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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Dans la vie, il y a sept-cents façons d'échouer, mais une seule de réussir : celle où l'on croit en soi-même.

• La forfaiterie est devenue le temple moderne des indécis, un refuge où l'on achète non pas des objets, mais la promesse d'un choix à venir.

• La forfaiterie incarne notre époque consumériste, où l'on vend les rêves sous forme de cartes plastifiées et de certificats en papier.

• Dans la vie, il y a des jours où l'on se sent riche d'un trésor de sept-mille émotions diverses.

• Les pensées vagabondes trouvent souvent leur chemin lorsque l'on commence à s'exerciter avec intention et régularité.

• Le repositoire où l'on met les saintes huiles.

• Il est inutile de se bilotter pour des choses que l'on ne peut contrôler, disait souvent ma grand-mère en regardant les nuages passer.

• Le nirvāṇa est cet état insaisissable où l'on se libère enfin des chaînes invisibles du désir et trouve la paix intérieure ultime.

• Dans la vie, on croit souvent que l'on possède tant de choses, mais au fond, c'est parfois juste peaudezébie.

• Dans les moments de crise, il est inutile de se bilotter pour des choses que l'on ne peut pas contrôler.

• La rancœur est une enlaidisseuse de l'âme, qui ternit les plus belles intentions sans que l'on s'en aperçoive.

• La vie est une vaste tapisserie d'expériences et de souvenirs où l'on coud parfois des rapponses pour masquer les accrocs du temps.

• Dans la danse complexe de la vie, il y a des moments inesquivables où l'on doit faire face à nos peurs les plus profondes.

• Dans un monde globalisé, persister à être nippophobe révèle une ignorance que l'on ne peut plus excuser.

• Créer un roman sans respecter son propre dodécalogue, c'est comme bâtir une maison sans plan : on risque toujours de voir s'écrouler ce que l'on croyait solide.

• Le cœur humain n'est pas un simple moteur que l'on peut huiler avec des sentiments téflonnés afin d'éviter les frictions de la vie.

• Il est des jours où l'on a besoin d'une keusse pour affûter non seulement ses outils, mais aussi son esprit.

• La nostalgie a le goût sucré-salé de l'enfance, ce moment où l'on découvrait pour la première fois le maasdam à table.

• Dans un monde où la culture traverse les frontières par des ondes invisibles, il n’est pas rare de voir notre langage se radio-canadianiser sans que l'on s'en aperçoive.

• Dans un monde où l'on cherche à capturer l'éphémère, l'oniroscope devient une toile mouvante, peignant les contours flous de nos nuits.