurs, & de leur donner plus de vivacité ; de sorte que plus on les lave dans la suite, plus elles deviennent belles, au - lieu que les couleurs des autres toiles peintes des Indes ne sont pas si vives, & qu'elles s'effacent en les lavant plusieurs fois. On fait à Seronge une sorte de toile peinte qui est si fine, que l'on voit la chair au - travers quand elle est sur le corps : il n'en vient point en Europe, elles sont toutes retenues pour le serrail & la cour du mogol ; les sultanes & les femmes de condition en font faire des chemises & des robes d'été pour leur usage, & la volupté des hommes y trouve leur compte.

• Dans un monde où l'on préfère inboxer plutôt que parler en face, on perd peu à peu l'art de la conversation.

• Dans le voyage vers soi-même, le morinom devient souvent l'ombre d'un ancien chapitre que l'on choisit de laisser derrière.

• Être nommé kildar est un honneur rare, symbolisant à la fois la confiance et le devoir envers ceux que l'on protège.

• Dans les ruelles de Marseille, le terme 'tchouk-tchouk' résonnait souvent, un écho des jours où l'on se cherchait encore.

• Il est des mots comme des blessures, qui finissent par se pustuliser si l'on n'y prend garde, gonflant de rancœur jusqu'à éclater.

• Il est des plaisirs simples que l'on doit apprendre à gouster, car ce sont eux qui donnent saveur à notre existence.

• La pêche à la dormille requiert patience et silence, car c'est dans ces moments que l'on touche à la sérénité des profondeurs.

• Les pêcheurs du village parlaient souvent du mystérieux douceron, créature discrète que l'on aperçoit rarement.

• Ce n'est qu'en grattant sous les couches d'insonastic que l'on perçoit véritablement les vibrations de l'histoire qui ont marqué ces rames vieillissantes.

• Un simple capucino peut transformer une journée maussade en une aventure pleine de promesses, tant que l'on sait écouter sa chaleur bienfaisante.

• C'est au cœur du garage-ménagerie que l'on découvre la véritable nature de la bête, entre les barreaux rouillés et le silence pesant.

• La main du viennoisier façonne chaque matin la douceur que l'on savoure.

• L'ironie de la vie est telle que l'on peut traverser des tempêtes émotionnelles sans broncher, mais une simple whartonite nous rappelle à quel point nous sommes vulnérables.